- Foot & coiffure
- Coupe Mulet
L’équipe type de la coupe mulet
La commune belge de Boussu organise ce samedi le premier festival européen de la coupe mulet. Un choix capillaire qui a connu son heure de gloire chez les footballeurs dans les années 1980 et 1990 et a eu du mal à survivre par la suite. Petite sélection à consonance germanique, forcément.
Oliver Kahn
Au commencement, Oliver Kahn arborait une crinière blond platine embellie par une coupe mulet. Comme quoi…
Défenseurs
John De Wolf
Ou plutôt John de Vokuhila.
Trifon Ivanov
Encore un thème qui rappelle le vide qu’a laissé le regretté monument bulgare.
Laurent Blanc
Euro 1992 : autre temps, autre mœurs.
Barry Venison
Un fidèle soldat du Liverpool de Kenny Dalglish et du FC Mullet.
Milieux
Chris Waddle
Icône britannique du mulet juste derrière David Bowie et Paul McCartney, tout simplement.
Cesc Fàbregas
Entre son déménagement sur le Rocher l’été dernier et la coupe qu’il a arborée à ses débuts à Arsenal, le Cesc n’a pas toujours fait les bons choix, c’est certain.
Gerry Francis
Une coiffure qui s’est surtout développée au fil des années et dans l’après-carrière pour la légende des Queens Park Rangers.
Attaquants
Roberto Baggio
Le mulet version queue de cheval, aussi légendaire que la carrière de l’attaquant italien.
Rudi Völler
Un renard dans la surface, mais un équidé sur le crâne.
Tony Vairelles
Tonygoal, évidemment.
Remplaçants
La mascotte de Pologne-Sénégal
M’Baye Niang n’est pas le vrais héros du Pologne-Sénégal qui s’est joué en Russie l’été dernier. Ce gamin qui avait accompagné les joueurs au moment de l’entrée sur la pelouse avait déjà éclipsé tout le monde.
Jacek Ziober
Les habitués de la Mosson se souviennent des accélérations et du look mythique de l’international polonais.
Mesut Özil
Le combo capharnaüm de couleurs-nuque longue, inégalable.
Wolfgang Rolff
ROL2F pour les intimes. Finaliste du Mondial 1986 et plus belle chevelure passée par la Meinau (1989-1990).
Mike Werner
« Quand j’étais jeune, j’évoluais au club de sport de l’armée où il n’y avait qu’une seule alternative : les cheveux courts. À Rostock, plusieurs coéquipiers et moi en avions plus que marre du système, et notre rébellion à nous, c’était de les laisser pousser le plus possible. » Les vrais héros ne portent pas de cape, mais une coupe mulet.
Fernando Torres
Un peu ringard pour un Niño.
Par Jérémie Baron
Crédit : oldschoolpanini.com, Fox Sports, FC Schalke 04, promiflash.de, mhsc foot.com