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- J5
- Arsenal-PSG (2-2)
Les notes du PSG face à Arsenal
Grâce à un Lucas en très grande forme, Paris a résisté à Arsenal. Sans une bourde de Krychowiak, il aurait même pu obtenir bien mieux.
Paris Saint-Germain
Areola (5) : Même s’il ne peut rien faire sur les deux buts, on attend d’un gardien qu’il prenne ses responsabilités et qu’il bouge ses coéquipiers quand ils se mettent à reculer dangereusement. Fonce, Alphonse !
Meunier (6,5) : Contrairement à Serge Aurier, il n’a eu aucun mal à passer la frontière britannique. En même temps, Kieran Gibbs en douanier, ça ne retient personne.
Marquinhos (6,5) : Si Mesut Özil n’a pas vraiment existé ce soir, c’est en grande partie grâce à lui. Toujours aussi propre.
Silva (6,5) : Selon les historiens, Thiago Silva a perdu un duel en 503 avant Jésus-Christ dans le bassin mésopotamien. À vérifier.
Maxwell (5) : Top 3 des choses les plus fades du monde : 1- les pâtes sans sel et sans beurre, 2- un sketch des Chevaliers du fiel, 3- Maxwell. Toujours aussi terriblement correct.
Verratti (5,5) : À tous ceux qui ont osé dire qu’il ne marquait jamais, le Petit Hibou a répondu avec sa deuxième reprise de volée victorieuse en trois matchs. Bah quoi ?
Krychowiak (4) : Deuxième titularisation en quatre mois au PSG, et il trouve le moyen de perdre un ballon stupidement et de concéder un penalty quelques secondes avant la mi-temps. On aimerait vraiment le voir plus souvent, mais il nous fout la honte à chaque fois qu’on le lance pour un combat. Grzegorz Psykokwak. Remplacé par Ben Arfa peu après l’heure de jeu, qui a à peu près tout loupé, sauf le corner décisif.
Motta (6,5) : Décrié ces derniers temps, il s’est imposé comme le meilleur milieu de terrain parisien, dans un rôle de relayeur, plus près des attaquants. Papy fait de la résistance.
Cavani (5,5) : Cinq buts en cinq matchs de Ligue des champions cette saison, ça devrait inspirer le respect. Mais Edinson le gros cochon a décidé de tout salir en une tentative de lob désastreuse. Un souillon, un porc, un gros dégueulasse.
Matuidi (6) : « Gna gna gna, Blaise ailier gauche, c’est n’importe quoi. » Pressing constant, appels dans la profondeur, centre millimétré, Blaise a prouvé qu’il était à l’aise n’importe où sur le terrain. Mettez-le numéro neuf tout de suite, qu’on gagne du temps.
Résultats et classement de la Ligue des champions Retrouvez toute l’actualité de la Ligue des championsPar Kevin Charnay