Il est porté dans les stades, sur les terrains le dimanche, dans la cour de recré, dans la rue. Le maillot de foot est le signe de ralliement de tout supporter. Et chaque maillot a son histoire. Cette semaine, celui de la Juventus.
Si la présence de l’entraîneur italien Marco Simone sur le banc de Tours n’a échappé à personne, la signature de son compatriote attaquant Luca Miracoli est passée beaucoup plus inaperçue. Comment ce jeune Transalpin s’est-il retrouvé dans le 37 ?
Véritable cauchemar des attaquants du championnat croate pendant des années, Goran Granić a décidé d’abandonner les tacles et les coups d’épaule en 2009. La cause ? Un entretien avec Dieu.
Lorsque les résultats ne répondent plus présents, il est difficile d’adhérer au jeu de scène mis en place par Mourinho. D’une condescendance inouïe, ce José version 2015-2016 ne fait plus rêver. Pire, il devient prévisible.
Le 27 octobre 1954, la rencontre entre la Fiorentina et l’US Pistoiese est interrompue par l’arbitre. En cause, un phénomène exceptionnel et un mystère toujours irrésolu : des ovnis auraient survolé le stade Artemio-Franchi.
Le 7 juin 1964, Nerazzurri et Rossoblù s’affrontaient à Rome pour se disputer le titre de champion d’Italie. Un événement unique dans l’histoire de la Serie A.
Derrière le bling-bling des stars et le succès populaire, les débats sont nombreux sur la capacité de l’Indian Super League à développer le foot en Inde. Petit tour des questions.
Il faudra s’y habituer : une nouvelle fois, cette Liga devrait se décider entre Real Madrid, FC Barcelone et Atlético de Madrid, candidat déclaré suite à son succès face à Valence. Pour le reste, cette journée a mêlé insultes, sieste et triplés.
Grec, Mc Do, pizza… toutes les bonnes choses (ou pas) ont une fin pour les jeunes footballeurs de haut niveau en vacances. Bientôt de retour dans leurs centres, ils seront confrontés aux pinces à plis et pourcentages à trois lettres : IMC.
West Ham qui n’en finit plus de se payer les gros, Jamie Vardy toujours in fire, Harry Kane qui se réveille enfin, Arsenal en patron et un derby de Manchester soporifique. Ça, c’était la 10e journée de Premier League.
C’était toujours pareil. Partout où le foot l’emmenait, Thierry Roland cherchait avant tout le meilleur resto italien du coin, à peine ses valises posées à l’hôtel. Comme un coq en pâte.
C’est reparti, top hebdomadaire réactualisé des joueurs qu’il faut suivre en priorité. Pour ce qu’ils font sur le terrain, que ça fasse mouche, ou pas. Parce que plus que de gagner, ce qui compte, c’est de faire vibrer.
La Roma et la Lazio ont toutes les deux redonné du prestige à la capitale, tandis que le Napoli continue sur sa lancée et que la Juve s’est peut-être trouvée son nouveau Tévez. Sinon, c’est toujours aussi laborieux pour les Milan. La routine quoi.
Définitive sur Canal Plus, l’annonce de la retraite de Djibril Cissé s’est concrétisée samedi soir, sur le parquet de Danse avec les stars, où ses concurrents s’appellent aujourd’hui Thierry Samitier et EnjoyPhoenix. Et c’est dur à encaisser.
Revenu en Ligue 2 en 2007, le Clermont-Foot ne fédère pas les amoureux du ballon rond en Auvergne. Dans une région qui compte pourtant presque 50 000 licenciés football. Tentative d’explication sur place.
Attendre et espérer. La nouvelle est officiellement tombée jeudi matin : Johan est atteint d’un cancer aux poumons. Un nouveau match commence pour lui. Et il va falloir du « totaal courage » pour le mener. Attendre et espérer…
Notre belle Ligue 1 nous aura encore gâtés ce week-end. Au programme : le PSG qui éclate l’ASSE, le Gaz qui remporte son premier succès, Montpellier qui sort de la zone rouge et l’OL qui respire un peu.
L’US Châteaugiron contre l’US Saint-Malo, deux clubs du 35 et six divisions d’écart : telle était l’affiche du « match de rêve », opération proposée par la FFF pour ambiancer le 6e tour de la Coupe de France. Et nous y étions.
Coup de théâtre : Gianni Infantino, le légendaire chauve de l’UEFA, celui qui dirige les tirages de boules des coupes d’Europe en faisant des petites blagues, devrait présenter sa candidature à la présidence de la FIFA. Mais au fait, c’est qui ce mec ?
Encore un week-end riche en buts et en émotions un peu partout dans le monde (sauf à Manchester). Dommage que vous ayez loupé la moitié des matchs du dimanche après-midi parce que vous aviez oublié de changer d’heure.
Pour sa 1000e victoire en Bundesliga, le Bayern Munich a (comme à son habitude cette saison) plié son adversaire. De son côté, Dortmund s’impose grâce au tandem Reus-Aubameyang, et Leverkusen assure le spectacle.
Comme souvent au Parc, Ruffier a passé une sale soirée. Côté parisien, Ibrahimović et Cavani ont enfin décidé de se faire des passes. Totalement inoffensifs, les Verts peuvent remercier Verratti, qui a allégé l’addition avec un but contre-son-camp.
Sans appuyer, Paris s’impose nettement contre Saint-Étienne (4-1), ne donnant aucune chance aux Verts d’exister. Comme avec le suspense en Ligue 1.
93′ : C’est fini pour ce soir les tarés. Merci d’avoir été avec nous, dormez bien. On se dit à bientôt. Ciao!
Avec de la sérénité d’abord et du métier ensuite, l’Atlético Madrid s’est débarrassé du FC Valence grâce à ses deux nouvelles recrues, Jackson Martínez et Yannick Ferreira Carrasco (2-1). Les Colchoneros restent à deux points de la tête du championnat.
À l’instar de leur poussif début de saison, le Barça a galéré face à Eibar. Une galère qui se conclut tout de même par une nouvelle victoire (3-1), un triplé de Suárez pour son premier anniversaire catalan et une place de leader ex-aequo avec le Real.
Pour l’affiche du dimanche soir, la Roma s’est plutôt facilement défaite de la Fiorentina. Victoire 2–1 grâce, forcément, à un but de grande classe de Salah.
Cela aurait pu se finir sur un nul. Mais un coup franc de Raffael consécutif à une décision contestable de l’arbitre a décidé du sort de ce choc de la 10e journée de Bundesliga. 3-1 pour Gladbach et sixième victoire consécutive. Revanche mercredi.
Emmenés par une bonne paire Batshuayi-Cabella, l’OM s’est fait peur, mais s’est imposé à Lille face à des Dogues trop timides (1-2). Encore grippée, la machine est au moins relancée.
À 34 ans, Zlatan Ibrahimović ne doit pas galvauder sa dernière saison. De son côté, Laurent Blanc doit réussir à gérer un homme en fin de carrière, mais médiatiquement indéboulonnable.
Alors qu’il fête aujourd’hui ses 49 ans, nous sommes allés prendre des nouvelles de Lionel Charbonnier, légende auxerroise et champion du monde 1998. Un entretien entre pays exotiques, joie d’entraîner et vue qui baisse.