- En partenariat avec Rue des Joueurs
Les notes de l’épisode 10 de Top Chef
L'épreuve mythique de la boîte et encore un favori qui passe à la trappe : cette dixième semaine de Top Chef valait bien un quart de finale de Ligue des champions. Alors, qui a ébloui le jury ?
joueurs
Pierre Chomet
Ça se voyait qu’il avait une tronche de chouchou du prof, on en a eu la confirmation quand Arnaud Donckele lui a offert la qualif’. Pistonné !
1013 note(s)
Baptiste Trudel
Mais que s’est-il passé, Baptiste ? C’était toi, l’élu ! C’est toi qui devais sortir Matthias ! On va pas se mentir, on a compris que c’était mal barré quand il a raconté le drame qui l’avait affecté en pleine dernière chance, et que c’est tombé comme un cheveu sur son topinambour. Un favori vient de tomber. On ne t’oubliera pas, Baptiste. Surtout Pauline.
1036 note(s)
Sarah Mainguy
Parfois, on se qualifie parce qu’on est dans la bonne équipe. Après tout, le PSG s’est bien qualifié pour la demi-finale de Ligue des champions avec Draxler sur le terrain, hein…
1002 note(s)
Mohamed Cheikh
Voilà deux mois et demi qu’il essaie de gagner les faveurs d’Hélène Darroze, et voilà qu’Arnaud déboule et fait briller les yeux de la patronne avec son poulet jaune à la con. Loin de se laisser abattre, Mohamed a fait briller ses sauces et son palais, il a identifié les trois quarts des ingrédients dans la boîte noire, et épaté le chef Goujon. Enfin une qualif’ obtenue haut la main, c’était pas trop tôt. Et pour ce qui est de l’estime de Darroze, on verra plus tard.
1043 note(s)
Arnaud Baptiste
Quand tous les autres utilisent la moitié du dictionnaire pour décrire leurs sauces ( « Émulsion très légèrement iodée accompagnée de son onctueux velouté de volaille » ), Nono est fidèle à sa réputation, et annonce « Une sauce sucrée-salée. Voilà. Bon ap’. » Parce que la cuisine, parfois, se passe des mots. Une leçon que Matthias devrait retenir.
1036 note(s)
Matthias Marc
Quand tu l’écoutes réagir à l’intitulé d’une épreuve, il est sur le point de révolutionner tout un pan de la cuisine moderne tellement il maîtrise le sujet. Et quand il faut se fier un peu aux autres, Charline hier, et ses collègues dans la boîte noire aujourd’hui, il tire une tronche de douze mètres de long. Sauf que cette fois, ça passe ric-rac pour le petit prince à l’égo d’un grand roi…
1082 note(s)
Bruno Aubin
Se qualifier haut la main quand on a cru reconnaître une bouillabaisse au lieu d’une tielle sétoise, c’est, au choix, un coup de maître ou une formidable arnaque.
1012 note(s)
Michel Sarran
Michel Sarran dans la boîte noire, c’est Neymar dans la moitié de terrain du Bayern : des inspirations géniales et une maîtrise technique de tous les instants.
1010 note(s)
Philippe Etchebest
Philippe Etchebest qui motive ses candidats en leur mettant des gros coups de pression et des giga patates dans l’épaule, c’est bien. Philippe Etchebest, rattrapé par le goût de la compétition, qui se met aux fourneaux comme un boxeur qui monte sur le ring, c’est mieux.
991 note(s)
Hélène Darroze
Pour séduire Hélène Darroze, c’est pas très dur : tu lui fais un plat typique de sa région, et aussitôt elle frétille comme un épagneul le jour de l’ouverture de la chasse. Il a suffi à Arnaud de mentionner son poulet pour qu’elle parte en envolées lyriques sur sa grand-mère.
984 note(s)
Paul Pairet
« Mais c’est pas du tout du gel, ils m’ont dit des conneries ! Moi, je me casse le cul à faire du gel. » Paul Pairet est tellement fort qu’il ne se contente pas d’identifier la composition du plat dans la boîte noire : il réussit même à deviner qui l’a préparé. On lui laissait trente secondes de plus, il trouvait la marque de la bagnole de Goujon et la couleur de son caleçon. Comment tant de génie peut tenir sous une si petite casquette ?
1064 note(s)
Arnaud Donckele
Il suffit qu’il apparaisse à l’écran, tout sourire, pour qu’on se sente bien. Pas étonnant qu’il soit aussi fort pour saucer : son être tout entier suinte de bonté. Il faut voir comme Pierre l’admirait lorsqu’il est apparu sur le plateau, on n’avait pas vu tant d’amour dans le regard de quelqu’un depuis le lard fumé cuit au flambadou qui se reflétait dans les yeux d’Adrien Cachot. Et puis l’ami Donckele n’est pas venu pour poser du lino ou proposer une épreuve en trompe-l’œil à la noix : non, lui, il a fait le déplacement pour des sauces, le nerf de la guerre des grandes cuisines. Un très grand chef pour une très grande épreuve.
846 note(s)
Gilles Goujon
Toujours un plaisir de retrouver Gilles Goujon et son franc-parler, résidents permanents de l’émission (en attendant que la place d’Hélène se libère ?). Bon, en revanche, était-ce vraiment si surprenant pour les candidats que ce soit lui l’auteur du plat mystère, sachant qu’il apparaît dans l’émission tous les quinze jours environ ? Tu reviens quand tu veux foutre des coups de pression aux candidats, Gilou. +1 pt pour le monochrome noir dans la boîte noire, parce qu’on aime bien les mises en abyme. Et encore +1 pour avoir utilisé 74 fois le terme « céphalopode » à la télévision à une heure de grande écoute.
879 note(s)
Stéphane Rotenberg
Un phare dans la nuit. Bon, c’est la nuit d’Hélène Darroze, mais c’est déjà pas mal. Et la prochaine fois qu’il y a du céleri dans un plat, Stéphane se glisse sous la table pour qu’elle lui refile en scred.
796 note(s)
La boîte noire
Indiscutablement l’une des épreuves reines de l’émission, d’une exigence et d’une complexité folles, puisqu’elle exige à la fois un palais expérimenté, une technique irréprochable et un esprit d’équipe sans faille. Et quand en plus on a droit à Gilles Goujon qui se fout de la gueule des candidats qui racontent n’importe quoi, ça devient l’épreuve parfaite.
736 note(s)
Le monteur qui fout des ralentis des chefs hochant la tête d'un air satisfait
Merci pour la grandeur de ton œuvre, frérot. Tu es mûr pour Hollywood.
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Par Julien Mahieu
