- C1
- 8es
- Juve-Lyon (2-1)
Les notes de Lyon contre la Juve
Un duo Marcelo-Denayer solide en défense, un Caqueret infatigable au milieu et un Memphis Depay culotté devant. Ce Lyon a su répondre présent à peu près dans tous les domaines pour obtenir une défaite (2-1) qui lui suffit pour éliminer une fébrile Juventus.
Gardien
Anthony Lopes
Quel que soit le tournage, quels que soient le scénario et les acteurs autour de lui, il brille toujours par son jeu d’acteur. Et encore plus quand il remet le couvert dans un savoureux remake : Anthony Hopkins, dans Le Silence des Agnelli.
540 note(s)
Défenseurs
Jason Denayer
Ce gars-là est fait d’un autre bois, plus noble que les autres, mais qui finit tout de même par se briser. Jason Denoyer. Remplacé par Joachim Andersen (60e), Anderchêne.
467 note(s)
Marcelo
Les enseignes vegan continuent de fleurir à Lyon, mais lui reste droit dans ses bottes : Marcelo est un carnassier de la première heure, qui ne laisse aucun répit à ses proies et les dépèce à la moindre occasion. De la barbaque pour Tonton Marcel, et que ça saute !
457 note(s)
Marçal
Il attaque et défend comme un attaquant. Anthony Marçal.
415 note(s)
Léo Dubois
Son style d’écriture n’est ni flamboyant ni majestueux. Tantôt brut de décoffrage, tantôt effacé, Léo doit encore affiner sa plume pour connaître le succès de son homonyme Jean-Paul Dubois, Prix Goncourt 2019. Au moins, il continue de se positionner pour la rentrée littéraire, à l’inverse des scribouillards turinois. Remplacé par Kenny Tete (90e), qui a écrit l’épilogue.
407 note(s)
Maxwel Cornet
Il est toujours là au menu, mais une fois la première bouchée dégustée, on se rend compte que l’ensemble est assez fade, à tel point qu’il reste souvent stocké dans l’arrière-cuisine. Maxwel Encornet.
398 note(s)
Milieux
Bruno Guimarães
On le voyait comme le complément idéal de Lucas Tousart, il est bien plus que ça. L’esthète à la patte de velours sait aussi jouer les caïds quand il le faut. Sa dernière banque braquée ? Celle d’un certain Maurizio Sarri. Et son fameux gang des postiches n’en a que le nom, tant il n’a pas fait semblant. Bruno Berliner.
423 note(s)
Houssem Aouar
L’Aouar est une comédie de Molière en cinq actes et en prose, dont le personnage principal se distingue par son absence d’avarice. Pas avare d’efforts, pas avare de petits ponts tentés… Tellement rusé pour parvenir à ses fins qu’il a fini par entourlouper tout le monde. Remplacé par Thiago Mendes (90e), escroc à la petite semaine.
416 note(s)
Maxence Caqueret
Maxence Caqueret n’a rien compris. Alors que le combo canicule + Covid-19 devrait inciter les jeunes freluquets dans son genre à rester carapaté chez soi, boire de l’eau et garder ses distances, le Gone a fait tout l’inverse. Quand il arrêtera de courir, c’est qu’il sera mort.
467 note(s)
Memphis Depay
Ses ailes encrées sur ses pecs sont là pour en témoigner : ce gars-là est un ange, qui peut aussi se transformer en démon quand il oublie d’en garder sous le coude. Mais à la fin, c’est bien la bonne parole qu’il a prêchée tout le match qui a fini par s’ancrer dans les esprits. Remplacé par Moussa Dembélé (67e), beau bébé.
418 note(s)
Rudi Garcia
Pour une fois, il n’a pas attendu la saint-glinglin pour faire des changements. Que fera-t-il le jour de la Saint-Marie (15 août, à l’occasion du quart de finale de C1 contre Manchester City) ?
373 note(s)
Attaquants
Karl Toko Ekambi
Il est sympathique, sémillant et déborde de bonnes intentions, mais il ne fait pas peur à grand-monde. Karl Toko-Bambi. Remplacé par Jeff Reine-Adélaïde (67e), insaisissable dans les fourrés.
377 note(s)
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Par Douglas de Graaf
