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En direct : Séville FC – Real Betis

Alexandre LAZAR
En direct : Séville FC – Real Betis
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À jouer

FIN DU DERBY ANDALOU ET VICTOIRE DU SEVILLE FC sur le Real Betis (2-1), qui n’aura eu que 45 secondes à disposition pour aller chercher le nul. Succès travaillé, acquis en première période grâce à un penalty de Rakitić et à un zeste d’opportunisme livré par Munir à bon port.

Merci d’avoir rappliqué au moins pour la fin de match les hardis, le geste est apprécié ! À bientôt sur Sofoot.com, prenez soin de vous dans ce monde de fous.

GOOOOOOOOOL CANALES !!!!!!!!!

Délicieux coup franc de l’ancien du Real, qui retombe là où il faut et illumine un peu cette fin de match bien fade.

Carton jaune pour Munir El Haddadi, coup franc bien placé pour le Betis.

Symptomatique centre de Ruibal pour personne, seul Joaquin était au niveau du derby en ce chaud dimanche de février.

Tendu d’écharpes dans l’Estadio Ramón Sánchez Pizjuán, qui savoure le probable 6 sur 6 de ses ouailles face aux Verdiblancos en 2021-2022 !

Carton jaune pour Ludwig Augustinsson.

En tout cas, Séville confirme ses bonnes dispositions à domicile : 30 points pris sur 39, deuxième meilleure formation dans son antre en Liga, quatorzième clean sheet de la saison.

On regrettera, pour le spectacle, que le SFC n’aura réellement fait la part belle au jeu que l’espace d’une période.

Rafa Mir remplace Youssef En-Nesyri.

Ludwig Augustinsson remplace le boucher/bulldog argentin Marcos Acuña.

Et le raté du week-end en Liga est pour Alex Moreno, qui envoie valser hors cadre une reprise du tibia à bout portant, devant le but vide !

Encore une fois, Joaquín avait trouvé la faille en lançant Bellerin, auteur du centre pour Moreno. Le meilleur joueur du Betis n’aura joué que 45 minutes, comme quoi.

Nous rompichâmes !!!

Paul Akouokou remplace Guido Rodríguez.

Carton jaune pour Aitor Ruibal.

Oliver Torres remplace Joan Jordán.

Carton jaune pour Guido Rodríguez, après avoir rhabillé Acuna jusqu’à l’hiver prochain.

Très propre décalage d’Acuna – tamponné pour l’ensemble de son oeuvre par Guido Rodriguez, au passage – pour trouver Tecatito Corona, dont la frappe pied gauche frôle le petit filet gauche de Bravo.

Le temps file en faveur de Séville, qui contrôle sans trop se fouler les timides assauts du Betis. On sort bien sur le porteur, on couvre toute la largeur malgré quelques failles sur les côtés et dans le dos des deux centraux (qui n’en sont pas).

Dans la foulée, Iglesias laisse sa place à Willian José, privé de son pote Juanmi (le meilleur buteur du Betis cette saison – 12 caramels) pour l’occasion.

Borja Iglesias tergiverse dans la surface alors que Joaquín – plusieurs fois qu’on prononce son nom, non ? – était libre en retrait.

Sympathique séquence du Betis : ballon dans le dos de la défense de Joaquín pour Bellerin, qui décale bien Aitor Ruibal pour une frappe flottante que Bounou accompagne au-dessus de sa transversale.

@Verano82
C’est sûr, mais on veut du sang chaud et des cadrages débordements ne seraient pas de refus ;)

Bounou Spiderman pour empêcher Tello de loger son enroulé excentré dans la lucarne sevillista !

@Verano82
Effectivement c’est le désert de Gobi par ici. Merci pour les bonnes ondes !

Marc Bartra s’applique autant qu’il peut, mais sa frappe file en sortie de but. C’était ce diable de Joaquín à la passe. La réaction du Betis reste plus territoriale que dangereuse, plus timide que tranchante.

Elle passe loin, cette tête du filou En-Nesyri.

Cinq minutes d’occupation dans le camp de Séville pour le Betis, c’est du jamais vu dans cette rencontre pour l’instant. Il va falloir coordonner le pressing désormais.

Nemanja Gudelj remplace Diego Carlos, pas totalement remis du coup reçu à Zagreb visiblement.

Comme on le pressentait après les tampons subis dans le premier acte, Nabil Fekir cède sa place à Joaquín, le quadragénaire betico qui dispute là son 26e (et ultime ?) Gran Derbi !

Aitor Ruibal remplace William Carvalho, le Betis va passer en 4-4-2 à plat, avec Ruibal aux côtés d’Iglesias devant.

Début de la 2nde mi-temps, nous voilà repartis pour un tour !

MI-TEMPS : On remballe et on rentre aux vestiaires à Sánchez Pizjuán ! 2-0 pour Séville, qui écrase les débats et ne laisse aucun répit à son grand rival vert et blanc.

Par contre les tacles de brutes épaisses côté Seville, ça y va… ici En-Nesyri sur Alex Moreno.

Quelle apathie côté Betis, battu dans les duels, dans l’envie, loin derrière au tableau d’affichage et à la note artistique !

GOOOOOOOOOOL MUNIR ! GOOOOOOOOOOL SEVILLA ! Le dégagement de Bounou lobe tout le monde, Munir s’infiltre dans l’espace et exécute Bravo. Le break est fait !

Diego Carlos qui susurre « toi, toi, ma belle andalouse, aussi belle que jalouse » à Borja Iglesias, il faut le voir pour le croire.

Encore une récupération haute pour Séville, Munir voit son cachou bloqué par les centraux des Beticos. Sept tirs à zéro pour l’instant, il n’y a pas de match !

Fekir grimace, boîte, et pour cause, il est ciblé par les découpeurs sévillans depuis le début de la rencontre.

Munir El Haddadi remplace Papu Gómez, c’est musculaire et on ne risque pas de revoir le meilleur ami de Gian Piero Gasperini sur un pré dans l’immédiat.

Quel tacle de boucher de Marcos Acuña sur Nabil Fekir… un jaune vraiment ???

Ouverture du score on ne peut plus logique pour les Nervionenses, alors que le Real Betis a beau être sorti de sa moitié de terrain une à deux fois, on n’a pas grand chose à se mettre sous la dent de leur côté.

GOOOOOOOOOOL IVAN RAKITIC ! GOOOOOOOOL SEVILLA ! Penalty au sol, placé petit filet droit, même un spécialiste de l’exercice comme Claudio Bravo ne peut que constater les dégâts. 1-0 pour Séville !

Tecatito lance En-Nesyri, Marc Bartra est pris dans l’engagement et la protection de balle, la sortie de Claudio Bravo est trop juste et embarque En-Nesyri.

PENALTY POUR SEVILLE !!!

Très bonne défense de Jesús Navas sur Alex Moreno, qui n’obtient pas le corner qu’il était venu chercher sur son pied gauche.

Diego Carlos versus Borja Iglesias is the new Ngannou/Gane.

Le chiffre : 72% de possession de balle pour les Sevillistas.

Carton jaune pour Joan Jordán.

Carton jaune pour Sergio Canales.

Sergio Canales et Joan Jordan écopent chacun d’une biscotte après une bisbille verbale consécutive à une prise en tenailles de Diego Carlos et de Fernando sur Fekir.

Les corners s’enchaînent pour Séville et le Betis est sous assistance respiratoire.

Corona ! L’ancien ailier de poche de Porto déclenche une petite reprise excentrée que Marc Bartra dévie en corner devant Bravo.

Décidément ! Du bout du pied Youssef En-Nesyri sollicite Claudio Bravo devant sa ligne. Quel pressing des locaux !

Première opportunité pour Séville ! Bon ballon de Tecatito Corona qui sert son capitaine Jesús Navas dans la profondeur, mais sa frappe est trop croisée.

Situation confuse encore, avec En-Nesyri qui vient se jeter sur le genou de Marc Bartra pour chercher le penalty. Un hors jeu a été signalé au préalable, mais il y a du potentiel pour la partie acteur studio.

Pas claire cette intervention de William Carvalho sur Joan Jordan dans la surface. Le Portugais s’agrippe comme il faut au textile du relayeur sevillista, mais l’arbitre del Cerro Grande se garde bien de désigner le point de penalty.

C’est ti-par à Pizjuán !

@PizzaSaucisseGauffre
C’est juste, le 2-1 était en Copa del Rey. Mea culpa !

« Ser o no ser, Sevilla es la cuestion » nous disent les Biris Norte, les ultras du Séville FC.

À noter que Séville et le Betis se sont également qualifiés tous les deux pour les huitièmes de la finale de la Ligue Europa en milieu de semaine. Le SFC a eu chaud à Zagreb face au Dinamo, tout comme le Betis qui aurait pu/dû jouer une prolongation contre le Zenit.

Le second qui accueille le troisième, mine de rien on a rarement vu les deux rivaux aussi bien classés au moment de s’affronter, non ?

À l’aller, c’est le Real Betis Balompié qui avait eu le dernier mot (Fekir & Canales / Papu Gómez). Et si je ne me trompe pas, c’est le 128 affrontement entre les Blanquirrojos et les Béticos. Vous partez sur quoi ? Ici, on se mouille en faveur du Betis : 0-2, avec du Borja Églises et du Álex Moreno.

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J’en place une pour Antoine Donnarieix, qui devait initialement assurer ce live pour votre plus grand bonheur, et qui est en place au Ramón Sánchez Pizjuán pour profiter du pestacle. Équipé par Delaveine !

Salut les hardis ! En manque de zapatazos et de gazpacho ? Le derby de Séville est là pour y remédier, sur Sofoot.com. Egalement garanti en taquets et en Fekirismo. D’ailleurs, il paraît que c’est le dernier Gran Derbi entre Jesús Navas et Joaquin, qui démarre sur le banc.

Alexandre LAZAR

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