- Coupe de France
- Finale
- Nantes-Toulouse (1-5)
Les notes de Toulouse
Pas un seul Toulousain n'a failli dans cette finale historique de Coupe de France. Conséquence : tous les héros de la ville rose récoltent a minima la moyenne.
Gardien
Kjetil Haug
Il n’a rien eu à faire, même sur le penalty de Blas. Une journée de travail tranquille avec une récompense au bout, le rêve de la CGT.
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Défenseurs
Gabriel Suazo
Personne ne devra être surpris lorsque Gabriel Suazo offrira la Copa América 2024 au Chili.
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Rasmus Nicolaisen
Son adaptation en France se passe bien. Dommage, il passe à un penalty de la mention sur le dernier semestre. Erasmus Nicolaisen, autorisé à passer au niveau supérieur.
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Logan Costa
Un doublé de la tête dans une finale au Stade de France, ça ravive la mémoire. Zinédine Logan Costa. Remplacé par Anthony Rouault (82e).
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Mikkel Desler
Vous n’allez pas y croire, mais Toulouse a gagné la Coupe de France avec deux Danois, mais aucun Français au coup d’envoi. La transition vers l’Europe est déjà opérée.
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Milieux
Branco van den Boomen
Sa patte droite aurait pu faire beaucoup de bien en tant que demi d’ouverture au Stade toulousain ce samedi.
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Stijn Spierings
Toulouse a trouvé le moyen de protéger la cinquième place de la France à l’indice UEFA face aux Pays-Bas : se reposer sur un trio d’enfer néerlandais. Remplacé par Moussa Diarra (82e).
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Brecht Dejaegere
Aussi insupportable à prononcer que merveilleux à regarder jouer. Remplacé par Vincent Sierro (69e), bien plus simple à prononcer mais moins merveilleux à regarder.
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Attaquants
Fares Chaïbi
Un nouveau Lyonnais de formation qui se révèle. Jean-Michel Aulas se contentera de cette victoire par procuration. Remplacé par Rafael Ratão (76e) pour bichonner la pelouse.
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Thijs Dallinga
Dalida faisait valser l’Olympia, Dallinga fait lui carrément chavirer le Stade de France. Un Thijs de diamant, remplacé par Ado Onaiwu (69e), symbole de la mondialisation toulousaine.
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Zakaria Aboukhlal
À deux orteils d’être le 22e interpellé de la soirée. Mais le brigadier Pallois a légèrement manqué sa cible.
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Par Fabien Gelinat
