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Les douze plus beaux maillots de l’histoire
Par Julien Mahieu
5 minutes
Pas facile de trancher, mais à un moment, il faut prendre une décision : voici les douze plus beaux maillots du football.
Brésil, 1970
Comment résumer la performance du Brésil lors de la Coupe du monde 1970 ? Peut-être la plus belle sélection brésilienne de tous les temps : Pelé, Jairzinho, Carlos Alberto, Rivellino, Gérson, Tostão… Une compétition survolée, voire écrasée : trois victoires en trois matchs en phase de poules, puis 4-2 contre le Pérou, 3-1 contre l’Uruguay, et une gifle 4-1 contre l’Italie en finale… Et bien sûr, un maillot devenu légendaire…
Ajax Amsterdam, 1970-71
Le plus sobre, assurément. Un maillot blanc, une large bande rouge, un col blanc, et basta. Oh, et Johan Cruijff pour le rendre absolument mythique, évidemment.
Saint-Étienne, 1975-76
Le plus fort, évidemment, c’est le Vert. L’épopée stéphanoise en Coupe des clubs champions s’interrompt brutalement sur les poteaux carrés de Sepp Maier, mais le maillot de la bande à Larqué reste dans l’histoire. Si tout le monde se souvient du logo Manufrance qui ornait le poitrail des Verts en D1, le maillot restait vierge de tout sponsor en Coupe d’Europe. Et au fond, ce n’est pas plus mal comme ça.
Liverpool, 1976-77
Un an plus tard, les Verts sont éliminés dès les quarts de finale de la Coupe des clubs champions par les futurs vainqueurs de l’épreuve : les Reds de Kenny Dalglish, Terry McDermott et Ian Callaghan. Qui eux non plus, tout de rouge vêtus, ne manquent pas d’élégance.
Bastia, 1977-78
Deux ans après la finale européenne perdue par les Verts, Bastia réalise une nouvelle épopée française et se hisse en finale de la Coupe de l’UEFA, en sortant notamment Newcastle, le Torino et le Grasshopper Zurich. L’occasion d’arborer face au PSV Eindhoven ce maillot bleu et cette tête de Maure du plus bel effet. Et tant pis si ça se termine par une lourde défaite au match retour (0-0, 0-3)… Combien de clubs français ont porté aussi haut leurs couleurs ?
Boca Juniors, 1981-82
Au début de sa carrière, Diego Maradona n’a évolué que deux petites saisons sous le maillot des Boca Juniors, qui avaient dépensé une fortune pour l’arracher aux Argentinos. Deux saisons qui ont suffi au Pibe de Oro pour exploser au plus haut niveau, marquer à jamais l’histoire du club en terrassant l’ennemi juré de River Plate en finale du championnat, et rendre éternel ce maillot bleu barré d’une bande jaune.
Paris Saint-Germain, 1981-82
La saison 1981-82, pour le Paris Saint-Germain, c’est avant tout celle du premier trophée de l’histoire du club, avec cette Coupe de France remportée aux penaltys face à l’AS Saint-Étienne. La saison 1981-82, pour le PSG, c’est Luis Fernandez, c’est Dominique Bathenay, c’est Dominique Rocheteau, c’est Mustapha Dahleb. La saison 1981-82, pour le PSG, c’est ce maillot et ce gros sponsor RTL, devenus le symbole des premiers succès du club à l’échelle nationale.
Naples, 1986-87
Le Napoli remporte cette saison-là son premier Calcio, devant la Juventus de Michel Platini, et réalise même le doublé en soulevant la Coupe d’Italie face à l’Atalanta. Diego Maradona est au sommet de son art et accède au statut de dieu vivant aux yeux des supporters napolitains. Voilà, le maillot bleu ciel et le sponsor Buitoni sont entrés dans l’histoire du foot.
Argentine, 1986
À l’époque, il n’y a pas grand-chose qui résiste à Diego Maradona. Après une saison à marcher sur l’eau en Serie A, El Pibe de Oro s’envole pour la Coupe du monde au Mexique entouré de sacrés partenaires (Burruchaga, Valdano, Ruggeri, Batista). Puis il inscrit dans le même match, en trois minutes (face à l’Angleterre) le but le plus controversé, puis le plus beau but de l’histoire. Enfin, il offre à l’Argentine son deuxième sacre mondial. Forcément légendaire.
Pays-Bas, 1988
Sans doute le maillot le plus audacieux de ce classement. Le seul titre international de la sélection néerlandaise, malgré un paquet d’occasions manquées (trois finales de Coupe du monde perdues, excusez du peu)… À l’Euro 88, les Pays-Bas ont enfin tout le nécessaire dans leur besace : une équipe de rêve (Koeman, Gullit, Van Basten, Rijkaard), un maillot sublime et le brin de réussite qui leur a toujours fait défaut.
Barcelone, 1999
À l’occasion du centenaire du club, le Barça arbore un maillot hommage à celui porté en 1899 : une partie bleue, un autre grenat, et la mention dorée « 1899-1999 » sur le poitrail. Rivaldo, Figo, Guardiola, les frères De Boer, Kluivert et Sonny Anderson en profitent pour remporter la Liga, histoire que la fête batte son plein.
Arsenal, 2003-04
Le dernier titre de champion d’Angleterre d’Arsenal remonte à une douzaine d’années… mais il a marqué les esprits pour un bon moment. Les Frenchies Thierry Henry, Patrick Vieira, Sylvain Wiltord et Robert Pirès piétinent la concurrence en Premier League, et ne concèdent aucune défaite en trente-huit matchs (vingt-six victoires, douze matchs nuls), le tout en pratiquant un football attractif. Titi Henry est au sommet de son art et empile trente buts rien qu’en championnat. Arsenal achève l’exercice avec quatre-vingt-dix points au compteur (soit onze de plus que Chelsea), la meilleure attaque (soixante-treize buts inscrits) et la meilleure défense (seulement vingt-six buts encaissés). Le maillot des Gunners devient instantanément légendaire.
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