- France
- Ligue 1
- 35e journée
En direct : Sochaux – Paris S-G (1 – 1)
C’est fini ! Après cette très, très belle partie, le PSG n’est toujours pas officiellement le boss de la L1. Bravo à Sochaux, qui a livré une superbe prestation.
Corchia frappe le coup-franc dans le mur.
Belle opportunité de contre pour Sochaux mais Boukari sert mal Roudet qui obtient tout de même un bon coup franc à 25 mètres dans l’axe.
Gros match d’Ayew qui a beaucoup couru et n’a jamais relâché son pressing.
Quel match des Sochaliens ! Il font jeu égal avec les Parisiens depuis le début de la rencontre.
Servi par Prcic, Bakambu voit sa frappe contrée par van der Wiel.
Pastore se retourne à l’entrée de la surface et frappe mollement dans les bras de Pelé.
La coupe de Pastore, n’importe quoi.
Verratti fait une entrée catastrophique pour l’instant. Que de pertes de balles !
Ménez va inscrire le but du titre et vous le savez tous.
Avant le double changement, Motta a été averti pour une protestation dont il a le secret.
Dans le Doubs, les enfant apprennent à conjuguer avec le verbe « Faussurier ».
Dans la foulée, Cavani rate le 1-2 en enroulant sa frappe au-dessus alors qu’il était en excellente position dans la surface !
Bakambu qui est à 5 cm de marquer sur son premier ballon ! Il est trop court pour reprendre le centre alors que Sirigu était battu.
Contout est en larmes sur le banc. No changement, no cry, man !
Le contre sochalien est conclu par Corchia qui frappe au-dessus après avoir été servi par Contout.
Roudet pique la balle à van der Wiel et centre au premier poteau pour Ayew qui ne cadre pas !
Verratti, dont j’avais oublié de vous signaler l’entrée en jeu à la place de Cabaye. Au temps pour moi.
Verratti seul et à bout portant, frappe mollement sur Pelé. Ce jeune ne sait pas marquer.
Lucas élimine deux Jaunes dans l’axe et voit sa frappe flirter avec le montant de Pelé !
Sochaux répond, Prcic voit sa frappe frôler le poteau de Sirigu qui était battu !
Enorme occase parisienne. Pelé fait un arrêt dingue devant Cavani qui frappe à bout portant.
Le corner ne donne rien, Cavani fait faute sur Marange.
Faussurier contre Lavezzi, corner.
Les Doubistes ne veulent pas en rester là, Prcic frappe à l’entrée de la surface, ça passe juste à côté !
Les bonnes intentions sochaliennes ont payé.
Égalisation sochalienne ! Corchia frappe, Sirigu repousse difficilement, Marange centre et Thiago Silva contre le ballon dans ses propres buts !
But contre son camp de Thiago Silva pour Sochaux.
Roudet avait une bonne situation de contre, mais le meneur est trop timide et n’ose pas provoquer. Dommage !
Corchia obtient un corner, Sochaux est bien en ce début de seconde période ! Sirigu s’impose.
Côté gauche, Contout se pavane dans la défense parisienne jusqu’à entrer dans la surface mais perd le ballon.
Lavezzi frappe en touche le premier corner de seconde période.
Faussurier, encore lui, centre pour Prcic au second poteau mais c’est un poil trop long.
Après une sérier de passements de jambe face à Alex, Ayew parvient à frapper dans la surface mais c’est mou, mou, mou.
Pas mal d’erreurs techniques des deux côté en ce début de 2de période.
C’est reparti à Bonal.
C’est la pause, Paris est pour l’instant Champion de France. Mais Sochaux bouge encore.
Enorme occasion sochalienne. Corchia centre du gauche pour Ayew qui remet à Roudet seul face à Sirigu. L’Italien fait la parade.
Sinkala déborde côté gauche, son bon centre est repoussé en catastrophe par Thiago Silva.
La défense de Sochaux repousse bien le coup-franc tiré côté gauche par Lavezzi.
Motta essaie une nouvelle fois de servir un attaquant dans le dos de la défense sochalienne. Mais ce coup-ci, Marange s’en sort face à Lavezzi.
En seconde période, Hervé Renard va ôter cette écharpe qui recouvre sa chemise blanche, et tout ira mieux pour les Doubistes.
Les Sochaliens sortent en cette fin de première période, mais les centres sont imprécis pour l’instant.
Stopyla Sunzu semble s’être blessé sur son duel perdu avec Lavezzi. Il reste tout de même sur la pelouse.
La défense centrale est encore prise à défaut mais Lavezzi frappe au-dessus ! Sunzu est pour l’instant beaucoup trop tendre.
Pelé sort genou en avant hors de sa surface et percute Lucas. Le Brésilien met du temps à se relever mais ça a l’air d’aller.
Les Sochaliens avaient pris le match par le bon bout en jouant sans complexes. Ils n’ont sûrement pas dit leur dernier mot, parbleu !
Thiago Motta ouvre parfaitement sur Cavani qui contrôle et reprend directement au point de penalty. Pelé ne pouvait rien faire.
But de Edinson Cavani pour Paris S-G.
Sur le corner, Faussurier contre sur sa ligne la frappe de la tête de Lucas !
Cavani prend le ballon dans les pieds de Sunzu et frappe directement, Pelé claque en corner.
Superbe sortie de balle des Parisiens suite à un corner doubiste. Au bout du contre, Lucas oublie de servir Cavani.
Le côté droit sochalien Faussurier-Corchia est la principale source d’attaque des locaux. Les Parisiens en profitent pour attaquer dans leur dos.
Centre de Maxwell qui trouve Lucas. Ce dernier remet à van der Wiel qui frappe au-dessus.
Le rythme retombe un peu, logique vu l’intensité du tout début de match.
Le pressing sochalien est dingue, pas sûr qu’ils tiennent longtemps sur ce rythme.
Le corner ne donne rien mais les Sochaliens restent dans le camp parisien et Sirigu sort du bout des doigts un centre de Contout.
Corchia, qui joue ailier, centre et obtient le premier corner.
Le match est parti sur des bases folles. Aucun temps mort.
Van der Wiel lance Lavezzi qui centre en retrait mais les parisiens sont trop courts à la réception.
Lucas lance van der Wiel dans la surface, qui remet en retrait pour le Brésilien qui s’écroule sous la pression du défenseur.
Faussurier centre pour Corchia dans la surface, la frappe passe au-dessus.
Sochaux donne le coup d’envoi, wouhou !
Roy Contout promet au micro de Bein Sports que Sochaux va « tomber sur le PSG ». Ça va être bien.
Le chignon de Cavani est fixé, Lavezzi a pris son Hollywood chewing-gum, les joueurs peuvent rentrer sur la pelouse.
Pour plier le championnat, Laurent Blanc a décidé de titulariser Cabaye à la place de Verratti. Pour le reste, c’est du classique en l’absence d’Ibra.
Bienvenue à Bonal, pour ce qui sera peut-être l’officialisation du 4ème titre de Champion de France du Paris Saint-Germain.
Salut les foufous, et bonne digestion !
Par
