Les notes des Bleus à l’Euro 2024

Mike Maignan

Il était le patron jusqu’à ce qu’un enfant de 16 ans vienne le ridiculiser. Un chef d’État face à Greta Thunberg.

Brice Samba

Deschamps lui a donné la chance de sortir du banc, en demi-finales. Mais c’était uniquement pour un échauffement.

Alphonse Aréola

« Un Perrier tranche, comme d’habitude ? »

Jules Koundé

Il a repoussé l’extrême droite, Jérémy Doku, Rafael Leão et Nico Williams, tout ça en l’espace de huit jours. Cette semaine, l’équipe de France a joué son destin sur un Koundé.

Jonathan Clauss

Son apprentissage de l’allemand lors de ses deux années d’Erasmus à Bielefeld (2018-2020) comme son pied droit ne lui ont servi qu’à une chose : monter dans le bus.

Benjamin Pavard

Cette fois, il n’y est pour rien.

Ibrahima Konaté

Est-ce que le banc de l’équipe de France est aussi confort que celui d’Anfield ?

Dayot Upamecano

Convaincant, mais joue parfois à l’envers. Comme dans un couplet de Vegedream.

Vegedream il a fait une dingueri sur Upamecano si on gagnait wesh pic.twitter.com/trewuZQPEL

— KϴNGOLAIS 🌊 (@Unknowncrb) December 19, 2022

William Saliba

Devenu un vrai leader chez les Bleus. Au point de leur inculquer la culture de la lose qu’il a acquise en club.

Theo Hernández

Si Patrick et Lucas ont déjà signé les tubes de l’été 1978 et 2018, Theo reste pour le moment un tube d’automne-hiver. Born to be alone.

Ferland Mendy

On ne va pas réécrire l’histoire, mais il n’aurait pas dépareillé face à Lamine Yamal.

Un jour, Lamine Yamal a dit que Ferland Mendy était (avec Nuno Mendes) le défenseur le plus difficile qu’il ait eu à affronter. Un jour, Nico Williams a dit que Ferland Mendy était le plus gros "os" de Liga voire du monde. 💭 pic.twitter.com/McrruWJDGJ

— Real France (@realfrance_fr) July 10, 2024

Aurélien Tchouaméni

«  Ah non, ici c’est le rayon transversales, si vous cherchez la projection et la compensation, c’est un peu plus loin. »

Youssouf Fofana

Comme au Tour de France, les puncheurs de son espèce ne sont pas assez valorisés. Quoiqu’ici, le maillot distinctif est une chasuble.

Eduardo Camavinga

Un jour, la France se rendra compte qu’elle a en son sein un petit bonhomme pétri de talent qui a les moyens de régner sur l’empire du milieu pendant une bonne décennie. Il faudra encore patienter pour la prise de conscience générale, mais pas trop longtemps parce que ça passe vite, une décennie.

N'Golo Kanté

À 33 ans, il a enfin découvert ce qu’était une défaite dans une grande compétition avec les Bleus. Il aimerait juste qu’on le laisse tranquille, maintenant.

Warren Zaïre-Emery

À son âge, Lamine Yamal sera certainement déjà Ballon d’or et champion du monde.

Adrien Rabiot

Être suspendu pour le quart et la demie, c’était sévère.

Antoine Griezmann

La preuve que personne n’est indélogeable. N’est-ce pas, Didier ?

Kingsley Coman

L’Euro (événement) se jouait en Suède, pour lui.

Ousmane Dembélé

À la fois le meilleur et le pire joueur de cet Euro. C’est donc ça, la définition d’ambidextre ?

Bradley Barcola

Il est doux, il passe bien, il fait mal quand il entre en jeu, il a déjà fait ses preuves dans tous types de soirées, mais il est trop souvent laissé de côté par facilité. Piña Barcolada.

Olivier Giroud

« Moi je veux mourir sur scène devant les projecteurs. »

Marcus Thuram

Lilian Thuram : « Je me suis demandé si c’était vraiment mon fils, en fait. »

Randal Kolo Muani

Le Kolo Muani, une espèce endémique que l’on ne peut voir qu’en Allemagne.

Kylian Mbappé

Il a enlevé le masque, mais il a gardé les œillères.

Didier Deschamps

« C’est le père Dédé qui a perdu sa chatte. »

Le masque