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Les tirages de la So Foot Collection à offrir à Noël
En collaboration avec l’agence photographique Icon Sport, So Foot vous propose le meilleur cadeau de ce Noël 2019. Chaque début de mois, retrouvez une sélection renouvelée de cinq photographies exclusives de football en édition ultra limitée, avec seulement onze tirages chacune, sur la nouvelle boutique maison. Voici ce que vous pouvez trouver dans la boutique en décembre (et vous pouvez même les recevoir à temps pour les glisser sous le sapin !)
#1 - PSG – Rapid de Vienne, 1996
8 mai 1996. Stade du roi Baudoin, Belgique. Finale de la Coupe des vainqueurs de coupe entre le PSG et le Rapid de Vienne. 28e minute. Faute sur Djorkaeff aux 35 mètres. Coup franc indirect. Ngotty prend quelques pas d’élan. Youri lui décale. La frappe est sèche, à ras de terre, le « coup de pied est recouvert » et permet « au ballon de fuser sur la pelouse » avant de rentrer dans les buts autrichiens, « au ras du piquet » , selon les mots de J.M. Larqué et Thierry Roland, aux commentaires ce soir-là. Les Parisiens peuvent exulter. Ils ne le savent pas, mais ce but leur assure la victoire et le premier titre européen de leur histoire. Il y a 25 ans déjà.
#2 - École de foot du Dynamo Kiev
Cliché collector. Il a été pris en 1984, en Ukraine. Il représente des jeunes de l’école de foot du Dynamo Kiev à l’entraînement. Certainement un exercice de jongles, de la tête. Tous ceux qui s’y sont déjà essayés savent la complexité de la chose. Mais la vraie plus-value de cette photographie réside dans sa composition et sa représentation de l’attraction terrestre.
#3 - Michel Platini – 1985
Un peu plus d’un an après le sacre lors du championnat d’Europe à la maison, la France de Michel Platini doit en passer par les barrages pour décrocher sa place au mondial mexicain. Face aux Bleus se dresse la Yougoslavie de Mehmed Baždarević et (déjà) Dragan Stojković. Elle résistera deux minutes 24 secondes seulement. Le temps pour le n°10 tricolore de rentrer sa spéciale, un coup franc finement enroulé, côté tribune Auteuil. Il réservera son talent pour Boulogne également, avec une superbe demi-volée entre deux défenseurs, à la 71e. Cette frappe composte le billet pour Mexico. C’est la 3e qualif’ de suite à une phase finale de Coupe du monde. La première comme favorite.
#4 - Lionel Messi - 2010
C’est le match du titre. Et celui des records. Liga 2009-2010, il faut attendre la dernière journée pour départager les deux ogres que sont le FC Barcelone de Pep Guardiola et le Real Madrid post Galactiques de Manuel Pellegrini. Au terme des 37 journées, l’équipe de Lionel Messi affiche 96 points et celle de CR7 seulement un de moins, 95. Alors que les Merengues se rendent à Málaga, le Barça reçoit Valladolid au Camp Nou. Le suspense durera moins de 30 minutes, avec un pauvre CSC concédé par Luis Prieto. Le show Lionel Messi peut commencer, façon rouleau compresseur. L’Argentin s’offre un doublé, avec un but du droit, puis un festival de dribbles. Deux unités qui lui permettent de finir Pichichi et de grandement contribuer à un deuxième sacre de suite. Si le fonds de jeu est moins impressionnant que la saison précédente, la manière est historique avec une seule défaite seulement (sur le terrain de l’Atlético de Madrid) et 24 petits buts encaissés sur l’ensemble de championnat. Ce jour-là, les Blaugrana battent Valladolid 4-0 et finissent donc le championnat à 99 points. Quant à Messi, il termine également meilleur passeur avec 10 caviars et confirme son nouveau statut de meilleur joueur du monde, matérialisé par un premier Ballon d’or quelques mois plus tôt.
#5 - Supporters des Pays-Bas – Mondial 98
Juillet 98. Marseille a pris des couleurs inhabituelles, troquant son bleu ciel et blanc pour du orange. Cet été-là, les Pays-Bas jouent trois matchs au Vélodrome. Notamment un quart de finale devenu mythique contre l’Argentine de Daniel Passarella. La météo méditerranéenne additionnée à l’alcool ingurgité confère au stade une atmosphère hors du commun. Moment choisi par Bergkamp pour faire de cet extraordinaire après-midi estival une page de l’histoire du football moderne. Comment ? En recevant une longue transversale de Frank de Boer. La suite, tout supporter de foot qui se respecte la connaît. Les supporters hollandais présents ce jour-là en virage encore plus. Et que dire de celui bien inspiré qui exhibait cette pancarte d’un Dennis la Malice ?
La rédaction