- Ligue 1
- J10
- PSG-OM (0-0)
Les notes du PSG face à l’OM
Un Di María catastrophique, un grand Thiago Silva et un Areola au chômage technique. Le 0-0 a été aussi triste que le bulletin de notes des Parisiens.
Paris Saint-Germain
Areola (non noté) : Le seul stadier qui a pu s’asseoir face au jeu. Mais sans k-way.
Maxwell (6) : La dernière fois qu’il a vu un Japonais en bleu faire autant d’allers-retours devant lui, c’était quand il jouait à Sonic sur Mega Drive. Du coup, Maxwell a couru aussi. Tout seul. William Sherrer.
Marquinhos (6) : Au chômage technique. Aujourd’hui, c’est pas lui qui aurait dû défendre. C’est Papus Camaha.
Aurier (6,5) : Du centre pour rien et beaucoup d’allers-retours. Bayrou avant une présidentielle.
Thiago Motta (5) : Après Santiago du Chili, ou Santiago Bernabéu, voilà Santiags Motta. Les chaussures en cuir de Dick Rivers : usées et has-been. Remplacé par Ben Arfa (6) : le haut du corps de la Chose, le bas du corps de monsieur Fantastique, la tête de l’homme torche, mais le statut de la femme invisible. Les 4 fantastiques à lui seul.
Rabiot (5,5) : Utile mais sans vraie saveur. Rabiot de Danone.
Verratti (5,5) : Enrhumé par Thauvin en début de match, sorti par Emery à l’heure de jeu et pas de roulette à l’entrée de la surface : Marco n’est plus le même depuis son opération. Remplacé par Matuidi (6) que la Ligue créditera d’une passe décisive après avoir considéré le loupé de Cavani comme crime contre le football.
Lucas (4,5) : Des passes mal dosées, des appels mal sentis et finalement trop peu de danger apporté sur son côté. Pas sûr que Lucas soit digne du PSG.
Di María (3,5) : Pas pour rien si le pire parfum des années 2000, par Thierry Mugler, s’appelait Angel. Comme toutes les semaines, Ratatouille a servi la même soupe tiède. Cauchemar en cuisine. Remplacé par Jesé (6,5), qui a plus remué qu’Angel. C’est peut-être ça, le secret.
Cavani (4) : Le seul matador qui louperait un éléphant avec Pascal Olmeta.
Résultats et classement de Ligue 1 Retrouvez tous les articles « Ligue 1 » iciPar Swann Borsellino