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- Manchester City-Real Madrid (4-3)
Les notes de Manchester City face au Real Madrid
Pour ce match d'anthologie, plusieurs Citizens avaient sorti le trois-pièces, notamment Bernardo Silva et Kevin De Bruyne. Mais si le Real est encore en vie dans cette demi-finale, c'est aussi à cause des errements d'Aymeric Laporte.
Gardien
Ederson Moraes
Gianluigi Buffon n’est plus le seul au panthéon des plus grands gardiens de l’histoire à s’être mangé une panenka par un génial footballeur français. Attention tout de même à ne pas faire les mêmes bourdes à 44 ans.
380 note(s)
Défenseurs
John Stones
Il a tenu à voir un but du futur Ballon d’or de près, avant de sortir. Le sens du spectacle. Remplacé par Fernandinho (36e, 6), qui prouve bien que n’importe qui peut jouer latéral dans une équipe de Guardiola : dans tous les cas, c’est joli offensivement, mais ça pose problème défensivement.
348 note(s)
Ruben Dias
Ce soir, tous les attaquants madrilènes ont pu comprendre le rôle d’un maire en France : chacun a pu, à tour de rôle, attraper les ciseaux et découper le Ruben.
378 note(s)
Aymeric Laporte
Il s’est chargé tout seul de garder le Real dans le coup, en laissant marquer Vinicius et en offrant un penalty à Benzema. Soirée Laporte ouverte.
428 note(s)
Oleksandr Zinchenko
L’un des plus beaux messages de soutien pour l’Ukraine que l’on puisse faire, c’est de laisser Zinchenko se battre comme un beau diable sur son côté.
408 note(s)
Milieux
Rodri
Si le match est débridé, c’est précisément qu’il fait mal son boulot. Ça donne une idée de la soirée qu’il a passée.
408 note(s)
Bernardo Silva
Le meilleur Portugais de la ville, sans aucun doute.
476 note(s)
Riyad Mahrez
Il a été trop gourmand, il a mangé la feuille, mais, forcément, il s’est régalé. Vous l’avez compris : mieux vaut l’avoir en peinture qu’à table.
521 note(s)
Phil Foden
Un futur grand, et ce n’est pas aujourd’hui qu’on s’en est aperçu. En avril, on ne découvre pas un Phil.
435 note(s)
Meneurs
Kevin De Bruyne
À quoi sait-on qu’il fait un grand match ? Quand son visage est écarlate dès la deuxième minute et que des marmots lui sautent dessus pour lui faire un câlin à la 91e.
502 note(s)
Attaquants
Gabriel Jesus
S’il n’a pas envoyé le Real en enfer quand il aurait pu, il faut aussi comprendre que son père jouait à son poste dans l’équipe d’en face : une bonne raison d’être intimidé. Remplacé par Sterling (82e), excité comme une puce.
397 note(s)
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Par Paul Citron