Que ce fut dur pour le TFC ! Après un excellent début de saison, au cours duquel certains voyaient les Toulousains finir dans les dix premiers, ceux-ci ont finalement sombré dans les abysses de la Ligue 1 avant d’en sortir au dernier moment grâce à Dominique Arribagé.
Ce qu’il faut retenir de la Super League suisse 2014/2015
Ce qu’il faut retenir de la Super League suisse 2014/2015
Un sixième titre de suite pour l’intouchable FC Bâle, l’improbable comeback de Guillaume Hoarau, l’échec de la remontée du Servette, la retraite de Streller, l’émergence d’Embolo et même un peu de violence.
Ongles rongés, jambes flageolantes ou élèves sûrs de leur force, les membres de la classe bilingue espagnole sont, comme à l’accoutumée, passés au peigne fin par les professeurs principaux.
Deux entraîneurs évincés, un état de crise permanent, un projet de jeu en échec… La saison a été difficile dans la Ruhr. Seul l’essentiel a été sauvé de justesse : être européen, et devant Dortmund.
Quand Conte a claqué la porte l’été dernier, tout le monde était persuadé que la Juventus aurait eu du mal à s’en remettre. C’était sans compter sur son successeur Allegri, parfait gestionnaire, qui a permis à la Vieille Dame de remporter un quatrième titre d’affilée, et sans forcer.
Top hebdomadaire réactualisé des joueurs qu’il faut suivre en priorité. Pour ce qu’ils font sur le terrain, mais aussi juste à côté. Parce que les classements dominés par Messi et Ronaldo, ça va un moment. Même s’ils ne sont jamais bien loin.
47 buts, des retournements de situation, des buts décisifs dans les arrêts de jeu, une manita du Torino et une Lazio sur le podium pour couronner le tout. On attendait une dernière journée à suspense en Italie, on a eu une sortie en fanfare.
Même les perdants ont le droit à la fête. Quelques heures après leur défaite contre le PSG en finale de Coupe de France, les Auxerrois ont été exhiber leurs tatouages dans une boîte du dix-septième arrondissement de la capitale. Compte-rendu des festivités.
Au pays des papelitos, du « Decime que se siente », du papier toilettes dispersé sur les pelouses et des barras bravas, Rody Soria est aux banderoles ce que Banksy au street art. Une star. Qui compte notamment Carlos Tévez parmi ses clients.
Parfois, certaines marques peuvent interpeller lorsqu’elles sont affichées sur des maillots de football. Si certains partenariats sont devenus mythiques, d’autres tendent en revanche vers le ringard. En voici quelques-uns.
Quatre titres nationaux, des buts, des blessés, Marco Verratti, un coup de gueule en 16/9e, de l’argent, des tunnels et une armoire à trophées qui commencent à avoir de la gueule, finalement, la saison parisienne est plutôt réussie.
Une ex-vedette des Minikeums, le fils d’un champion du monde 1998, un tueur à gages, le meilleur joueur du monde, un roux bientôt au PSG et Dieumerci, un Belge : encore une fois, l’équipe type de ce week-end est une véritable leçon de mixité. Et les coupes nationales, cette équipe les raflerait toutes. Ou presque.
The Avener : «Ludovic Giuly préfère le hip-hop à l’électro…»
The Avener : «Ludovic Giuly préfère le hip-hop à l’électro…»
The Avener est un DJ niçois qui commence à bien tourner à travers toute l’Europe avec son style musical : la deep-house. Supporter de l’OGC Nice depuis toujours, il a même été abonné au Stade du Ray pendant quatre ans. L’occasion d’évoquer avec lui ses souvenirs d’ancien abonné, mais aussi ses rencontres avec Samy Traoré et Zinedine Zidane…
Ce qu’il faut retenir de la Scottish Premiership 2014/15
Ce qu’il faut retenir de la Scottish Premiership 2014/15
Pour la première fois dans l’histoire du football écossais, il n’y avait pas de représentant de la capitale Edimbourg en Premiership. À part ça, le Celtic est de nouveau champion, Motherwell a sombré et on s’est pris d’affection pour le petit poucet, Hamilton Academical.
La Fiorentina en profite, le Genoa et la Sampdoria en suspens
La Fiorentina en profite, le Genoa et la Sampdoria en suspens
La Serie A s’est achevée dans un spectacle pyrotechnique avec des buts en pagaille partout dans la Botte. La Fiorentina a profité de la défaite du Napoli pour terminer à la quatrième position. Le Genoa et la Sampdoria attendent, eux, de connaître administrativement leur sort européen.
Remontée, cartons rouges, penalty loupé. Cocktail d’émotions fortes au San Paolo pour cette rencontre entre le Napoli et la Lazio avec une place en play-off de Champions League en jeu. Les Romains s’imposent finalement 4-2, mais ils se sont fait très peur.
Match sans enjeu = soit une purge, soit un gala. Et ce soir, la Roma a choisi la première option. Avant de partir en vacances, les joueurs de Rudi Garcia n’ont même pas assuré le service minimum, avec une défaite pour finir.
Par tradition, le mois d’août est celui de tous les fantasmes. Les effectifs sont tout frais, les nouvelles recrues séduisantes et les supporters peuvent se livrer à leurs propres pronostics. Quitte à avoir tout faux dix mois plus tard.
Ce qu’il faut retenir de la saison du Stade de Reims
Ce qu’il faut retenir de la saison du Stade de Reims
Pour sa troisième saison d’affilée dans l’élite, Reims a connu une année compliquée. Malgré une phase aller pépère, la formation rémoise a enchaîné les contre-performances en 2015, avant de se maintenir lors de l’avant-dernière journée.
Le moment tant redouté est finalement arrivé. Après quelques jours de délibération, les profs ont statué sur le sort des 18 élèves de la classe LV1 allemand. Et c’est évidemment trop tard pour ceux qui n’ont pas su redresser la barre au troisième trimestre. Sauf pour Hambourg, on ne sait comment.
On l’annonçait depuis des semaines et c’est désormais chose faite : le PSG a remporté la Coupe de France et devient ainsi le premier club à gagner tous les titres nationaux en une saison. Une performance historique qui n’a pas émoustillé plus que ça les supporters de la capitale. Ambiance (ou pas) en tribune parisienne.
Tu sais que tu vas regretter Pascal Dupraz en L1 quand…
Tu sais que tu vas regretter Pascal Dupraz en L1 quand…
Tel un vieil oncle qu’on se plaît à détester, Pascal Dupraz nous avait habitués à sa « tête de con ! », comme il se définit lui-même. Mine de rien, il va te manquer. Tu sais que tu vas regretter Pascal Dupraz en L1 quand…
Ce soir, le goal average particulier tranchera cette question : qui aura le droit à la grande Europe ? C’est cruel, mais ce sont les règles. Un supplice pour la Lazio. Une aubaine pour le Napoli.
Si Sepp Blatter trimbale son spleen dans les couloirs de la FIFA, il fut un temps où le Pierrot était auguste : il était jeune, énergique et multipliait les boulots d’été pour se payer des vestes en tweed, quelque part entre Eddie Constantine et Augusto Pinochet.
Le scénario alternatif de la Ligue 1 : le but refusé d’Ocampos
Le scénario alternatif de la Ligue 1 : le but refusé d’Ocampos
Comme le démontrait si bien Ashton Kutcher, un simple battement d’aile peut avoir des repercussions sur un ensemble d’évènements. En Ligue 1, c’est pareil. Et un ballon d’Ocampos qui franchit ou non la ligne de but, ça change tout.
Une énième saison décevante pour le Stade rennais ? Oui probablement, sauf que ce n’est peut-être pas aussi simpliste et caricatural pour un club doucement, mais sûrement en train de devenir le punching-ball de la Ligue 1…
Ce dimanche 31 mai, c’est la Fête des mères en France. L’occasion de prouver que les mamans et le foot, c’est une grande histoire d’amour. Enfin, pas toujours. La preuve par dix.
Ce qu’il faut retenir de la saison du Borussia Mönchengladbach
Ce qu’il faut retenir de la saison du Borussia Mönchengladbach
Alors qu’on attendait plutôt le Borussia Dortmund, c’est finalement le Borussia Mönchengladbach qui a terminé sur le podium de la Bundesliga à une très belle 3e place, synonyme de qualification directe en Ligue des champions. Une qualification qui arrive près de 40 ans après la dernière et que le BMG n’a pas volée. Loin de là.
Udinese, ni la couronne, et encore moins les joyaux
Udinese, ni la couronne, et encore moins les joyaux
À défaut de remporter des titres, l’Udinese a toujours eu la bonne habitude de dénicher des pépites étrangères et de les revendre à prix d’or. Une tradition qui n’a pas été respectée cette saison dans le Frioul.
Frustré par un Leon des grands soirs, le PSG a finalement dû se contenter d’un but opportuniste de Cavani pour réussir le quadruplé. Et d’un très grand Verratti, comme d’habitude.