La collection de tirages photo So Foot de juin 2022 est arrivée !

Commander ce tirageEl Fideo a donc tiré sa révérence avec le club de la capitale. Ángel Di María, arrivé en 2015, non content d’être devenu le meilleur passeur de l’histoire du Paris Saint-Germain devant Safet Sušić, a laissé son empreinte sur les grands matchs de l’histoire récente du club. Le match aller contre Barcelone en 2017, le classique contre Marseille en 2019, le match de poule contre le Real Madrid la même année. Ce magicien a même réalisé l’exploit de faire exulter ses supporters à distance lors du huitième de finale retour de Ligue des champions contre Dortmund. Après un match aller très médiocre des Parisiens et une défaite 2-1, les joueurs de Thomas Tuchel remportent le retour (2-0). Grâce à un coup de patte de Di María sur corner, Neymar marque le premier but suivi par Bernat juste avant la mi-temps. À la fin du match, c’est la libération. Les Parisiens célèbrent cette victoire et courent dans les escaliers du Parc des Princes donnant sur l’extérieur pour communier avec les supporters qui ont bravé les interdits. Cela nous offre donc ce cliché devenu mythique (sur les réseaux sociaux notamment) de Fideo de dos, tatouages bien visibles, tout à sa joie dans une atmosphère électrique faite de fumis et de chants à tue-tête.

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Commander ce tirageMalheureusement, les fins de saison ne donnent pas toujours l’occasion de célébrer des titres ou de rendre hommage à des joueurs. C’est le cas pour les Girondins de Bordeaux où l’ambiance n’est pas à la fête, en raison de la relégation du club en Ligue 2. On a donc décidé d’avoir une pensée pour les supporters bordelais en leur offrant un souvenir de leur dernier titre de champion de France.
Exercice 2008-2009, les Girondins réussissent à mettre fin à l’hégémonie lyonnaise (7 titres consécutifs), notamment grâce à une fin de saison avec 11 victoires d’affilée. Parmi les moments marquants de cette saison de champion, il y a évidemment ce match contre le Paris SG (4-0) début janvier. Ce jour-là, une action a particulièrement marqué les esprits. On joue la 70^e minute, et Bordeaux mène déjà 2 à 0 quand Yoann Gourcuff pousse Grégoire Margotton, commentateur du soir, à le comparer au grand Zinédine. Il faut dire que le célèbre numéro 10 n’a pu que valider ce but. Une roulette sur Sylvain Armand, un double contact de l’espace sur Sammy Traoré, un pointu pour battre Landreau. Même au ralenti, ça va vite pour les caméras.

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Commander ce tirageSi cette saison a vu deux clubs historiques descendre en deuxième division, elle nous offre également le retour d’un grand : l’AJ Auxerre. Club intimement lié à l’histoire d’un homme : Guy Roux. Qui a tout connu avec ce club. Des petites divisions jusqu’à la Coupe d’Europe. Un mandat qui a duré de 1961 jusqu’en 2005. Une longévité à faire rougir Sir Alex Ferguson. Après une brève carrière de joueur amateur, l’homme au bonnet se tourne rapidement vers le futur métier de sa vie, entraîneur. Lorsqu’il arrive à l’AJA, il est seulement âgé de 23 ans. C’est en 1980 que Guy Roux arrive à emmener le club au sommet de la scène nationale en accédant pour la première fois à la première division. C’est à l’aube de cette première saison dans l’élite qu’a lieu ce shooting dans le bureau de l’entraîneur.

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Commander ce tiragePour la dernière photo, direction l’Italie. Cette saison, José Mourinho a réussi à offrir à l’AS Roma le premier titre européen de son histoire avec la Ligue Europa Conférence. Un évènement majeur pour ce club historique en perte de vitesse ces derniers temps, dont le dernier trophée datait de 2008 et une Coupe d’Italie. Le dernier titre de champion de Serie A remonte à encore plus loin, il date de 2001. Cette saison a donc une valeur particulière pour ce club, historiquement loser. Les tifosi romanista ont pu compter cette année-là sur un trio d’attaque de feu composé de Montella, Batistuta et de la future icône du club (et de la ville) : Totti. Le match du sacre est lui aussi mémorable. Pour la 34^e et dernière journée, l’AS Rome affronte le club de Parme et sa défense composée de Buffon, Thuram et des deux Cannavaro. Cette défense de fer ne pourra pas résister à l’ambiance phénoménale du Stadio Olimpico. Peu dire que lorsque Francesco Totti ouvre le score dès la 19^e minute, cela donne un cliché de joie devenu mythique du pape officieux de la ville. Comme un symbole, les deux buts suivants seront inscrits par Montella et Batistuta. La Roma bat Parme 3 buts à 1 et remporte son troisième Scudetto, dix-huit ans après le dernier.

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