- Euro 2016
- Bilan
L’Euro en chiffres
Ça y est, c’est fini. C’est maintenant l’heure de faire les comptes pour le pays hôte, le nôtre, la France. Et voilà ce qu'il faut retenir.
100% : Le taux de connexion du fabuleux outil de Jean-Michel Aulas.
256 000 000 : Comme le nombre de téléspectateurs français en cumulés durant tout l’Euro. Autant dire, beaucoup.
473 : Le prix en euros à débourser en moyenne pour terminer l’album Panini officiel, soit 680 autocollants. Le pouvoir d’achat des enfants n’est vraiment plus ce qu’il était.
40 : Le prix en euros du bouquet « Zlatan » créé par la fleuriste de Pornichet, où résidaient les Suédois.
1 200 000 : Le nombre de vues de la vidéo « Les démons de Moussa » en 48 heures.
80 000 : C’est le nombre de tweets à propos d’Antoine Griezmann après la demi-finale face à l’Allemagne entre 22h30 et 23h30.
8% : La part de Français qui seraient prêts à arriver en retard à leur mariage pour un match de football. Tout s’explique.
650 salariés ont travaillé sur cet Euro. Il y avait 10 fois plus de bénévoles. Vous l’avez ?
0 : Comme le nombre de titularisations de Samuel Umtiti en équipe de France avant le quart de finale face à l’Islande.
1000 : Le nombre d’interpellations durant la compétition, dont 600 se sont terminées en garde à vue et 56 en condamnations.
22 : Comme le nombre de joueurs italiens utilisés sur 23. Un record.
18 : C’est le nombre de pas de la course d’élan de Zaza, avant son tir au but manqué contre l’Allemagne. Un record aussi.
0 : Le nombre de minutes jouées par le véritable héros de cet Euro, Will Grigg.
4% des spectateurs ont déjà demandé le divorce après une défaite de leur équipe.
99,8% : Le pourcentage d’Islandais ayant suivi les exploits des vikings à la télévision.
6 : Le nombre d’éliminations aux tirs au but de l’Italie en tournoi majeur. Aucune autre nation n’a fait pire.
93% : Le taux de Français qui vont pisser à la mi-temps d’un match.
108 : Le nombre de buts inscrits dans l’Euro, soit 2,12 buts par match, ou un but toutes les 44 minutes.
5 : Le nombre de buts d’Antoine Griezmann en phase à élimination directe de l’Euro. Un record.
2 buts seulement ont été inscrits sur les 5 prolongations. Aïe.
7 et 9 : Comme les positions de la France et du Portugal en matière de possession de balle moyenne. En haut du classement, l’Allemagne (63%), l’Espagne (61%) et l’Angleterre (59%). La fin d’une ère ?
28 : Comme le nombre de buts inscrits dans le dernier quart d’heure. Beaucoup plus que dans n’importe quelle autre période du match.
Selon un sondage très sérieux, au moins 1 drapeau algérien a été retrouvé à chacun des matchs de l’Euro. Un exploit.
#EURO2016 [ 85 min #ISL 1-0 #HUN ] et L’Algérie supporte l’ #Islande ! La preuve par le drapeau pic.twitter.com/bP6TazvKwi
— dzonline – Algérie (@dzonline) 18 juin 2016
260 000 000 € : C’est le montant total des mises avant la finale en France, sur internet et dans les points de vente agréés par l’ARJEL (Autorité de Régulation des Jeux en Ligne).
2m61, 71,3 km/h et 0,7 secondes : Soit les chiffres de l’extension de CR7 sur son but de la tête contre le pays de Galles. Le premier correspond à la hauteur atteinte, le second à la vitesse donnée au ballon, le troisième au temps de vol. Un oiseau.
Le soir de France-Albanie, 3,6 pizzas ont été vendues à la seconde par Domino’s. De son côté, le concurrent, Pizza Hut, a enregistré une hausse de 45% de ses ventes sur le début de la compétition. Les Français, quant à eux, ont pris plus de 1 kilo depuis le début du mois de juin. La fameuse chaîne alimentaire.
2297, 70 € : Pas vraiment de chiffres précis sur la consommation de bière en général, mais les Anglais ont laissé un indice à Lille.
Cette note des supporters anglais aux 3 Brasseurs à Lille 😍 (via @francoislaunay) pic.twitter.com/PjzIFLHdiM
— Bertrand Volpilhac (@LA_BEBERANCE) 21 juin 2016
45% des joueurs de cet Euro portaient la barbe. Les Hipsters sont vraiment de partout.
220 000 : Ou le nombre de chambres d’hôtel qui ont accueilli les supporters durant la compétition.
270 000 € : Le prix de 30 secondes de publicité sur M6 le soir de la finale.
Par Gabriel Cnudde et Ugo Bocchi