- Italie
- Serie A
- 12e journée
En direct : Lazio Rome – Juventus Turin (0 – 3)
Carlos Brenda Tévez a écrasé Miroslav Brandon Klose. L?un a marqué, l?autre est sorti à l?heure de jeu. Un duel fratricide qui résume à lui seul le match de ce soir. La Juve est plus belle, plus drôle et surtout beaucoup plus fun que cette Lazio-là. La Juventus sera championne, la Lazio se battra pour l’Europa. Et ce sera déjà très bien comme ça. Bonne soirée les lardons!
Le plat pays accélère: Premier ballon de Cavanda. Première frappe de Braafheid. Voilà voilà. On va en rester là messieurs.
Changement pour la Lazio Rome. Luis Pedro Cavanda remplace Dusan Basta.
Superbe accélération d’Anderson côté gauche, mais la frappe de Felipe est parfaitement stoppée par Gigi.
Maillot rentré dans le short, tête d’ado boutonneux et repositionnement ultra-rapide. Je suis de la vieille école et je m?appelle Federico Mattiello.
Ah, manifestement Vidal veut faire durer le plaisir. ça commence par un gros crachat à même le maillot. Classe.
Il reste dix minutes, mais il ne se passe déjà plus rien. La Juve a gagné, la Lazio ne jouera pas la C1 l’an prochain et Malmö va se faire éclater mercredi. On peut y aller ou on finit quand même?
Changement pour la Juventus Turin. Arturo Vidal remplace Andrea Pirlo. Rien que ça.
Première parade de Marchetti sur une frappe de Mattiello. Au moins lui ne sera pas venu pour rien.
Carton jaune pour Senad Lulic. Question de répartition.
Quelle coupe de cheveux d’hypster quand même ce Gigi Buffon . Un homme qui grandit avec son temps. Comme Johnny. #parallèleimprobable
Changement précipité pour la Juventus Turin. Federico Mattiello remplace Roberto Pereyra. Vidal attendra. Faire attendre Vidal, c’est fou ça quand même.
Deuxième carton jaune = carton rouge. Simone Padoin est dehors. Pas suffisant pour relancer le suspens, mais bien pour énerver Pavel Nedved en tribune. Et c’est déjà beaucoup.
Les balles en cloche de Biglia sur coup franc, c’est vraiment plus possible. Pas pour un mec qui a joué une finale de coupe du monde.
Lichtsteiner se troue, Bonucci se sacrifie. Carton jaune pour Leonardo.
On soulignera aussi la deuxième passe dé de Pereyra, et le but du gauche de PP. Que ça doit être gai d’avoir deux pieds.
But de Paul Pogba pour la Juventus Turin. Celui-ci doit tout à la vista de ce génie d’Andréa Pirlo.
Changement pour la Juventus Turin. Álvaro Morata remplace Fernando Llorente. La Juve va donc jouer à 11.
Deux changements d’un coup en fait pour la Lazio. Felipe Anderson remplace Diao Keita Baldé.
Premier changement pour la Lazio Rome. Filip Djordjevic remplace Miroslav Klose. La soirée perd indéniablement de son intérêt.
La vitesse de Roberto Pereyra a encore fait la diff’. Le sang froid de Carlito aussi. Du sang neuf avec des certitudes. Un bon combo.
But de Carlos Tévez pour la Juventus Turin. Fin du suspens.
Carton jaune pour Stephan Lichtsteiner. Et celui-là, c’est pour le principe.
Pereyra et Lichtsteiner combinent, le Suisse s’envole et tente le grand classique de la passe en retrait au six mètres, mais ne trouve personne. Comme à la console, ça cafouille, puis ça dégage.
Carton jaune pour Basta! C’est tout.
Faute de Fernando Llorente. Si Fernando Llorente, le mec qui a inventé le jeu sans ballon.
Et c’est reparti à Rome. Avec un Lucas Biglia visiblement perplexe. Tu m’étonnes.
Mi-temps à Rome. Depuis l’ouverture du score de PP, la Lazio souffre et Miroslav Brenda Klose attend tristement devant. Va falloir changer tout ça en seconde pour faire un peu vibrer le Stadio Olimpico. Nous, à la limite c’est pas grave, mais eux ils ont tout de même payé.
C’est peut-être pas millimétrique, mais c’est joli quand même.
A bien y regarder, Carlos Tevez, c’est un peu le Wayne Rooney de la Juve. Sans les implants et avec la tête de Ribéry. Certes. Mais l’homme est partout.
Un centre, une reprise de Keita et puis Basta.
Candreva prend sa chance sur coup franc, Buffon relâche, mais se relève à temps pour éviter sa deuxième bourde en une semaine. Il est là le Gigi!
Carton jaune pour Simone Padoin. Juste pour relancer la soirée.
La Lazio sort la tête de l’eau, mais butte sur un mur noir et blanc. Oui, c’est fort quand même la Juventus.
Bon, ben entre temps Pogba déroule. Encore. Une frappe millimétrique, mais qui se finit sur la transversale. Juste par ce qu’il s’emmerdait depuis trois minutes.
@pierre ménès 2.0: Je l’ai vu trop beau le PP. C’est le pied droit au contrôle bien entendu.
Il n’en fallait pas plus pour voir la Lazio sombrer. Que c’est dur de se faire feinter trois fois par Pirlo.
Superbe but de Paul Pogba pour la Juventus Turin! Pogbum peut remercier Tevez pour le caviar, son pied droit pour la prunasse. C’est propre, c’est PP!
On a déjà du mal à comprendre pourquoi Steve Marlet pour commenter un Lazio-Juve, mais alors un Steve Marlet en extinction de voix, c’est vraiment l’enfer pour garder un oeil ouvert.
Réaction de Candreva pour la Lazio. Une autre frappe, un nouvel échec. On frôle l’excitation.
Autour de Carlos Tevez de régler la mire. La frappe n’est pas bien rapide, même pas cadrée, mais oblige Marchetti à s’étendre. On prend.
Première frappe de la Lazio. Une tête de Stefan De Vrij. Un Hollandais que personne ne connaissait avant le Mondial, mais qui fait la loi dans le Calcio depuis. Vraiment bizarre.
Des pertes de balles, beaucoup de pertes de balles, mais quand même une vieille dame légèrement plus incisive. Dix premières minutes bien tristounettes dans l’ensemble.
Biglia a fait une passe vers l’avant!!! En une deux avec Roberto Pereyra… Un Turinois.
Une relance toute pourrie pour Bonucci et des passes improbables de Pirlo. La Juve rentre dans son match. Petit à petit.
Bon, ben comme d’hab, il n’y a personne dans les virages du Stade Olimpico. Sur la pelouse par contre, le ballon est pour la Lazio. On a même déjà vu Klose provoquer un corner. Allez Brandon, allume!
Premier tournant de la saison. Acte 1, c’est parti à Rome.
Et puis c’est quand même un duel entre Carlos Tevez et Miroslav Klose. Les Brenda et Brandon du Clacio. Les deux plus beaux donc.
Salut les lardons! Soirée nineties pour nous ce soir. Parce qu’un Lazio-Juve en Série A, c’est comme un Bordeaux-Nantes en Ligue 1, c’est avant tout un appel au retour de la veste en jeans.
Martin Grimberghs