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Les 50 plus belles citations de la Bundesliga (n°49)

Par Ali Farhat
6 minutes
Les 50 plus belles citations de la Bundesliga (n°49)

Le 24 août 2013, la Bundesliga a « officiellement » soufflé ses 50 bougies. Pour l'occasion, voici 50 histoires, petites et grandes, qui ont fait la légende de ce championnat situé outre-Rhin. À déguster avec une bonne bière bien fraîche, bien sûr. 2e de notre classement, les plus belles citations jamais sorties en un demi-siècle de championnat. Beaucoup d'ironie dans les propos des joueurs, des entraîneurs et des présidents, beaucoup de génie, aussi. Reste à savoir si c'est fait exprès ou non.

« Maintenant, il ne faudrait pas qu’on cache le sable dans la tête ! » (Lothar Matthäus)

« Je ne jouerai jamais au golf. Premièrement, je ne considère pas ça comme un sport. Deuxièmement, je pratique régulièrement le sexe. » (Mehmet Scholl)

« Milan ou Madrid – L’essentiel, c’est que ce soit en Italie ! » (Andreas Möller, au sujet d’un éventuel transfert ; il jouera bien en Italie, mais à la Juventus Turin)

« Le but, c’est moi à 70%, et Wilmots à 40%. » (Ingo Anderbrügge, ancien joueur de Schalke 04)

« J’ai lentement l’impression que mon pied gauche me sert à plus de choses qu’uniquement à aller chercher de la bière. » (Thomas Müller)

« Je pense que le premier du classement peut battre le leader n’importe quand. » (Berti Vogts)

« Quand on prend 2-0, alors il n’est plus possible de faire 1-1. » (Aleksandar Ristić)

« Ça, je le lui ai aussi dit verbalement. » (Mario Basler)

« Vous cinq, là-bas, vous faites maintenant un quatre contre trois. » (Fritz Langner, ancien entraîneur)

« Je suis un optimiste. Même mon groupe sanguin est positif. » (Anton « Toni » Polster)

« Un jour, à l’entraînement, j’ai organisé un match entre les alcooliques de mon équipe et les abstinents. Les alcoolos ont gagné 7-1. J’en avais rien à foutre. J’ai dit : « Continuez à boire. » » (Max Merkel, ancien entraîneur)

« À cause des différents forfaits en attaque, le coach n’avait plus le choix qu’entre le chauffeur du bus et moi. Comme le chauffeur du bus n’avait pas ses chaussures, alors j’ai joué. » (Jan Åge Fjørtoft, attaquant norvégien plein d’humour)

« Jürgen Klinsmann et moi, on forme un bon trio. Euh, je voulais dire : un quartet » . (Fritz Walter Jr, à ne pas confondre avec le grand Fritz Walter) « Deux occasions, un but : c’est ce que j’appelle avoir 100% de réussite. » (Roland Wohlfarth, attaquant passé par le Bayern, Saint-Étienne et Bochum)

« Il y a une année où j’ai joué quinze mois de suite. » (Franz Beckenbauer)

« Je ne pense pas qu’on aurait perdu le match si ça s’était fini sur le score de 1-1. » (Uli Hoeness)

« Un tiers d’augmentation ? Nooon, je veux au moins un quart. » (Horst Szymaniak)

« Il n’y a qu’une possibilité : la victoire, le nul ou la défaite. » (Franz Beckenbauer)

« J’ai une déchirure à la cuisse. Au pied gauche. » (Guido Buchwald, ancien boucher)

« Je salue mon père, ma mère et particulièrement mes parents. » (Anton « Toni » Polster)

« Chaque face a deux médailles. » (Mario Basler)

« Ça aurait pu se passer en Turquie. Mais pas ici, dans le monde civilisé. » (Toni Schumacher, au sujet de la panne de courant survenue durant son jubilé)

« Le football, c’est ding dang dong. Pas que ding. » (Giovanni Trapattoni)

« Dans un premier temps, j’étais non seulement content d’avoir marqué un but, mais aussi parce que le ballon est rentré. » (Mario Basler)

« Quand l’homme en noir siffle, même l’arbitre ne peut plus rien faire. » (Andreas Brehme)

« Les plus beaux buts sont ceux où la balle va en lucarne à ras de terre. » (Mehmet Scholl)

« Berkant Göktan a seulement dix-sept ans. S’il a de la chance, il aura dix-huit ans le mois prochain. » (Franz Beckenbauer)

« Quoi, Kapellmann va devenir médecin ? Mais non, il va devenir docteur ! » (Manfred Kaltz, au sujet de l’après-carrière de Hans-Josef Kapellmann)

« On n’a pas besoin d’un mec comme Robben. C’est un pur ailier. Et autant que je sache, les buts se trouvent encore au milieu. » (Franz Beckenbauer)

« On n’a pas besoin d’avoir la majorité absolue, des fois, 51% suffisent. » (Christoph Daum)

« Bon, je dois filer retrouver mes joueurs. Ils sont tellement aveugles qu’ils ne retrouveraient pas le chemin menant du vestiaire au bus. » (Uwe Klimaschefski)

« C’est à partir de la 60e minute que le football devient vraiment joli à regarder. Mais la plupart du temps, je suis déjà sous la douche. » (Andreas Herzog, artiste)

« Non mais c’est la folie ! Il y a des joueurs dans l’équipe, et bien ils courent encore moins que moi ! » (Anton « Toni » Polster)

« Ces dernières années, les femmes ont évolué. Elles ne sont plus contentes de se retrouver à faire la cuisine, à faire des lessives, à faire attention aux enfants. Et ça, les hommes doivent l’accepter. » (Lothar Matthäus)

« Les Suédois ne sont pas des Néerlandais – et on l’a bien vu. » (Franz Beckenbauer)

« Le football, c’est comme une fricadelle : on ne sait jamais ce qu’il y a dedans. » (Martin Driller)

« Je vais m’envoler pour le Sud – peut-être pour le Canada ou un truc comme ça. » (Mehmet Scholl)

« Félicitations à Marco Kurz. Sa femme est devenu père pour la deuxième fois. » (Thomas Häßler)

« J’ai toujours dit que je n’étais pas endurant ; ceci étant, je pourrais faire un marathon. » (Mario Basler)

« Je n’effectue de remplacement que si un joueur se pète la jambe. » (Werner Lorant)

« Felix Magath est le dernier dictateur d’Europe. » (Bachirou Salou, qui a connu « Quälix » à Francfort, en 99-00)

« Il y a 22 millions d’habitants à Shanghai. Il n’y en a peut-être pas autant en Europe. » (Bastian Schweinsteiger, lors de l’arrivée de la Mannschaft à Shanghai)

« Je ne sais pas si Magath aurait sauvé le Titanic. Mais en tout cas, tous les survivants auraient été en forme. » (Jan Åge Fjørtoft, à l’époque où Magath sauvait Francfort de la relégation)

« Tore Pedersen est un bon ami à moi. J’ai signé à Francfort pour lui trouver une femme. » (Jan Åge Fjørtoft, à son arrivée à l’Eintracht)

« Je n’ai jamais de relations sexuelles avant un match, entre autres parce que je partage ma chambre avec Bachirou Salou. » (Jan Åge Fjørtoft)

« C’était pas une baffe [que m’a mise Lizarazu]. Je le sais, j’y étais ! » (Lothar Matthäus)

« Un Lothar Mätthaus ne se laisse pas vaincre par son corps. Un Lothar Matthäus décide lui-même de son destin. » (Lothar Matthäus)

« Je n’ai aucun problème à aller boire une bière avec Werner Lorant – ou bien mâcher un chewing-gum avec lui. » (Lothar Matthäus)

« Je ne me suis jamais embrouillé avec ma femme. Sauf la fois où elle voulait apparaître sur la photo de mariage. » (Mehmet Scholl)

« Rendre l’impossible possible devient quelque chose qui relève de l’impossibilité. » (Andreas Brehme)

Bonus : Quand y en a plus, y en a encore.

« Personne ne m’aime. Demandez donc à ma femme ! » (Hans Meyer, entraîneur rigoureux)

« La gauche c’est comme la droite, juste de l’autre côté. » (Patrick Funk)

« La plus belle chose à Stuttgart ? L’autoroute en direction de Munich. » (Thomas Strunz, le meilleur ami du Trap’)

« Si je pense que le gardien pense et que le gardien pense que je pense, je n’ai qu’à tirer, tout simplement. Ça ne fait aucune différence. » (Roy Makaay)

« En ce moment, rien ne va dans notre défense. Presque tous les buts qu’on prend sont dedans. » (Michael Preetz)

« Je n’ai pas de rituel, juste les trucs que je fais habituellement. » (Michael Ballack)

« J’ai toujours dit que ça ne m’intéressait pas de savoir qui jouait. L’essentiel, c’est que je joue. » (Mario Basler)

« Je n’ai qu’un mot à dire :« Merci beaucoup ! » » (Horst Hrubesch)

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