- C1
- Demies
- RB Leipzig-Paris SG (0-3)
Les notes du PSG contre Leipzig
Fidèle à sa réputation, Marquinhos a été le patron de ce Paris Saint-Germain dominateur et solide en défense. Sur le front de l'attaque, Neymar et Mbappé ont peiné à conclure, tandis que Di María a profité de la rencontre pour rappeler à quel point il pouvait être précieux. Le milieu a fait le taf, sans plus.
Gardien
Sergio Rico
Il a rafraîchi l’atmosphère quand ça a chauffé autour du but de Paris. Mais ça n’a jamais été la canicule, plutôt une petite chaleur printanière. Aussi utile qu’un bonbon pour la toux contre un petit mal de gorge en hiver. Sympa, mais pas franchement utile.
1313 note(s)
Péter Gulácsi
Oubliez Paredes, Verratti ou Neymar, le meilleur relanceur du PSG, c’est lui. Grâce à une passe lumineuse, il a permis à ses coéquipiers parisiens de faire le break et de tuer le match. Solide.
962 note(s)
Défenseurs
Le Popeye parisien a passé son confinement à faire de la musculation. Mais il aurait peut-être dû se concentrer sur d’autres tâches : bouffer des épinards pour avoir un corps de Mister Univers, c’est bien ; bouffer la ligne pour être un bon latéral, c’est mieux. Qu’en dit Olive Oyl ?
1405 note(s)
Il a passé une mi-temps avec la lèvre explosée et un mouchoir dans la bouche, sans jamais vouloir quitter le terrain, de la même façon qu’il redouble d’efforts pour faire durer l’aventure et quitter le plus tard possible sa maison parisienne. Tanguy Silva.
1473 note(s)
Qu’il est Presko à voir jouer avec ses chaussettes trop basses et son short trop haut. Qu’il est loin, aussi, le temps des choke et des mains décollées. Le Maestro Kimpembe a été serein, viril, solide. Bref, un stoppeur à l’ancienne. Vintage.
1519 note(s)
Il a distribué de l’amour pendant toute la rencontre : à ses coéquipiers grâce à ses passes soyeuses, à son club grâce à un but précieux et à Gulácsi en lui laissant la possibilité de s’illustrer grâce à une nouvelle erreur. Irrésistible Don Juan.
1428 note(s)
Ce garçon sait tout faire : encourager, marquer, défendre, presser et même sauter torse contre torse avec Neymar. Il sera capitaine l’année prochaine et maire de Paris dans trois ans : qu’attend-on pour lui donner les clés de la capitale ? Marquidalgo, les voies de vélo en moins.
1503 note(s)
Milieux
Leandro Paredes
Couci-couça, moyen moyen, cahin-caha, clopin-clopant. Bref, ni bon ni mauvais. Parfois tranchant, mais trop peu visible pour être vraiment admiré : Paredes est un nouveau synonyme de bof. Remplacé par Draxler (82e), venu se rappeler au bon souvenir de la Mère Patrie.
1445 note(s)
Ander Herrera
Tout le monde lui crache dessus, mais il fait malgré tout le taf. Il a multiplié les allers-retours, roulé sur le milieu de terrain allemand et régulé le trafic en heure de pointe. RER A. Remplacé par Verratti (82e). On aimerait bien connaître le secret des médecins parisiens.
1413 note(s)
Il n’est pas forcément le plus visible, mais quel résultat à l’arrivée : deux passes, un but et un rôle déterminant dans la qualification des siens. Les Parisiens doivent lui composer un Ave Di María, avec des cœurs avec les doigts en guise de prières. Remplacé par Sarabia (85e), ok.
1569 note(s)
Attaquants
Quand il est réapparu après des secondes d’invisibilité, il a souvent pêché en voulant trop en faire. Il a tenté de faire le malin pour sauver les apparences, mais la vérité, c’est que Tuchel l’a retrouvé dans la poche arrière droite d’Upamecano. Remplacé par Choupo (85e), pour emmerder Icardi.
1475 note(s)
Meneurs
Neymar
Comme face à l’Atalanta, Neymar a été immense dans le jeu et minuscule dans la finition. Heureusement peut-être, car s’il était plus clinique, le PSG tiendrait une arme qui contreviendrait à la convention de Genève. Mais des essais s’imposent encore. Épargnez le Pacifique.
1449 note(s)
Donner une note
-
⇞
ou⇟
Passer d'un joueur à l'autre. -
←
→
↓
↑
Choisir une note. -
Enter
Valider la note. -
Echap
Fermer le clavier.
Par Valentin Lutz