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Les notes de Ted Lasso
Ted Lasso, ou la meilleure série feel good du monde, a tiré sa révérence mercredi dernier. L’occasion de revenir sur les personnages de cette incroyable fresque footballistique aussi drôle qu’intelligente.
Ted Lasso
Le type est parfait sans trop en faire, drôle, élégant, intelligent et sensible. Il y a 2000 ans, Ted aurait non seulement tendu l’autre joue, mais aurait aussi proposé l’intégralité de sa personne. Un brin sado-maso ? Peut-être. Mention spéciale à cette superbe moustache, bien plus seyante que celle du Domenech de 1978 et sa terrible perdition stylistique.
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Rebecca Welton
Modèle ultime d’empowerment au féminin, Rebecca Welton a su au fil des saisons s’émanciper de la toxicité de son ex-mari en faisant grandir l’AFC Richmond dont elle avait pris la tête en début de série. Deux points en moins cependant pour la perte d’un iPhone dans un canal amsterdamois. Au prix où ça coûte, on fait gaffe.
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Roy « fucking » Kent
Le meilleur personnage de toute cette pu**** de série, bor*** de me***, ça fait plaisir de voir un rôle aussi bien écrit, au langage aussi fleuri et abondant qu’il y a de poils sur son pu**** de torse. Ce sacré fils de p*** se paye même une scène touchante dans laquelle il intègre un groupe de parole créé par l’incroyable Ted Lasso. Rien à redire, pu****.
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Keeley Jones
Second modèle d’empowerment de la série, Keeley Jones voit sa carrière d’attachée de presse et son look exploser tout au long des 3 saisons que compte la série. Elle s’offre même le luxe d’entretenir une courte amourette avec sa patronne. Sa relation d’amitié avec Rebecca Welton et sa volonté d’ouvrir le champ des possibles pour l’AFC Richmond en fin de saison 3 lui offre une superbe note.
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Jamie Tartt
Une note ternie par deux choses : d’abord son parcours quelque peu cliché du mec insupportable devenu le bon gars de l’équipe au fil des saisons. Ensuite sa drôle de relation avec sa mère à faire pâlir Robyn Arryn de Game of Thrones. Pour le reste, regardez la série en VO, ne serait-ce que pour son accent bien Manchester, bien fish and chips, bien God save the King.
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Coach Beard
Binôme de Ted Lasso depuis le début, Coach Beard n’a pas démérité dans sa volonté d’imposer son style bien particulier à l’AFC Richmond, malgré un rôle parfois en retrait… bien vite rattrapé par des scènes surprenantes dont lui seul a le secret. Faits notables pour cette dernière saison : on y apprend son vrai nom et que l’homme est adepte du jockstrap. Même si rien de tout ça ne mérite la haine de Thierry Henry, soyons d‘accord.
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Nathan Shelley
Dernière saison de la rédemption pour notre kitman préféré qui après sa trahison revient plus déterminé que jamais à se racheter auprès de Ted et sa team. C’est même le retour d’une boîte à yeux qui nous avait manqué. Plus kid que wonder.
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Trent Crimm
Belle trajectoire pour celui qui passe de « Trent Crimm, The Independent » à tout simplement « Trent » en faisant partie intégrante de la vie quotidienne du club. Vivement la publication de son bouquin sur la méthode Lasso dans la vraie vie. Régis Le Bris ira forcément l‘acheter.
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Rupert Mannion
Rupert Giles > Rupert Manion.
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Dani Rojas
Le plus beau sourire de l’AFC Richmond se transforme en monstre sanguinaire dès qu‘il rejoint la sélection. Xherdan Shaqiri ou Lukas Podolski ?
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Colin Hughes
Superbe mise en lumière au cours de la dernière saison pour un joueur jusqu’alors en demi-teinte. On lui doit notamment un coming out extrêmement bien amené qui prouve une fois de plus que Ted Lasso, en plus d’être une extraordinaire série, met un point d’honneur à mettre l’inclusivité au centre de sa narration. Dans un monde où le football a encore du chemin à parcourir sur la thématique de l’homosexualité, la voir mise en scène est une initiative rafraîchissante. Un flocage arc-en-ciel pour l‘AFC Richmond, s’il vous plaît.
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Thierry Henry
Belle prestance à l’image pour notre Thierry national de qui on attendait malgré tout une meilleure répartie dans cette scène d’ouverture du dernier épisode. On se rattrapera en se disant qu’il sait décidément tout faire, même suivre un script à la lettre.
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Pep Guardiola
Même quand ce n’est pas dans la vraie vie, il gagne la Premier League. Écœurant.
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Zava
Parce que c’est Zava, tout simplement.
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Par Thomas Chatriot