- Coupe de France
- Finale
- Angers-PSG (0-1)
Les notes du PSG
Offensifs, les Parisiens se sont fait peur, mais remportent finalement une nouvelle Coupe de France. La troisième de suite et la onzième de leur histoire.
Paris Saint-Germain
Areola (5,5) : « Parc des Princes – Stade de France, même combat ! Paris – Villarreal, j’suis chez moi ! J’fais des jaloux, j’fais des envieux, j’fais même des mérous à la sauce bleue ! Mon nom, c’est Areola, prénom Alphonse Représente le funky-beat made in France ! »
Silva (6,5) : Aussi costaud que Wanderlei, aussi technique que Bernardo, aussi classe que David, aussi brésilien que Gilberto. Heureusement pour Paris, bien meilleur défensivement que Damien Da Silva.
Marquinhos (5) : Mis en difficulté face à la vitesse de Nicolas Pépé et les dribbles de Karl Toko-Ekambi. Un tout petit Marquis.
Aurier (4,5) : D’après lui, seul Dani Alves est meilleur que lui. Serge le Mytho.
Motta (5) : Vu le boulot qu’il a eu à faire, les Parisiens auraient pu venir sans Thiago. Hisse et ho.
Verratti (7) : Très présent sur le terrain, vole la vedette à ses intervenants et toujours le premier pour couper le sifflet de l’arbitre. Marcolivier Fogiel.
Matuidi (6,5) : Blaise a fait du Blaise : récupération du ballon, passe vers l’avant, contrôle et démarche approximatifs. Un vrai dictateur qui fait régner sa loi, calmant même les ardeurs de son « gars sûr » Serge Aurier. Matuidi Charlot.
Draxler (3,5) : Discret, Julian Draxler a passé son match à se cacher dans le short des Angevins. À coup sûr, Herbert George Wells s’est inspiré du match de l’Allemand pour son livre The Invisible Man. Remplacé par Pastore (69e), pas plus visible.
Di María (6,5) : En courant alternatif depuis le début de saison, Di María était branché sur + ce samedi soir. Accélérations, passes laser et dribbles chaloupés, l’Argentin a fait vivre un cauchemar à la défense angevine. Coupable d’un léger accrochage sur Nicolas Pépé, Di María a aussi fait voir son côté sombre. Angel et démons.
Cavani (5) : De l’envie, des occasions, mais finalement 90 minutes à broyer du noir. Thomas pas Edinson.
Par Steven Oliveira