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- Galatasaray-PSG (0-1)
Les notes du PSG contre Galatasaray
À l'expérience, le Paris Saint-Germain est parvenu à s'imposer en Turquie grâce à sa solidité défensive et son efficacité offensive. Pour le PSG, Icardi est un tueur né, Marquinhos prend le gouvernail et Navas sourit dans son sommeil.
Gardien
Keylor Navas
« Mon Keylor, il est l’or… L’or de se réveiller… » Bien emmitouflé dans sa cage en guise de lit seigneurial, le Louis De Funès costaricien s’est bien chargé de vérifier que tous les deniers étaient au fond de la sacoche parisienne. Voilà trois points pris pour envisager sereinement la folie des grandeurs.
239 note(s)
Défenseurs
Une passe un peu trop profonde à destination de Mauro Icardi c’est vrai, mais quelle activité dans son couloir gauche ! Solide comme un roc pour agir afin de faire plaisir à son président. Jean-Bernatette Chirac.
249 note(s)
Meunier et Tuchel l’ont dit en fin de match : Presnel Kimpembe a été monstrueux. Un adjectif peut-être un peu fort. Optons plutôt pour le « maestrueux » que propose le dictionnaire de Vegedream.
269 note(s)
Son PSG était prévenu : il fallait résister aux flammes. Dans une ambiance chaude comme la braise, le capitaine du PSG s’est montré imperméable à la pression. Peut-on arrêter avec ce débat sur sa supposée frousse dans les grands événements ?
266 note(s)
Thomas Meunier
Besogneux et peu avare dans les efforts, mais un certain manque de lucidité au moment de réaliser le dernier geste pour tromper Muslera. C’était sans doute par solidarité envers son pote Thibaut Courtois.
260 note(s)
Si le Brésilien était aussi à l’aise en miracles dans sa lecture du jeu que dans la lecture tout court, il aurait sans doute fait renaître de ses cendres la bibliothèque d’Alexandrie. Un monstre gentil, mais un monstre quand même.
266 note(s)
Milieux
Idrissa Gueye
De l’abattage et de l’assistance pour épauler le Marquis, comme si le garçon se sentait confortablement à la maison, dans son Parc. Sans ressentir de pression, son adversaire s’est progressivement retrouvé dans sa poche. Ganatasaray.
262 note(s)
Taulier pour sauver sur sa ligne un ballon chaud juste après l’ouverture du score parisienne, roue de secours pour s’allonger derrière le mur en cas de filouterie adverse, expert en couverture de balle avec un genou à terre, avant-dernier passeur décisif. Bref, un conquérant. Marco Polo.
260 note(s)
Trois fois, l’Argentin aurait pu doucher la bouillante Türk Telekom Arena. Trois fois, l’Ange s’est vu interdire la possibilité de refroidir l’Enfer. Comme quoi, il existe bel et bien un monde d’écart entre les deux univers. Remplacé par Ander Herrera (83e), énervant et attachant.
276 note(s)
Meneurs
Pablo Sarabia
Volontaire en première période avec 36 sprints à son actif, Pablito s’est contenté de réciter son football avec amour. Aussi utile qu’une sangría bien fraîche en pleine canicule à Istanbul. Remplacé par Eric-Maxim Choupo-Moting (71e), un Lion à l’aise dans une arène de fauves.
248 note(s)
Attaquants
Mauro Icardi
Les fans de Gala pensaient donner des vertiges à l’avant-centre avec leurs sifflets ? Que les choses soient bien claires : Icardi n’est pas Timo Werner, et il suffit d’une seule balle au tueur à gages pour atteindre sa cible en plein cœur. Remplacé par Kylian Mbappé (61e), qui s’est bien dégourdi les jambes.
248 note(s)
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Par Antoine Donnarieix