- Ligue des champions
- 3e journée
- Groupe B
En direct : Real Madrid – Juventus Turin (2 – 1)
Faites pas les fous et vive le sport. Ici Boulogne, à vous Paris.
C’est fini à Madrid. Après 45 minutes de très haut niveau, le soufflet est retombé en seconde période, la faute à l’expulsion de Chiellini. CR7 a marqué ses sixième et septième buts dans la compétition et offre au Real le grand chelem après 3 matchs. La Juve va devoir s’arracher pour décrocher les huitièmes, même s’ils ont clairement les qualités pour choper la qualif’. Revanche dans quinze jours?
3 minutes de plus pour essayer d’arracher un nul pour la Juve.
Vidal est pris par les crampes. La Juve va se faire dépasser par Galatasaray au classement…
Carton jaune pour Sergio Ramos qui annihile une contre-attaque turinoise.
Morata est trouvé par Isco. Légèrement sur la gauche, il tente d’enrouler. C’est raté.
Quand tu veux tu frappes Giovinco!!! Servi dans la profondeur, Giovinco met dix plombes à armer. A force de chercher la position idéale, le lutin se fait reprendre par Ramos. C’était une occase en or.
La Maison Blanche joue avec le feu en continuant d’attaquer à huit. tevez, alerté dans la profondeur, est heureusement signalé hors-jeu.
La Juve se met en difficulté toute seule suite à 3 chandelles ridicules d’affilée. Morata récupère le cuir et frappe directement dans la niche de Buffon.
Changement pour Real Madrid. Álvaro Morata remplace Ángel Di María. L’Argentin a été assez virevoltant.
Carton jaune pour Luka Modric, quand même.
Carton jaune pour Martín Cáceres, qui a eu le tort de réclamer un carton pour Modric…
Premier débordement de Bale, sur l’aile droite. Son centre termine dans le petit filet de Buffon.
Une longue possession madrilène débouche sur une frappe lointaine de Marcelo, qui passe bien trop au dessus.
Giovinco, c’est un peu le Valbuena italien: il est tout petit et il tombe tout le temps.
Changement pour Real Madrid. Isco remplace Asier Illarramendi. Modric recule donc d’un cran.
Pogba s’écroule aux abords des dix-huit. M. Grafe lui fait signe de se relever. Ben voyons.
Giovinco se met tout de suite en évidence. La fourmi atomique frappe au sol, Casillas assure le minimum en déviant la sphère en corner.
Changement pour Juventus Turin. Sebastian Giovinco remplace Angelo Ogbonna.
Un coup franc Turinois fait du grabuge. Un peu court, Caceres tamponne Kedhira et Ramos, histoire de pas faire le voyage pour rien.
L’immense Gareth Bale fait son entrée à la place de Karim Benzema. Sifflets pour le Français.
On a trouvé le gif star de demain: un incroyable raté de Vidal qui tape à côté du ballon en plantant son pied d’appui dans la pelouse. Le Chilien se ramasse lamentablement.
Quel raté de Benzemax! Arbeloa, servi sur une louche de Di Maria, centre devant la cage de Buffon. Benze n’a qu’à pousser le cuir au fond, mais il trouve le moyen de tirer à la fois à côté et au dessus. Incroyable.
Changement pour Juventus Turin. Kwadwo Asamoah remplace Andrea Pirlo, qui commence à accumuler le poids des années dans un match comme ça.
Après une première période de football total, on assiste à un match de handball. La faute à l’arbitre.
En confiance et en supériorité numérique, le Real fait tourner pendant que les Turinois sont regroupés devant leur surface. Aller chercher une égalisation à dix contre onze va être compliqué.
Conte est obligé de réorganiser sa défense. Leonardo Bonucci remplace Fernando Llorente.
Avec le visage plein de craie, CR7 envoie le coup franc dans le mur.
Ce zèle de l’arbitre, en plus de nous gâcher le match, offre un très bon coup franc au Real.
Carton rouge pour Giorgio Chiellini. Le cadeau de M. Grafe au Real. Chiellini est simplement coupable d’avoir gagné un duel à l’épaule face à CR7…
Qu’elle est importante, cette sortie de Casillas! Pirlo avait astucieusement servi Pogba dans le dos de la défense. San Iker devance le français du poing.
Aucun changement à signaler de part et d’autre.
Tout le monde a digéré son trou normand? Parce que le festin reprend à l’instant.
C’est la mi-temps à Madrid. Le choc de la journée tient toutes ses promesses. Sans forcément mener aux points, le Real mène au tableau d’affichage après 45 minutes très rythmées.
Deux minutes de temps additionnel annoncées.
Vidal passe près du rouge maladroitement. Le Chilien veut envoyer une sacoche, mais il prend la jambe de Marcelo.
Vidal se fait soigner. Les joueurs en profitent pour souffler et boire un coup. Le rythme a été assez infernal depuis le début de la partie…
Nouvelle tentative de CR7, qui est chaud bouillant ce soir. Ca passe de peu à côté.
Di Maria enchaîne les passements de jambes façon Joga Bonito. Son centre est dégagé sereinement par Chiellini.
Corner pour le Real et qui est à la réception? CR7, évidemment. Sa tête finit dans les gants de Gigi.
Ronaldo vient défendre dans sa propre surface. Assez rare pour être signalé.
Nouveau temps fort turinois. Pepe se jette comme un mort de faim pour contrer une frappe de Marchisio. A la retombée, Pirlo envoie le cuir dans les nuages. Quel rythme dans ce game.
Dans le jeu, la Juve semble dans son match. Mais elle a déjà encaissé deux buts.
CR7 ne tremble pas et envoie une sacoche dans la lucarne de Buffon. Le Real vient un peu de gagner au loto, vu la physionomie…
Carton jaune pour Arturo Vidal pour contestation.
Faute complètement inutile de Chiellini alors que Buffon s’était saisi easy du cuir.
Penalty pour le Real, désigné, tenez-vous bien, par l’arbitre de surface. Platini jubile.
Nouvelle frappe de Pogba, servi suite à un bon travail en pivot de Llorente. L’arbitre désigne le point de corner.
Ca chauffait sérieusement pour le Real depuis quelques minutes. L’égalisation est amplement méritée.
But de goupil signé Fernando Llorente! Caceres envoie un centre trop long que Pogba rabat au deuxième poteau grâce à une détente incroyable. Casillas, un peu fébrile, repousse sur Llorente qui conclut du pointu. La Juve est revigorée.
Carlitooos! Tevez enrhume Di Maria qui tacle comme un nul, repique dans l’axe sur son pied droit avant d’envelopper un ballon lucarne opposé. C’est de très peu au-dessus. La Juve pousse.
Carton jaune pour Asier Illarramendi, qui sèche Tevez sur une contre-attaque.
Il est là, le second souffle de la Juve. Caceres s’essaye à la frappe lointaine. Ca part fort mais ce n’est pas cadré.
Pirlo tente une combi estampillée Alain Casanova sur un coup franc. Marchisio s’échappe mais voit son centre en retrait dégagé. Dans la continuité, Tevez essaye d’attraper la lulu de Casillas. Sans succès.
Quel retour de Vidal dans les pieds de Marcelo, alors que la Juve semblait déséquilibrée et que Di Maria était seul à droite.
Resté aux avant-postes, Sergio Ramos se claque une petite bicyclette sur un service de Marcelo. Bon, le métrosexuel ultime était hors-jeu.
Il est pas censé jouer à gauche CR7? Parce-que là, on le voit dans le rond central depuis tout à l’heure…
Cristiano Ronaldo en est déjà à six buts en 3 matchs de C1. Ok.
Le Real ouvre le score! Pas besoin de vous dire qui a scoré… Depuis la droite, Di Maria repique dans l’axe (comme d’hab) et trouve CR7 qui a pris l’intervalle. Le Portugais efface Buffon tranquille et pousse le cuir au fond. 1-0 pour le Real.
Il est déjà chaud, le Casillas. Alerté par Vidal, Marchisio teste les gants du champion du monde de 25 mètres. Le cuir prend la direction de la lucarne mais San Iker détourne en corner.
Tevez tente d’alerter Pogba sur l’aile gauche. Pepe vient couper et ne prend pas de risque: en touche.
C’est parti à Madrid. La Vieille Dame sonne le kick off.
Abonné au banc de touche en championnat, Casillas est ce soir titulaire et capitaine.
Antonio Conte a troqué son 3-5-2 de vigueur depuis le début de saison contre un 4-4-2 losange pour ce déplacement délicat. Pogba évoluera sur le côté gauche de ce diamant.
Salut les gringos. Avec deux points seulement au compteur, la Juve trouve le moyen d’être placée à la deuxième place du groupe B avant sa double confrontation face à la Maison Blanche. N’empêche, pour éviter de traîner son faux pas face à Copenhague en ouverture, la Vieille Dame a besoin de venir faire un résultat à Bernabeu, sous peine de cravacher pour aller en huitièmes.
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