Top 10 : les épilogues les plus fous de la Ligue 1
Top 10 : les épilogues les plus fous de la Ligue 1
Un titre qui se joue à la dernière journée, des maintiens arrachés dans les ultimes secondes, des tensions extrêmes, des scores fleuves, des buts improbables et des nuits de folie : l’ultime journée de la Ligue 1, ce n’est pas qu’un multiplex et un petit jingle entêtant, ce sont aussi des épilogues épiques.
Top 10 : les épilogues les plus fous de la Ligue 1
Top 10 : les épilogues les plus fous de la Ligue 1
Un titre qui se joue à la dernière journée, des maintiens arrachés dans les ultimes secondes, des tensions extrêmes, des scores fleuves, des buts improbables et des nuits de folie : l’ultime journée de la Ligue 1, ce n’est pas qu’un multiplex et un petit jingle entêtant, ce sont aussi des épilogues épiques.
Le 18 mai 1991, Tottenham et Forest s’affrontent à Wembley en finale de la Cup et Gascoigne pense s’offrir un bel adieu avant un départ pour la Lazio. Mais le rêve tourne au cauchemar.
Arrivé à Glasgow en 1995 après un passage houleux à Rome, Paul Gascoigne se met les Gers dans la poche très rapidement. Un succès sportif toutefois entaché de ses pires beuveries et actes de violence.
Le 15 juin 1996, Paul Gascoigne marquait l’un des plus beaux buts de l’histoire du foot. Dans un dernier souffle, sur un ultime lob et avec la gueule ouverte.
«Halilhodžić, on n’avait pas intérêt de le décevoir»
«Halilhodžić, on n’avait pas intérêt de le décevoir»
Ce mercredi, Lille affronte Angers pour le compte de la 35e journée. L’occasion de prendre des nouvelles de Philippe Brunel, ancien joueur des deux clubs.
Après avoir muselé la plus féroce des offensives d’Europe, la défense de l’Atlético s’attaque à celle, tout aussi inquiétante, du Bayern. Simeone contre Guardiola.
Dans un match où les prises de risques étaient aussi nombreuses que les buts au tableau d’affichage, il a fallu que Joe Hart se prenne pour Gordon Banks sur une frappe de Pepe. Normal.
Manchester City et Real, sans buts mais avec sueur
Privée de CR7, puis rapidement de Benzema et David Silva, la demi-finale aller de C1 n’a pas été spectaculaire (0-0). Mais Manchester City et le Real Madrid se sont rendu coup pour coup.
S’il a marqué l’histoire du football anglais de son empreinte de géant, Stanley Matthews a également laissé une trace indélébile en Afrique du Sud, où il a lutté, ballon rond entre les pieds, contre l’apartheid.
Stanley Matthews n’a pas conquis la planète football du XXe siècle grâce à sa beauté physique, mais avec son talent, son humilité et sa longévité. Des qualités qui auront marqué l’Angleterre toute entière, des petites gens à la reine du pays.