- Ligue des champions
- 8e de finale
En direct : Manchester United – Olympiakos Le Pirée (3 – 0)
C’est terminé! Manchester United tient son succès et son billet pour les quarts. Un peu d’air pour Moyes. Pour les Grecs, c’est une grosse déception. Il y avait la place pour passer. Allez, bonne soirée!
Quelle moustache, mais quelle moustache…
Cinq minutes de rab.
Enorme béquille de Manolas sur van Persie. « Ca t’apprendra, à nous planter des triplés. »
Ca pousse côté grec. Mais on ne va pas vous mentir, de notre côté, on est obnubilé par la moustache de Machado. Impossible de nous concentrer sur autre chose. Elle est tout simplement parfaite.
Oh la la la la, mais c’est quoi ce tir, Campbell? Servi en retrait par l’intenable « Chori » Dominguez, le Costa Ricain gâche l’offrande.
Si Christian Jeanpierre commentait ce match, il dirait : « ça sent le K.O. Arsène ».
Une sorte de Gary Bocaly, en somme.
Ce Salino est bigrement intéressant dans ses débordements couloir droit. En revanche, quand il s’agit de centrer, c’est une catastrophe.
Peinard dans la surface, Rafael prend la décision de faire n’importe quoi. Well done.
Fuster! Et encore une parade de De Gea, l’autre grand bonhomme de MU pour l’instant. Grosse pression à Old Trafford.
Vous aussi, vous le sentez venir, ce petit but de l’Olympiakos?
Et, Pérez, dis-le si tu n’as pas envie de marquer. C’est quoi cette tête non cadrée seul à 3m du but?
La fameuse « faute de compensation ». Il n’y a rien du tout de Valencia. Dis donc, il est devenu pigneur professionnel en Grèce le Ndinga. Faut en vouloir pour demander un jaune là-dessus.
Et bim, encore Robin van Persie! D’un coup-franc direct, cette fois-ci. Le portier de l’Olympiakos s’est fait prendre comme un bleu par la feinte de tir de Rooney.
Cet arbitre a quand même le coup de sifflet facile. Il n’y a rien du tout sur Welbeck là, monsieur.
Ah, Rooney joue aussi arrière-gauche, pour compenser les ballons perdus par Evra. Le rouquin a déjà couru un kilomètre de plus que ses potes.
Allez les gonzes, on s’y remet.
C’est la pause à Manchester! Les locaux ont déjà fait leur retard grâce à l’efficacité de Van Perso et l’énorme activité de Rooney. Fragiles derrière mais dangereux devant, les Grecs ont de quoi avoir les boules.
But de Robin van Persie pour Manchester United! Le doublé pour le Hollandais, parfaitement servi par Rooney. Et voilà les compteurs remis à zéro.
Maniatis est en train de se prendre la tête avec toute l’attaque mancunienne. Le match se tend. C’est bon, ça.
Oh l’énorme double arrêt de De Gea! Pied gauche face à Fuster, pied droit face à Dominguez. Prends ça, Thierry Omeyer!
Cette coupe de cheveux de Welbeck est quand même incroyable.
Pat Evraaaaaaa! Roberto sort la claquette! Ce but aurait été un argument de moins pour Rolland Tournevis.
Ca va quand même être chaud pour Valencia de choper en boite après le match. Le bonhomme est sacrément défiguré.
Ce soir, Rooney joue arrière-droit, milieu récupérateur, meneur de jeu et attaquant. Ah, et il fait les touches, aussi.
A chaque fois que l’Olympiakos s’approche du but de De Gea, ça sent le roussi pour les locaux. C’est pas serein-serein derrière.
Robin van Persie transforme le péno! Le Hollandais s’était fait bousculer par Holebas en plein amorti de la poitrine dans la surface.
Pénalty pour MU!
On vous disait que ça fait plaisir de prendre des nouvelles de ce bon vieux Ndinga. Il a l’air d’avoir la patate, ce bougre.
Le poteau pour Rooney! L’Anglais pose sa caboche, Roberto détourne la gonfle du bout du gant et remercie son poteau droit. ca s’emballe!
Fuster offre la survie aux Diables Rouges! Le bonhomme envoie sa frappe dans les nuages. Moyes vient de se faire dessus.
En résumé : une bonne nouvelle pour l’Equipe de France, Valencia a perdu un oeil dans la bataille. Et ne plaisantez pas avec Mr Kuipers, il n’hésitera pas à vous mettre un jaune.
Ca fait dix minutes qu’on vous balance des vannes et rien ne s’affiche. C’est fou, ça.
Les champions d’Angleterre en titre et les néo champions de Grèce sont en place. C’est ti-par!
Concrètement, ça donne un quatuor ultra offensif Valencia-Rooney-Van Persie-Welbeck. Avec papy Giggs en soutien. Sur le banc, Moyes n’a pas un défenseur. Le genre de compo qui tuerait un Jean Fernandez.
Salut les gus. Bienvenue à Old Trafford, pour un huitième de finale retour complètement incertain, comme on les aime. La bande à David Moyes a deux buts de retard sur les Grecs de l’Olympiakos. Sur la sellette, l’Ecossais n’a d’autre choix que d’envoyer le pâté. Et ça, c’est bon pour nous.
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