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  • Journée internationale de la barbe

L’équipe type des barbus

Par Eddy Serres
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L’équipe type des barbus

Accessoire de mode intergénérationnel, la barbe colle aux visages des footeux avec plus ou moins de grâce. Qu’elle soit entretenue ou non, brune, blonde, voire rousse, elle symbolise généralement la personnalité de son porteur. De quoi donner une équipe au poil.

Tim Howard

Pour le portier américain, la barbe n’est pas qu’une simple parade à sa calvitie. Il s’agit surtout d’une source de pouvoir. « Je pense avoir gagné la plupart de ma force grâce à ma barbe », disait Tim, sûr de lui. On ne va pas le contredire.


Défenseurs

Hugh Jackman

Supporter improbable de Norwich City, le tas de poils délibérément fouillis de l’Australien demeure ce qui se fait de mieux en matière de testostérone. Et pas de problème avec le repli défensif, Hugh découpe tout ce qui passe par son couloir.

Alexi Lalas

Quand on est roux, on est roux. Alors autant jouer la carte à fond et se démarquer du reste du monde. L’une des légendes vivantes du soccer l’a bien compris, quitte à passer pour Gandalf the Ginger.

Trifon Ivanov

Sa gueule reconnaissable entre mille n’aura pas résisté à l’avalanche de décès de célébrités du début d’année. C’est con, avec cette tronche, il aurait facilement pu remplacer Jean Reno dans son costume de Godefroy de Montmirail.

Paul Breitner

Champion du monde 1974 avec l’Allemagne de l’Ouest, il arborait alors un look négligé qui lui collait tellement à la peau qu’une société de cosmétique lui a un jour offert 150 000 Deutsche Mark pour la lui raser.


Milieux

Raul Meireles

Archétype du punk à festivals, le Portugais est actuellement à la recherche d’un nouveau club depuis son départ de Fenerbahçe. On l’imagine mal se raser pour passer de nouveaux entretiens.

Andrea Pirlo

La plus belle, assurément. Parfait sans l’entretenir, le doux pelage de l’Italien est désormais un objet marketing pour nombre de marques.

Sócrates

« Si la barbe était signe d’intelligence, la chèvre serait Socrate ! », dit le proverbe. Le problème avec Sócrates, le Brésilien, reste qu’il était brillant, excellent footballeur et barbu. C’est à ne plus rien y comprendre…


Attaquants

Marco Sailer

« Ma barbe m’a apporté beaucoup de réussite, c’est pour ça que je la garde, même si ça me gratte un peu. Elle est devenue mon petit bébé dont je dois prendre soin. » Que rajouter de plus ?

Sean Bean

Loup des surfaces, toujours bien placé pour reprendre les ballons d’une tête piquée, Ned Stark est avant tout un fan absolu des Blades (Lames, en VF) de Sheffield. Idéal pour se la tailler.

Djibril Cissé

Danseur émérite, le Djib n’en demeure pas moins précurseur en matière de mode. Entre chic et streetwear, l’ancien Auxerrois a longtemps hésité. Comme ce jour où il n’a pas su trancher : rasé, pas rasé ?


Remplaçants

Péter Disztl

Le gardien de la Hongrie lors de la Coupe du monde 86 n’a cessé d’alimenter sa ressemblance avec Chewbacca. Un type face auquel on n’a pas trop envie de marquer.

Gaël Givet

« À Évian, on voulait me forcer à me raser parce qu’elle était trop longue. On me prenait pour un djihadiste alors que je ne suis absolument pas converti à l’islam », confiait-il au Parisien. L’ancien international a finalement passé le coup de tondeuse tant attendu par sa direction… juste avant d’aller résilier son contrat. Un sacré pied de barbe.

Les Barbus de Lu

Un simple pari qui se transforme en belle histoire, telle est l’aventure des joueurs nantais au début des années 80. Tant qu’ils restent en course en Coupe de France, interdiction formelle de se raser. Malgré une défaite face au PSG en finale lors de l’édition de 1983, Baronchelli, Der Zakarian et leurs potes ont dû être soulagés de pouvoir enfin se tondre.

Joe Ledley

Avec plus de 10 000 abonnés sur Twitter, la barbe du milieu gallois est une véritable star outre-Manche. Mieux, le très sérieux Front de libération des barbus l’a élue comme la plus magnifique du pays.

Damien Hardy

Ce supporter de trente ans des Wanderers s’était lancé dans un pari fou : ne plus se raser tant que Bolton na gagnerait pas à l’extérieur. 495 jours et une barbe bien fournie plus tard, le voilà libre comme l’air grâce à une victoire face à l’AFC Wimbledon.


Par Eddy Serres

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