Il y a 16 ans, la Lazio disputait le premier match de C1 de son histoire. C’était déjà face au Bayer Leverkusen. Et cette Champions 1999-00, les joueurs de Sven-Göran Eriksson auraient pu aller la chercher.
Si le mois d’août ne livre que des premiers indices sur l’exercice à suivre, Chelsea, le tenant du titre, est pourtant déjà un chantier à lui tout seul. José Mourinho est plus que jamais roi de la démagogie, alors que son équipe a implosé à City. Sinon ? Lloris a fêté sa centième anglaise, Giroud prend les airs et Leicester truste les premiers rôles.
Le Barça y a cru l’espace de dix minutes. Le temps pour Messi d’inscrire un but et pour Piqué de se prendre un rouge. Mais finalement, l’Athletic Bilbao résiste, répond et soulève la deuxième Supercoupe d’Espagne de son histoire.
Les Reds ont assuré l’essentiel ce lundi soir à Anfield, en disposant d’un Bournemouth offensif par le plus petit des scores. Christian Benteke en a profité pour ouvrir son compteur.
Si l’on en croit les rumeurs, Marseille serait sur le point de réaliser le coup de ce mercato. Sinon, Sergio Ramos a enfin renouvelé ses vœux avec le Real, la Roma a déjà remplacé Yanga-Mbiwa et Diamanti s’apprête à retourner sur le Vieux Continent.
Suspendu lors de la première journée, Rodéric Filippi a donc découvert la Ligue 1, dimanche soir, sur la pelouse du Parc des Princes. Une première un peu spéciale face à l’armada parisienne. Mais pas de quoi impressionner le capitaine du Gazélec.
Balayé par l’Athletic Bilbao vendredi dernier lors du match aller de la Supercoupe d’Espagne (4-0), Barcelone a fait preuve, pour la deuxième fois en deux matchs, d’une fébrilité défensive qu’on ne lui connaissait pas.
Antonetti toujours sans club et Dupraz parti balancer des punchlines sur Canal+, les entraîneurs querelleurs sont une espèce en voie de disparition sur les bancs du football français. Heureusement, il y a désormais Régis Brouard.
Absent des terrains depuis novembre dernier après avoir eu le genou totalement explosé par la semelle d’un adversaire, Gilles Donald Yapi-Yapo est sur le chemin du retour et revient sur un parcours jalonné d’embrouilles avec Lucifer et rédemption par la foi.
C’est reparti, top hebdomadaire réactualisé des joueurs qu’il faut suivre en priorité. Pour ce qu’ils font sur le terrain, que ça fasse mouche, ou pas. Parce que plus que de gagner, ce qui compte, c’est de faire vibrer.
À trente-sept ans, Eddie Howe est l’une des nouvelles attractions de la Premier League. Et pour cause, le jeune manager anglais a réussi la prouesse d’extirper Bournemouth des abîmes du football anglais pour les hisser jusque dans l’élite, en seulement sept ans. Encensé de toutes parts, le coach des Cherries n’entend pas s’arrêter là et compte bien continuer à faire des miracles.
La MLS reste encore un mystère et voir une de ses rencontres conserve encore un peu le charme d’une visite au pays imaginaire du foot, au charme hybride. À New York, plus qu’ailleurs.
Paris est déjà premier et gagne sans forcer, suivi par des Rémois et Caennais enthousiastes, alors que l’OL se remet difficilement en route et que l’OM est déjà en proie aux doutes.
Resté sur sa faim à Valence, bazardé par Veron à Estudiantes la Plata, Mauricio Pellegrino est arrivé à Independiente avec la méfiance des supporters. Six matchs et six victoires plus tard, il a fait taire du monde, sobrement.
Trois mois après avoir fêté pendant six minutes un titre imaginaire, le Tractor Tabriz retrouve son antre, au Nord-Ouest de l’Iran, et essaye tant bien que mal de s’en remettre.
En ce week-end du 15 août, généralement synonyme de vacances (ou de villes désertes), certains ont eu envie de se divertir. À l’instar des joueurs de Bilbao, énormes, de Gignac, buteur, ou encore du portier Adrian, en version kamikaze.
Les clubs allemands ont retrouvé les terrains de Bundesliga ce week-end et tout s’est passé comme prévu : le Bayern a été facile, Dortmund a été très fort, Wolfsburg a assuré, les autres équipes ont fait le spectacle. La saison 2015/2016 peut commencer.
Menant rapidement 2-0, les Parisiens n’ont pas poussé pour enfoncer un GFC Ajaccio qui était très loin de pouvoir rivaliser. Même une minute.
93′ : C’est fini pour ce soir les amis. Merci d’avoir résisté à l’ambiance soporifique de la rencontre. Vous êtes grands. Bonne soirée à vous, ciao!
Jour férié oblige, pas beaucoup de mouvement sur le mercato ce week-end : Reims se paye un super-héros, Michaël Ciani s’installe finalement en Espagne, Chelsea éclipse la défaite face à City en officialisant Baba et Yohan Mollo joue avec les mots.
City est en forme, Chelsea en déroute. Dans un match que Sergio Agüero et Yaya Touré auront survolé de bout en bout, Manchester s’impose avec la manière face à des Blues désorganisés.
Surpris d’entrée, le FC Lorient a traîné comme un boulet le but de Floyd Ayité tout au long de la rencontre. Mais les Bretons ont vu leurs efforts récompensés en toute fin de match, grâce à Moukandjo (1-1).
Pour le deuxième match de son histoire dans l’élite, le Gazélec affronte l’ogre parisien, dans un duel des plus déséquilibrés. Perdu d’avance ? Pas si sûr que ça. Voici même quelques conseils pour glaner une victoire surprise.
Une barbichette, des cuisses à la Martin Djetou, un sourire plein de dents, de l’humour, un pied droit précis. Ou comment Serge Aurier, 22 ans, est passé du rôle de numéro 3 à celui de titulaire au PSG.
93′ : Un poteau pour Diego Costa, une parade de Joe Hart, et c’est terminé! City offre une branlée à Chelsea, pour qui le début de saison est compliqué. A plus tard!
Malgré quelques frayeurs sur la pelouse de Crystal Palace, Arsenal a tenu bon et a su s’imposer, 2-1, face à de valeureux Eagles.
Reims et Marseille avaient tous deux une bonne raison de gagner ce match aujourd’hui. Et c’est la première des deux équipes qui a trouvé les ressources nécessaires pour s’imposer. Victoire 1–0 plutôt tranquille pour Reims.
Le Bayer Leverkusen, c’est l’éternel outsider du football allemand. Le club qui ne gagne jamais rien mais qui est toujours placé. Et s’il était l’heure de prendre la fatalité en main ?
De Bruyne est l’attraction du moment. Son talent est une fortune convoitée, sa possession une bataille de chéquiers. Si Man City semble tenir la corde, des questions se posent sur sa capacité d’adaptation à une Premier League qui lui fait la gueule.
95′ : C’est terminé. Marseille a offert une prestation d’une médiocrité rare. Il y a maintenant clairement le feu au lac et l’homme qui aura la lourde tache de remplacer Passi aura du pain sur la planche. Tout va bien pour Reims avec cette deuxième victoire d’affilée ! Après Bordeaux, c’est Marseille qui chute.
San Lorenzo est à la mode ces derniers temps en Argentine. Même le pape François lui fait sa promotion. Et on parle même du fameux « retour à Boedo » validé par la loi, malgré un Carrefour sur les lieux et les derniers doutes du maire de Buenos Aires.