La FFF homologue 17 équipes de France de football. Celle dont les exploits sont commentés par Bixente Lizarazu, la féminine, les espoirs, l’équipe de France de beach soccer… Et la dernière, née il y a un an presque jour pour jour, l’équipe de France des députés.
Auteur d’une remarquable saison avec Nancy, Clément Lenglet (19 ans) va visiblement changer d’air durant l’été. Si la Juventus Turin fait le forcing depuis plusieurs mois, le jeune défenseur, international Espoirs, est également pisté par Rennes.
Au terme d’un match fou où chaque équipe a eu sa mi-temps, le Chili et le Mexique n’ont pu se départager. Inquiétant pour les locaux.
C’est en France que les plus grosses transactions ont été effectuées. Caen continue de piller Nantes, Sainté s’est payé, comme convenu, Théophile-Catherine et se positionne même sur Okaka. Certainement un effet secondaire de l’arrivée des Qataris en Ligue 1.
Arrivé au Chili en 1939 à bord d’un bateau français et sauvé par Pablo Neruda, Paco Molina, né en Espagne, a écrit l’histoire de la Roja en terminant meilleur buteur de la Copa América de 1953, au Pérou.
Au Chili, Marcelo Bielsa est intouchable. Un homme qui a su mettre en place toute une génération de joueurs, tenir la dragée haute aux grands du continent et rompre avec 10 ans de vide footballistique. Une icône qui condamne son successeur à vivre dans son ombre. Une injustice ?
La fin de saison rime avec finales en tout genre. Dimanche, on était à Décines, banlieue lyonnaise où trône désormais le Grand Stade cher à Jean-Michel Aulas, pour assister à la finale de la Coupe du Rhône. Mais pas que.
Cette année encore, les États-Unis font partie des favoris pour le Mondial féminin. Leur gardienne emblématique, Hope Solo, mérite beaucoup d’attention. Sexe, alcool et football : voici ce qu’il faut retenir de la joueuse la plus rock’n’roll du circuit.
L’Argentine et la Colombie qui déçoivent, des stars au rendez-vous, des petits venus surprendre les favoris : tels sont les enseignements à tirer de la première journée de la phase de poules de la Copa América.
Face au Paraguay, l’Argentine aurait pu commencer la compétition par une démonstration. Mais deux petits exploits paraguayens ont suffi pour balayer la sérénité et installer les doutes dans le camp du vice-champion du monde.
Le 15 juin 1915 s’effondrait sur le front d’Artois un certain Charles Simon. Ce simple soldat du 205e régiment d’infanterie va pourtant laisser son nom dans l’histoire. En effet, la première Coupe de France sera dotée d’un trophée portant son patronyme.
Entre l’envie démente de gagner enfin un titre et la réalité prête à lui démontrer que le trophée va finir par tomber dans les mains des vilains Argentins, prétentieux Brésiliens ou heureux Uruguayens, le Chili ne sait pas vraiment où regarder.
Qui se rapproche encore un peu plus du rendez-vous de l’an prochain ? Quelles grandes tendances géographiques se dégagent ? Où en sont les têtes de gondole ? Zoom sur le dernier week-end de football cette saison en Europe.
Parmi les joueurs libres, on trouve Didier Drogba ou Abou Diaby. Mais d’autres players oubliés et en enfin de contrat peuvent représenter une bonne pioche pour les clubs en manque de liquidités.
Un petit corps râblé, une tronche d’équarrisseur et pas mal de coups de sang. Voilà à quoi ressemble Gary Medel, le joueur préféré du public chilien.
Un niveau de jeu exécrable, des clubs rétrogradés en cours de saison, de la corruption, beaucoup de violence et l’Olympiakos qui finit champion. Une saison de football ordinaire dans le championnat grec.
Entre le limogeage de membres importants du staff de Rodgers, la saga Sterling qui n’en finit plus et le manque de considération à l’égard de certains cadres, Liverpool semble s’enfoncer dans une spirale négative. État des lieux.
Alors que commence la Copa América, celle qui a publié le beau Viene De Mi en 2013 prend le temps de parler un peu ballon rond.
Mené par le Pérou, puis incapable de faire la différence, le Brésil a dû attendre les arrêts de jeu et un nouveau coup d’accélérateur de Neymar pour arracher la victoire (2-1). Cette Copa América est décidément plus serrée que prévu.
Dans un match serré et disputé, le Venezuela est venu à bout d’une bien triste sélection colombienne. Emmenée par un Rondón remuant, la Vinotinto s’offre un succès très précieux.
Ça va fort pour la Slovaquie, l’Angleterre et l’Autriche. Toutes vainqueurs ce dimanche, ces trois équipes caracolent en tête de leur groupe. Derrière, l’Espagne s’accroche, tout comme la Suède de Zlatan. En revanche, ça va mal pour la Russie.
Une fin de semaine plutôt paisible pour un début de mercato. Beauvue devrait signer à Marseille, Felipe Scolari s’exile en Chine et on parle de Pogba à Manchester City. Le calme avant la tempête ?
Dans une rencontre plus compliquée que prévue, les Anglais sont venus à bout de la Slovénie grâce à un doublé de Wilshere et un but en fin de partie de Rooney (2-3).
Quasiment inconnu sur ses terres et prophète à Hoffenheim, Roberto Firmino est envoyé à Manchester United par les journaux brésiliens et anglais. Avant son transfert, le milieu offensif aura à cœur de faire bonne figure pendant la Copa América, lui qui doit ses débuts en Seleção au remaniement de Dunga. Portrait d’un type qui incarne le renouveau de la Canarinha.
Dans le costume d’un favori après son Mondial brésilien, la Colombie dirigée par José Pékerman est attendue comme l’attraction de cette Copa América. Entre l’avènement de James Rodríguez et la renaissance espérée de Falcao.
Dans les années 80, Carlos Henrique Raposo, a inventé le métier de faux footballeur. Sa couverture était simple : signer des contrats grâce à des amis issus du monde du foot et simuler des blessures pour ne pas que révéler son véritable niveau. Un malin.
Dans le dernier carré lors de la dernière Copa América, le Venezuela va essayer de tirer son épingle du jeu dans un groupe qui compte la Colombie et le Brésil. Tout ça avec Oswaldo Vizcarrondo.
De retour à son zénith footballistique, Gerard Piqué pensait se la couler douce durant le rassemblement de la Roja. Raté. En taquinant CR7 lors des festivités blaugrana, le central catalan est désormais la cible des huées.
Un an après l’humiliante déroute à la maison du Mondial, le Brésil de Dunga et ses 100% de victoires n’ont qu’un seul objectif au Chili : la victoire finale.
Recruté dans l’ombre de Luis Suárez, Ivan Rakitić n’en reste pas moins l’une des clés du triplé blaugrana. En troquant son statut de seigneur de Séville pour celui d’infatigable milieu du Camp Nou, le Croate a réussi son pari.
Arrivé dans les bagages de l’OPA Jorge Mendes sur l’AS Monaco, le latéral droit de 21 ans est passé de l’anonymat le plus complet à l’équipe du Brésil en deux ans. Un parcours fait de rencontres, de chance, de talent et de bowling.