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- 16e de finale
En direct : Paris S-G – Montpellier (1 – 2)
La deuxième mi-temps du PSG est d’une nullité sans nom.
Il y a des soirs comme ça où Paris rate tout en phase offensive. C’est le cas ce soir dans la finition.
Paris voulait réussir le triplé en France. C’est très mal parti.
Dans la foulée, Ibrahimovic est à deux doigts d’égaliser, mais sa reprise sur le centre de Lucas passe juste à côté.
Penalty ?! Cavani est déséquilibré, mais l’arbitre ne dit rien. Il y avait pourtant bien faute.
C’est même Montpellier qui se montre dangereux. Sur un contre, Cabella accélère, repique dans l’axe et frappe du gauche. C’est au-dessus.
Paris ne se procure pas la moindre occasion, Montpellier gère parfaitement son avance.
On n’est pas passé loin du 1-3 ! Belle action collective de Montpellier, Saihi est lancé dans la surface mais Douchez le devance de quelques centimètres.
Matuidi découpe Montano, s’embrouille avec Courbis et évite le carton. On ne sait pas trop comment.
Excellent en première période, Pastore a disparu en seconde, comme l’ensemble du secteur offensif parisien.
OOOOOH LE BUT DE MONTANO ! Sur un corner, l’attaquant de Montpellier prend le dessus sur Van der Wiel et trompe Douchez d’une tête puissante. 1-2. Le hold-up se rapproche !
Très bon coup-franc pour Montpellier à 20 mètres, côté droit. C’est Niang qui s’en charge. Largement au-dessus.
Cavani ! Servi dos au but dans la surface, l’Uruguayen réussit à se retourner et à enchaîner avec une frappe du gauche. Pionnier repousse encore.
Plein axe, Pastore tente de servir Cavani, mais sa passe est déviée par la main de Deplagne. L’arbitre ne dit rien.
Pastore et Matuidi lancent une contre-attaque. Ménez est servi et accélère sur 50 mètres. Mais au lieu de servir Cavani côté droit, il tente le crochet. Et perd le ballon.
Rien de grave pour Digne qui se relève.
Matuidi décale Pastore côté gauche. L’Argentin se mélange un peu les pinceaux mais réussit finalement à se mettre en position de frappe. Pionnier repousse.
Paris prend beaucoup de risques dans la relance. Comme d’habitude en fait, mais là techniquement c’est moyennement exécuté. Montpellier récupère le ballon et obtient un bon coup-franc. C’est bien tiré par Tiéné, mais la défense parisienne repousse le danger.
Des nouvelles de Jérémy Ménez ?
Digne est un très bon centreur. Par contre les coup-francs c’est pas encore ça.
Lucas dans ses oeuvres. Il dribble, il dribble, il dribble, il se fait faucher. Bon coup-franc pour Paris.
Lucas a quand même des qualités de dribble et d’accélération hors du commun. Dommage qu’il soit incapable de les mettre au profit du collectif.
Cavani tente un ciseau retourné. C’est largement au-dessus. N’est pas Gignac qui veut.
C’est un sacré match pour l’instant. Paris archi-domine mais vendange, et Montpellier explose très vite en contre. On ne s’ennuie pas une seconde.
Sur le contre, Montano se retrouve en bonne position de tir. Sa frappe puissante est difficilement repoussée par Douchez.
Montpellier est au bord du gouffre. Il faut un retour en catastrophe de Congré pour empêcher Cavani de doubler la mise.
Mesdames, Messieurs, nous avons un nouveau Javier Pastore. Depuis le début de l’année civile, le garçon est transfiguré.
OOOH Cavani ?! Pionnier repousse successivement des frappes de Pastore et Lucas. Le ballon revient sur Cavani qui n’a presque plus qu’à pousser le ballon au fond pour inscrire un doublé, mais l’attaquant uruguayen ne cadre pas. Il n’a jamais dû rater une telle occasion.
GOAAAAAAAAAL CAVANI ! Passe EXCEPTIONNELLE de Javier Pastore qui décale Digne côté gauche. Le latéral centre à ras de terre pour Cavani qui n’a plus qu’à pousser le ballon au fond. 1-1.
Depuis l’ouverture du score de Congré, Paris est beaucoup moins dangereux. Surtout, Montpellier se procure de réelles opportunités en contre. Des contres très mal joués jusque-là.
Ah, le Parc aura tenu 6 minutes avant de siffler son équipe, menée.
La détente de Douchez sur l’ouverture du score de Montpellier est juste honteuse. Le garçon n’a pas décollé les pieds du sol.
Réaction timide du PSG mais la tête de Lucas sur un centre de Van der Wiel passe au-dessus.
GOAAAAAAL CONGRE ! Sur un coup-franc anodin, Douchez se déchire complètement. Congré en profite pour marquer de la tête dans le but vide. 0-1. Hold-up vous avez dit ?
A l’image de son équipe, Javier Pastore réalise une très bonne entame. Dans tous les bons coups, l’Argentin provoque et lâche caviar sur caviar. Forcément, il joue en position de meneur de jeu, avec Cavani devant lui.
Pour la première fois depuis le début du match, Montpellier réussit à conserver le ballon pendant plus de 30 secondes. Sans mettre en danger la défense parisienne.
Montpellier est juste honteux depuis le début du match. Aucun pressing, aucune combativité, rien. Pas attaqué, Ménez décale parfaitement Van der Wiel dont le centre est repris sans contrôle par Matuidi. Non cadré.
But de Digne ! Décalé côté gauche sur une passe géniale de Pastore, le latéral parisien enclenche une très belle frappe de l’extérieur de la surface qui trompe Pionnier. Sauf que l’assistant lève son drapeau. A tort. Il n’y avait pas hors-jeu.
Paris pourrait déjà mener 3-0 tant il a domine ce début de partie. Montpellier est beaucoup trop passif.
Dans la foulée, Matuidi récupère le ballon dans la surface et décale Verratti dont la frappe est claquée en corner par Pionnier.
Montpellier ne voit pas le jour ! Lucas déborde côté droit mais se fait reprendre. Van der Wiel récupère le ballon et centre pour Cavani qui crochète. Son centre est repoussé en catastrophe par Pionnier.
OOOOOOH Javier ! Pastore élimine son vis-à-vis d’un beau crochet et enchaîne avec une frappe du droit. C’est au-dessus du but de Pionnier.
Ménez en veut. Le garçon court partout et réussit une très belle accélération plein axe. Mais comme souvent avec l’ancien Romain, la finition est ratée.
La première occasion du match est pour Paris avec une frappe puissante du gauche de Lucas repoussée par Pionnier.
Siaka Tiéné est de retour au Parc des Princes. Il a déjà marqué plus de buts à Montpellier que lors de son passage au PSG.
Entrée des deux équipes sur le terrain. Le Parc est plein, évidemment.
Salut les ploucs ! 16ème de finale de la Coupe de France entre le PSG et Montpellier. Le retour de Rolland Courbis au Parc putain.
Par
