- Ligue des champions
- J5
- Groupe C
En direct : Paris S-G – Olympiakos Le Pirée (2 – 1)
Voilà, c’est fini, comme le chantait ce ringard de Jean-Louis Aubert. On vous dit à très bientôt. Kiss.
C’est fini au Parc. Le PSG est en huitièmes, et le PSG est le vainqueur de ce groupe C. Réduits à dix, les hommes de Blanc se sont faits peur mais ont su s’imposer grâce à l’immense Edinson Cavani.
Le Parc est en feu. Et Javier pastore est bien au chaud dans sa doudoune.
Le but de la victoire pour Cavaniiii!! Lancé en profondeur par Motta, le matador ajuste Roberto d’un pointu du droit. Quel mauvais alignement de la défense grecque.
La classique Lucas: je dribble quatre joueurs, et je rate mon dernier geste.
Puisque Benfica est tenu en échec dans le même temps, ce nul n’a pas trop de conséquences. Si les scores en restent là, Paris sera assuré de la première place.
But de Kostas Manolas! Sur un corner visiteur, Manolas égalise dans le but vide suite à une partie de billard. Sirigu réalise une première parade à bout portant, mais pas deux. Paris n’est pas encore en huitièmes.
Matuidi se lance dans un rush de folie depuis la gauche. L’ex-troyen résiste à deux défenseurs et parvient à frapper du pointu. Roberto se couche et détourne.
Méchant tacle signé Rabiot. C’est qu’il est teigneux le collégien.
Ouiiii. Ca commence à se chauffer. L’arbitre va sortir les biscottes.
Parti en contre, Cavani se fait rattraper à la course. Zlatan vient à la rescousse, mais l’Uruguayen l’oublie et tarde à frapper sur sa sortie de dribble. Les Grecs se replacent.
Décalé par Motta, Zlatan arme une frappe violente. Le Parc retient son souffle, mais c’est au dessus.
Fou comme un match peu changer. En hamac-charentaises pendant une mi-temps, Paris souffre désormais.
Mitroglou fait parler son pied gauche sur coup-franc. Ca finit dans la tribune Auteuil.
Paris est moins serein depuis la reprise. EN même temps, à dix contre onze, c’est logique qu’il y ait un peu de flottement.
A trente mètres, Zlatan envoie une sacoche sur coup-franc. Roberto a la main ferme et détourne en coup de pied de coin.
C’est ce qu’on appelle attaquer une deuxième période de la meilleure des façons. Fou.
C’est reparti au Parc.
Paris a fait la moitié du chemin après une première période pleine de maîtrise. Attention à ne pas tomber dans la facilité et manquer de rigueur.
Frappe de Lavezzi suite à un rebond. Ce n’est pas cadré. Sur le six-mètres, l’arbitre renvoie les 22 acteurs aux vestiaires.
Nouveau corner pour Le Pirée. Sirigu s’interpose et boxe loin devant.
Thiago Silva et Verratti enferment Leandro Salino vers le point de corner. Il n’en faut pas plus pour qu’il perde le ballon.
Le Parc s’enflamme sur un gri-gri signé Zlatan. Il faut dire que Manolas s’est retrouvé le nez dans la pelouse…
Cavani, légèrement sur la droite, décoche une frappe violente au sol. Roberto détourne le cuir d’une manchette.
L’Olympiakos lance enfin un pressing digne de ce nom. Devinez-quoi? Alex panique et dégage dans son adversaire direct.
Quelle intervention de Thiago Silva devant Mitroglou. Grosse classe, ce Brésilien.
Attention à ne pas tomber dans la facilité. Suite à un ballon perdu bêtement par Cavani, les Grecs développent une offensive qui aboutit à une frappe de Mitroglou. Sirigu est vigilant.
Quelle régalade! Lavezzi trouve Maxwell qui sollicite le une-deux avec Matuidi. Le latéral feinte son vis à vis et centre au sol devant la cage. Personne n’est là pour la pousser au fond tranquilou. Dommage.
Les Grecs jouent un corner à la rémoise. Comme par hasard, c’est un énorme fail.
Lavezzi se distingue enfin. En étant signalé en position de hors-jeu.
Corner pour les Grecs. Ca cafouille pas mal, à Paris, ça cafouille pas mal. Mais on arrive à se dégager.
La possession de balle des Parisien est barcelonesque. Très grosse maîtrise collective des joueurs de la capitale.
Matuidi se chauffe avec Maniatis suite à un tirage de maillot de ce dernier. L’arbitre calme cette bagarre d’ados de Province avec tact.
Le triangle Motta, Thiago Silva, Alex fait courir les attaquants du Pirée dans le vide. Quel pressing de pipes.
A la réception d’un centre venu de la gauche, Mitroglou reprend de volée, de l’intérieur du gauche. Sirigu s’allonge et détourne en corner.
Maxwell et VdW évoluent extrêmement haut. Les Grecs sont acculés (n’allez pas y voir un jeu de mot graveleux).
Le PSG ouvre le score d’entrée. Servi sur la droite, Van der Wiel centre fort devant la cage grècque, au sol. Ibra coupe au premier poteau et, du pied gauche, place le cuir sous la barre. 1-0 pour le Football Club de Saint Germain en Laye.
Le Parc réclame un pénalty suite à un contact entre Matuidi et un défenseur. L’arbitre fait mine de continuer à jouer.
Sur un contrôle raté, Mitroglou, claque une roulette Zidanesque. Ces Turcs ont vraiment le sens du spectacle. Maxwell intervient et repart vers son gardien.
Premier débordement de Van der Wiel. Roberto coupe la trajectoire du centre des poings.
C’est parti au Parc
Un des arbitres assistants s’appelle Derek Rose. Qu’il fasse gaffe à son ménisque.
« Ils sont les champions, les meilleures équipes ». Que cet hymne de Champions League ne change jamais. Au nom de l’émotion.
Hey, you! Le PSG reçoit l’Olympiakos avec une qualif’ pour les huitièmes dans le viseur. Lolo Blanc a en tout cas aligné ce qui ressemble à une équipe type. Deuxième avec sept unités, le club du Pirée ne vient pas au Parc en tongs. Go go go.
Par
