- C1
- Finale
- Tottenham-Liverpool (0-2)
Les notes de Liverpool contre Tottenham
Sans vraiment être brillant dans le jeu, Liverpool a remporté la sixième Ligue des champions de son histoire. Et si Mohamed Salah et Divock Origi ont été les deux buteurs, les Reds doivent aussi cette victoire à leur gardien Alisson, au roc Van Dijk ou à leurs latéraux, tous les deux excellents ce soir. Sans oublier Jürgen Klopp.
Gardien
Alisson Becker
Le portier brésilien devait faire oublier Karius ? Mission accomplie, il n’a rien laissé passer, lâchant même quelques parades décisives en seconde période. Allez, donnez-lui la Ligue des champions, c’est mérité. Alisson au pays des merveilles.
428 note(s)
Défenseurs
Trent Alexander-Arnold
Une activité incessante sur son côté droit, des grandes montées, des centres parfaits, une défense solide et même une frappe incroyable pas loin de faire trembler les filets. Cela ne fait aucun doute, Alexander-Arnold s’était mis sur son Trent-et-un pour cette finale.
396 note(s)
Joël Matip
La vie d’un défenseur central paraît tellement facile quand elle se déroule aux côtés de Van Dijk que l’international camerounais aurait pu se reposer sur son partenaire, mais cela n’a pas été le cas. Et il s’est même offert le luxe de délivrer une passe décisive pour Origi. Matip hip hip hourra !
371 note(s)
Virgil van Dijk
Un dyke, ou dike, est un filon de roches qui s’est injecté dans une fracturation d’une masse rocheuse, selon nos amis de Wikipédia. Et un Van Dijk est un rocher tout court, impossible à fissurer, même si une strikeuse n’était pas loin de lui faire perdre son premier duel de la saison.
397 note(s)
Andrew Robertson
« And here’s to you, Mr. Robertson, Jesus loves you more than you will know, wo wo wo ! God bless you, please, Mr. Robertson, heaven holds a place for those who win, hey hey hey ! » Encore meilleur qu’un tube de Simon & Garfunkel, quel joueur !
367 note(s)
Fabinho
Tel un instrument à vent, il a soufflé le chaud et le froid, mais il est nécessaire de retenir sa première période impeccable. La douce mélodie de son jeu permet toujours à ses partenaires de briller, et c’est remarquable. Fabiniou.
353 note(s)
Jürgen Klopp
Le technicien allemand n’avait pas manqué d’ironie en conférence de presse avant la rencontre : « Si j’étais la raison pour laquelle j’ai perdu six finales de suite, tout le monde devrait s’inquiéter. » Pas d’inquiétude, la septième était la bonne. Jürgagne Klopp.
357 note(s)
Milieux
Jordan Henderson
Il s’est retrouvé au cœur d’une lutte de territoire au milieu de terrain, sans vraiment parvenir à rouler sur ses adversaires tel un biker aguerri. Mais sa prestation quelconque n’a finalement pas perturbé les ambitions de son club. Henderson of anarchy.
368 note(s)
Georginio Wijnaldum
Tout le monde sait qu’il existe et qu’il est placé entre des Rouges, mais personne ne sait vraiment le placer sur la carte du Wanda Metropolitano, tant il a été inexistant. Géorgie Wijnaldum, remplacé par James Milner (62e), le nerf de la guerre.
345 note(s)
Mohamed Salah
Il n’a pas eu besoin d’attendre 21h42 pour rompre le jeûne, puisqu’il a commencé à croquer cette finale à pleines dents après 1 minute 48 seulement, transformant son penalty sans trembler. Salahde, tomates, oignons, sauce Red, chef !
415 note(s)
Sadio Mané
L’attaquant sénégalais aurait pu devenir le premier joueur à marquer lors de deux finales de C1 d’affilée depuis l’Allemand Franz Roth avec le Bayern Munich en 1975 et 1976, mais il restera dans l’histoire comme celui qui a su viser la main de Sissoko pour montrer la voie à Liverpool. La Mano de (Sa)dios. Remplacé par Joe Gomez (89e), pour le plaisir.
369 note(s)
Meneurs
Roberto Firmino
Heureusement qu’il est sorti à l’heure de jeu pour nous rappeler sa présence sur le terrain du Wanda Metropolitano, même s’il est vrai qu’il n’a pas vraiment été aidé par ses coéquipiers. Seize ballons touchés, zéro tir tenté, l’international brésilien s’est fait discret comme un petit enfant ce soir. Roberto Firminot, remplacé par Divock Origi (58e), venu faire un perfect en Ligue des champions cette saison. Trois tirs, trois pions, ça se respecte.
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Par Clément Gavard