- C1
- 8es
- Real Madrid-Manchester City (1-2)
Les notes de Real-City
Malgré une défense fébrile, qui a souffert sous les coups de boutoir d'un Vinícius remuant, les Citizens ont fini par trouver la faille, emmenés par un Kevin De Bruyne au sommet de son art. Varane a réalisé un match solide, tandis que la vieille garde des deux camps prenait un gros coup de vieux. Enfin, dans le duel des Mendy formés au Havre, Ferland a pris le dessus sur Benjamin.
Meneurs
Kevin De Bruyne
On peut nous dire ce qu’on veut, qu’il ne sait pas défendre, qu’il est belge, qu’il est méchant, qu’il n’est pas beau, qu’il est un peu gros, mais la vérité, du moins la seule chose qui compte vraiment, c’est que Kevin De Bruyne est un génie.
299 note(s)
Attaquants
Gabriel Jesus
Jesus a peut-être enfin montré pourquoi il était digne de la confiance de Pep Guardiola. Véritable poison, le Brésilien a renversé Ramos pour égaliser et a provoqué la chute du capitaine madrilène. Sergio qui ?
193 note(s)
Ailiers
Vinícius Júnior
Le destin de Vinícius ressemble à un épisode de Bip Bip et Coyote. Longtemps plein de bonnes idées, mais maladroit dans la finition, le Coyote du Real a semblé enfin parvenir à ses fins en donnant l’avantage au Real. Mais à la fin, c’est encore une fois raté. Remplacé par Bale (75e), venu se rappeler au bon souvenir de l’Angleterre.
189 note(s)
Défenseurs
Raphaël Varane
Longtemps dans l’ombre du méchant Ramos, le gentil Varane s’est peut-être imposé comme la fondation la plus solide de la Maison-Blanche. Foutez-le à la frontière, ce type est peut-être le seul capable d’arrêter le coronavirus.
198 note(s)
Ferland Mendy
Dans le duel des Mendy formés au Havre et qui évoluent au poste d’arrière gauche, le Madrilène Ferland a pris le dessus sur le Mancunien Benjamin. Solide défensivement et convaincant offensivement, Ferland a peut-être montré que le jeunisme avait du bon.
146 note(s)
Sergio Ramos
Le grand sauvage du Real Madrid a sombré : à deux doigts de détourner le ballon dans son propre but en fin de première période, Ramos est également à la ramasse sur l’égalisation de Jésus, puis condamné à quitter la pelouse prématurément à cause d’un carton rouge. Et si le plus grand vilain de la planète football avait enfin été vaincu ?
156 note(s)
Dani Carvajal
La Maison-Blanche est en danger, et un autre de ses meubles historiques s’est montré particulièrement fragile ce soir. À la cave, Carvajal ?
127 note(s)
Benjamin Mendy
Triste période pour les Benjamin. Tandis que le Benjamin de la politique a été mis au placard après une sombre histoire de vidéos, le Benjamin du football a montré qu’il tenait peut-être lui aussi de l’ancien monde.
128 note(s)
Nicolás Otamendi
L’Argentin a peut-être deux syllabes de plus que son compère français dans le patronyme, mais n’a absolument rien de plus que lui sur le terrain. Autrement dit, il n’y a vraiment pas grand-chose à voir.
111 note(s)
Milieux
Isco
Ce soir, Isco était en mode Ico. Comme dans le fameux jeu vidéo, le sosie de Santiago Solari a été abandonné comme une âme en peine en première mi-temps, avant de trouver la sortie du labyrinthe et de guider fermement le Real. Remplacé par Jović (84e), pour rien.
146 note(s)
Luka Modrić
Pendant quelque temps, on s’est souvenu pourquoi Luka Modrić avait remporté le Ballon d’or. Puis, il a sombré avec le reste de son équipe. Ah, c’est quand même beau les artistes. Remplacé par Vasquez (84e), forcément beaucoup moins romantique.
136 note(s)
Riyad Mahrez
Mahrez est un peu l’anti De Bruyne : beaucoup plus en vue, mais bien moins décisif. L’ailier algérien a vendangé comme rarement et s’est imposé comme un énorme croqueur. Mais bon, il en faut peut-être un dans chaque grande équipe.
214 note(s)
Federico Valverde
La hype Valverde a pris un gros coup ce soir : même en présence d’un milieu anglais loin d’être dominant, la « pépite » madrilène n’a jamais vraiment réussi à s’imposer.
120 note(s)
Bernardo Silva
Une élégance balle au pied à en tomber par terre, mais très peu de différences créées balle au pied. Remplacé par Sterling (73e), qui a fait tout l’inverse, à savoir courir très mal et réussir très bien.
121 note(s)
Rodri
Quand Pep réclame à tout prix un joueur, en fait un titulaire indéboulonnable et même un capitaine, on a toujours tendance à s’attendre à quelque chose d’impressionnant. On a finalement eu droit à un brouillon peu reluisant.
111 note(s)
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Par Valentin Lutz