Les notes des Bleus face au Danemark

Hugo Lloris

Après le match contre l’Australie, et cette première période face au Danemark, on commençait à se demander si on devait vraiment compter 141 ou 139 sélections, tellement ça ressemblait à un emploi fictif. Finalement, on peut la comptabiliser.

Jules Koundé

« Quoi ? On est qualifiés pour les huitièmes ? », s’est-il étonné au coup de sifflet final. C’est vrai qu’il n’a pas l’habitude cette saison.

Raphaël Varane

C’est bien de l’avoir revu jouer 60 minutes à l’entraînement. Mais il n’est pas encore tout à fait prêt à commencer un match à haute intensité.

Dayot Upamecano

« Casse la démarche comme Upa, Upamecano ». Ne faites pas attention, on s’échauffe pour le prochain refrain de Vegedream.

Theo Hernandez

Peut-être que si on le foutait dans une arène, on n’aurait pas autant de débats sur la corrida. Parce que c’est sacrément compliqué de mettre à mort ce Taureau Hernandez.

Aurélien Tchouaméni

L’ange gardien du milieu de terrain. Orelsaint.

Adrien Rabiot

Laisser le Christ en scène, c’est l’erreur que n’a pas faite Ponce Pilate. Mais celle commise par Rabiot.

Antoine Griezmann

Sympa de la part de Zidane de venir dépanner. « Il rerevient. »

Ousmane Dembélé

« Mais euh ! Ça fait Maelhe ! » Forcément, pour avoir cassé les chevilles et les reins du latéral danois à de nombreuses reprises, il a entendu cette phrase un paquet de fois.

Olivier Giroud

Il a beau s’être mis à la dolce vita depuis deux ans, il ne dit jamais non à un petit stage de 63 minutes au sein d’une défense bien rugueuse. Syndrome de Stockholm. Remplacé par Marcus Thuram (63^e), fils de.

Soit le nom du stade, mais aussi, accessoirement, le nombre de buts que Kylian va inscrire en équipe de France.