- C1
- Quarts
- Monaco-Dortmund (2-1)
Les notes de Dortmund face à Monaco
Borussia Dortmund
Bürki (4) : Dégager des deux poings la frappe de Benjamin Mendy ? Très peu pour lui. Roman préfère prendre la pause en sautant les bras écartés. Dites « Bürki » sur la photo. Et Mbappé ouvre le score.
Piszczek (3) : Le Polonais tenait à ce que tous les Monégasques participent à la fête. Il offre la balle à Lemar qui sert Germain sur le troisième but. Pisz-czek type.
Papastathópoulos (6) : Une gueule de méchant, des interventions au-dessus des lois (quand il pousse Falcao dans la surface en première période), mais c’est clairement le taulier de sa bande. Sokrátis Rastapastathópoulos.
Ginter (2) : Un marquage digne d’un joueur de feu la catégorie poussin combiné avec des passes directement envoyées en touche. La Ginter Flush Royale de la lose.
Guerreiro (4) : Mis à part les coups de pied arrêtés, la patte gauche du Borussia a disparu des radars. Raphaël guère héros.
Şahin (6) : L’homme auteur de la déclaration du match aller n’a eu droit qu’à 45 minutes. Le temps pour lui d’envoyer un coup franc sur le poteau de Subašić et de faire le boulot défensivement. Şahin and out. Remplacé par Schmelzer (4) qui partage un prénom avec le chauffeur de camion de Fred et Jamy, mais pour qui il semble sorcier de défendre.
Weigl (4) : Un cœur de rockeur, mais un match limité à l’image du coup d’épaule qu’il a reçu de la part de Mbappé. Ce n’est rien.
Durm (2) : Sorti au bout de 25 minutes après être passé à deux doigts du csc. Un match de Durm. Remplacé par Dembélé (6,5) qui a rappelé qu’à Monaco, on aimait bien la Formule 1. Impossible à arrêter sur son aile droite, il a fait l’amour à Benjamin Mendy avant de déposer un caviar à Reus. Si Didier Deschamps se décide à jouer, on va se marrer en 2018.
Kagawa (5) : Son jeu de jambes et son œil auraient eu plus d’impact au Master 1000 de Monte-Carlo que pour donner des ballons à un Aubameyang en galère. Nippon ni mauvais.
Reus (6) : Au foot, contrairement à en amitié, on a le droit de toucher au Reus. C’est dommage parce que lorsqu’il n’est pas blessé, Marco régale plus que Simone.
Aubeameyang (2) : Heureusement qu’il y a une piste d’athlétisme à Louis-II. Il aura au moins pu faire quelques courses utiles autour de la pelouse.
Par Swann Borsellino et Florian Lefèvre