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On s’est claqué l’entraînement de la Russie, à Leogang, dans le land de Salzbourg…

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On s’est claqué l’entraînement de la Russie, à Leogang, dans le land de Salzbourg…

Les Russes son bien planqués, Guus a tout compris, pour vivre heureux vivons à Leogang. Même en “gépéisant” le bordel, impossible de trouver le campement. Trois détours et cinq «{dans 150 mètres, tournez à gauche}» sont nécessaires, mais bon dieu, nous y voilà.

Le terrain d’entraînement est soigné, l’herbe finement coupée et toutes les indications sont écrites en cyrillique. Une cinquantaine de supporters russes, tous en 4X4 BMW flambant neuf, des mecs au-dessus de tout soupçon donc.

Côté terrain, on s’échauffe, tout doux. On part pour une séance de 45 minutes et l’ambiance est carrément détente. Tout le monde est de bleu vêtu, tout le monde sauf deux personnes en rouge : Guus Hiddink et Andrei Arshavin, comme ça au moins, c’est clair.

Après ses deux matchs de suspension, le super meneur du Zénith est de retour et compte bien se montrer face aux Suédois.

D’un côté, 4 types allument ce qu’on devine être un gardien, non, pas un plot.

De l’autre, deux mini-terrains de tennis-ballon et Guus qui supervise. Ça joue un peu facile, de la tête surtout, Дмитрий Евгеньевич Сычёв, ah pardon, Dmitriy Evgenevitch Sytchev, claque même deux-trois retournés franchement pas dégueus.

Durant toute la session, de la musique traditionnelle russe berce le public venu regarder les hommes d’Hiddink. Ce dernier enlève sa casquette, rideau.

Les joueurs rentrent au vestiaire, Arshavin le fait en jonglant, pourquoi pas. Les demandes d’autographes se succèdent mais la vraie star de cette sélection russe, c’est son coach.

Hiddink est littéralement acclamé par la foule, photos, puis signature, re-photos, même portage de bébé dans ses bras : « Non, non, je prends pas les bébés moi, à chaque fois je les fais tomber alors… » .

Au vrai, les Russes ne filent pas au vestiaire mais directement dans le bus, sans se doucher, on se ment pas, c’est quand même crade.

Le speaker du stade salue les troupes russes qui filent à Innsbruck, en leur souhaitant de les revoir pour un prochain entraînement. Pour ça, il faudra battre la Suède et se farcir les compatriotes de Guus en ¼. On n’y est pas encore.

Au lieu de ça, c’est le Media Center qui nous attend, la télévision est branchée sur les chaînes russes qui diffusent ce qui semble être un tournoi de bras de fer. Surtout il y a elle. Elle n’a pas de nom mais les yeux de l’amour comme dit Pierre. « Love at first sight » comme dit Sinatra. Un cul et des seins aussi, faut être franc. Russe ou Autrichienne, on ne le saura jamais. A Leogang(bang), land de Salzbourg, l’amour existe encore.

Par Alexandre Gonzalez et Pierre Maturana on the road again

Denis Zakaria a plus d’un tour dans son sac

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