- Coupe du monde 2014
- Groupe H
En direct : Russie – Corée du Sud (1 – 1)
Allez, c’est fini pour ce match riches en jeux de mots et buts foireux. Russie et Corée se neutralisent, et se répartissent le long du 38e parallèle. On vous fait des bisous et se retrouve demain pour de nouvelles histoires à dormir debout. Bon retour au Lee.
Dernier frisson russe, Kokorin est trouvé dans la surface, mais il centre sans regarder, alors que Kerzhakov attendait le ballon au point de penalty. Que c’est dur.
Rendez-nous Sergueï Semak. Lui seul pourrait tout changer.
Honnêtement, on avait pas vu autant de frappes depuis 1952.
Comme ca, même pas besoin de regarder le match, bande de veinards.
Un bon Lee pour les couche-tard.
Akinfeev va donc éviter l’empoisonnement au cyanure.
But de Aleksandr Kerzhakov pour la Russie ! A peine entré, le buteur du Zenith égalise sur une partie de billard ridicule dans la surface, avec le gardien coréen dans le rôle de la bande.
But de Chung-yong Lee pour la Corée du Sud ! Alors qu’on s’endormait, on est réveillé par le Lee qui fait des siennes avec une enième frappe de loin. Akinfeev est sur la trajectoire, mais s’emmêle les mains et le ballon finit au fond.
L’arrière droit de la Corée, Y Lee vraiment dans mes pensées.
Eshchenko se paye Yun. Sans doute parce qu’il avait réveillé ses voisins.
Encore un missile longue portée des Coréens, signée Kim (.com). Akinfeev le capte en deux temps.
Les gardiens ont donc décider de ne capter aucun ballons ce soir, et les joueurs de ne frapper qu’en dehors de la surface. C’est un style.
Et c’est reparti, avec directement une frappe de Fayzulin, que Jung détourne en corner. Le corner derrière est repris de la tête au premier poteau par Berezutskiy, qui n’est pas loin d’accrocher le cadre.
Bon les loulous, cette première mi-temps était plus riche en calembours qu’en occasions. On se prend une vodka et on revient pour une nouvelle fournée.
Il est rigolo quand même Son avec sa tête de Chipmunk.
En direct, à peine filmée, une supportrice coréenne se cache le visage sous ses cheveux. Pourquoi?
La Corée relance d’un Koo de canon. Ca s’est mal fini il y a quelques décennies cette histoire.
Une nouvelle belle patate, cette fois signée Zhirkov. Le Chelsea de la belle époque.
Ignashevich se fend d’un lourd coup franc lointain que Jung ne peut que repousser au loin. On plaidera l’erreur de jeunesse.
Quoi qu’il en soit, ce n’est clairement pas un match de Ki Koo.
Akinfeev, ce fameux gardien dont tout le monde pense que c’est un monstre parce qu’il l’a un jour ou l’autre acheté dans Football Manager, mais qu’en vrai personne n’a jamais vu joué.
Les Russes combinent pas mal devant, mais il y a toujours un pied de Lee pour les empêcher de rêver.
Sinon, Jung, le gardien de la Corée, pas emmerdé depuis le début du match, se lance dans une analyse de la tactique russe. Et sinon, effectivement, ce n’est pas un match de foot, mais bien un concours de jeux de mots.
La première occasion est pour Son, qui emmène bien le contre mais frappe au-dessus. Dire qu’on aurait pu être fier de lui, mais pour cela, il aurait fallu plus qu’un Son.
En vrai, la Russie domine ce début de match, sans pour autant se créer de vrais situations. Ce qui est à peu près cohérent géopolitiquement parlant. Pendant ce temps-là, Kim jong-Un conduit un sous-marin.
Messieurs, essayez de ne pas faire tous les jeux de mots en commentaires, qu’il m’en reste un peu pour mon live. Merci.
A noter, la superbe tentative de dissimulation de calvitie de l’arbitre. Après Paletta, cela semble être l’un des thèmes du Mondial.
En tout cas, je crois que sans le vouloir, je vais faire beaucoup d’humour juif.
Salut les loulous, on se retrouve après un Brésil-Mexique (ou un Qui sera le prochain grand pâtissier pour les canards) pour ce Russie – Corée du Sud. Avec des compos qui, je vous l’avoue, ont été particulièrement difficiles à faire. D’autant plus que, comme vous le savez, « il n’y a rien qui ressemble plus à un Coréen qu’un autre Coréen, surtout habillés en footballeurs ».
Par
