- Ligue 1
- J14
- Monaco-PSG (1-2)
Les notes du PSG face à Monaco
Au terme d'un match complètement dominé, les Parisiens s'imposent grâce à leur force de frappe offensive. Et ce, malgré la maladresse inhabituelle de Mbappé.
PSG
Areola (6) : On juge un grand gardien à sa capacité à être décisif même lorsqu’il est rarement sollicité. On jugera Areola un autre jour, car « rarement » ne veut pas dire « jamais » .
Alves (6) : Élevé au bifteck et aux coups de savates depuis plus de trente ans, pas étonnant qu’il ait la bave aux lèvres sur un terrain de foot. Dani the dog.
Marquinhos (6,5) : Toujours aussi serein, autant complémentaire avec Kimpembe qu’avec Thiago Silva. Presque agaçant.
Silva (7) : Le deuxième Parisien contraint d’abattre un tigre ce week-end.
Kurzawa (5,5) : À chaque match, il fait l’exploit d’être le seul joueur d’une équipe ultra-dominatrice à ne pas convaincre. La barbichette la plus perdue de Paris, en concurrence avec La Fouine.
Verratti (6,5) : La classe italienne, marchand de caviar et explorateur d’espaces. Marco Polo.
Rabiot (7) : Il ne cesse de clamer qu’il ne veut pas jouer au poste de numéro six, alors qu’il sait pourtant parfaitement le faire. Solide sur ses appuis, et précieux dans ses projections à la récupération. Le mur d’Adrien.
Mbappé (5,5) : D’incessants démarrages dans la profondeur à mille à l’heure, mais un désastre face au but avec un festival de face-à-face manqués. Un vulgaire Dennis Oliech, quoi.
Cavani (7) : Dans cette soirée spéciale vendange, la lumière vint comme souvent de l’Uruguayen. Thomas Edinson. Remplacé par Di María à la 82e, la quatrième roue du tricycle.
Neymar (7,5) : « Insolence (nf) : Manque de respect qui se manifeste par de l’effronterie et une hardiesse excessive. » Exemple : les 90 minutes de Neymar ce soir, entre roulettes, petits ponts et autres chalouperies, qui se permet de rigoler quand ses potes gâchent ses passes décisives.
Résultats et classement de Ligue 1 Retrouvez tous les articles « Ligue 1 » iciPar Kevin Charnay