- Coupe du monde 2014
- Groupe D
En direct : Italie – Costa Rica (0 – 1)
C’est terminé! Incroyable performance du Costa Rica, sorti comme un grand du « groupe de la mort ». Personne ne les attendait, les voilà en huitièmes, au nez et à la barbe de l’Angleterre. Et de l’Italie ou de l’Uruguay. Magnifique exploit.
La « Titi Henry » de Brenes! Ca frôle la lulu de Buffon. Plus que deux minutes!
Quatre minutes de rab!
Corner rital, que Cassano n’arrive pas à reprendre. L’entrée du gars de Parme n’aura pas pesé lourd.
Est-ce qu’on se rend suffisamment compte de l’exploit qu’est en train de réaliser le Costa Rica?
Gros sauvetage de Chiellini devant Ureña. Les Ticos bloquent totalement le déploiement du jeu italien et se permettent d’être menaçants en contre. Grosse perf.
Randall Brenes remplace Bryan Ruiz, le héros du jour. Bien joué, cousin.
L’Italie n’a plus que dix minutes pour s’éviter une énorme finale face à Luis Suarez.
Qui aurait parié que ces Costa-Ricains feraient tomber l’Italie et l’Angleterre d’un coup?
Ce Borges, il ne ressemblerait pas comme deux gouttes d’eau à l’Andre Luiz de l’OM, du PSG et d’Ajaccio?
Et voilà Marco Ureña, à la place de Joël Campbell. Le premier Joel du football depuis ce bon vieux Quiniou.
Prandelli joue sa dernière carte. Alessio Cerci remplace Claudio Marchisio. Torino vs Juventus.
Super Mario Balotelli s’énerve, tire des maillots et prend son jaune. Un vrai gamin, comme on les aime.
Changement pour le Costa Rica. José Miguel Cubero remplace Yeltsin Tejeda. Un joueur de l’Herediano pour un joueur du Deportivo Saprissa, donc.
« Oléééé, Oléééé » : le public brésilien de Recife a choisi son camp. Normal, il a trouvé un adversaire à sa taille.
Lu sur les lèvres de Balo : « Mais bordel, c’est qui ces types? Je n’en connais pas un seul et ils nous mettent la branlée. »
Abate n’en peut plus de ce Bolaños. Il a donc décidé de lui sauter littéralement dessus dès qu’il touche le ballon. Et pourquoi pas, au fond?
Bolaños a certes un bandeau dégueulasse, mais quand il s’agit de casser les reins de De Rossi, on peut compter sur lui.
Deuxième changement pour l’Italie. Lorenzo Insigne remplace Antonio Candreva, pour un peu plus de folie offensivement.
Coup-franc lointain de Pirlo, c’est boxé par Navas!
Darmian crochète, se met sur son pied droit et envoie un pétârd juste au-dessus! L’Italie fait le siège.
Balotelli n’est pas dans son match. Il passe son temps à répondre verbalement aux tacles rugueux des défenseurs ticos, qui gagnent pour l’instant leur pari.
Prandelli a réagi. Antonio Cassano a remplacé Thiago Motta. Du spectacle!
Tous les supporters sont aux chiottes ou à la buvette, et le jeu reprend sans eux.
Ca s’est chauffé un peu entre les deux équipes dans les couloirs de l’Arena Pernambuco. De quoi présager un deuxième acte animé.
C’est la pause à Recife. Grosse surprise, puisque le Costa Rica mène assez logiquement 1 à 0 face à l’Italie, s’assurant pour l’instant la qualif. Groupe de « champions du monde », d’accord, mais aussi et surtout groupe des Ticos.
But de Bryan Ruiz! Le meneur du PSV pose son coup de tête, barre rentrante et 1-0 pour les Ticos. Et c’est mérité.
Péno! Non, Monsieur Osses ne l’accorde pas aux pauvres Costa-Ricains. Jorge Luis Pinto est fou furieux.
Un caviar de Ruiz pour le coup de caboche arrière de Duarte, qui passe un poil au-dessus. Les Anglais se font dessus.
On profite de ce temps mort pour vous informer que le Costa Rica n’est pas une île.
La réplique de Bolaños! Buffon étend ses 36 ans et dégage des poings. Bah voilà, ça s’anime.
Dès que le sniper qui sert de pied droit à Pirlo se met en marche, ça devient un massacre pour la défense costa-ricaine.
Balotelli! C’est en force, c’est sur le gardien, c’est dégagé. Mais l’Italie commence à se montrer dangereuse.
La preuve avec cette occase! Un contrôle trop long, fait exprès bien sûr, et un lob tout pourri. Inutile de préciser que l’ouverture de Pirlo était exceptionnelle.
Balotelli reste à 100% de contrôles ratés. Son objectif? Maintenir cette stat, tout en plantant un triplé.
La frappe de Thiago Motta! Ca passe 15 bons mètres à côté. On ne peut pas être parfait, hein.
Début de match compliqué pour Balotello. Des hors-jeu, des approximations, des fautes. Va falloir se mettre dedans, mon grand.
Pour l’instant, Pirlo se contente de faire voler ses cheveux au vent. Pour être honnête, ça nous suffirait presque. Quelle classe, nom d’une pipe.
Ce Duarte est particulièrement bien entré dans son match. Après s’être fait Marchisio, il allume Chiellini d’un missile en pleine poire.
Intéressant, ce Joel Cambell. Un homme qui manque beaucoup au Moustoir.
C’est nous où le stade est complètement silencieux? Les Italiens n’ont pas fait le voyage ou quoi?
RAS côté rital. Ce cher Keylor Navas est au chômage pour l’instant. Pas bon pour les stats, ça.
Toujours aussi surprenants, ces Ticos. Contrairement aux Honduriens, ils sont capables de combiner devant, avec ce petit génie de Bryan Ruiz à la baguette. La famille.
Borges! Mmmmmmh, Buffon s’en sort très bien sur ce coup. Le portier turinois sort aux fraises sur un corner costa-ricain et le philosophe tico passe à 10 centimètres d’ouvrir le score de la tronche.
Bien ouéj, Duarte! Le descendant d’Eva Peron met au sol Marchisio et le finit d’un coup de genou dans la nuque. Superbe.
La fraaaappe terrible de Bolaños! Les 3 km/h ont été franchis sur ce tir surpuissant du joueur de Copenhagen.
Les hymnes, les encouragements, le soleil, c’est parti!
Mauvaise nouvelle pour les fans du PSG, l’ami Sirigu retrouve le banc de touche. Et Verratti avec.
Un Borges et un Duarte côté costa-ricain. Un hommage à l’Argentine, probablement.
Salut la famille. Bienvenue à l’Arena « Juninho » Pernambuco de Recife pour le match entre le favori italien et la surprise costa-ricaine. Une rencontre que les Anglais suivront de près : si l’Italie ne gagne pas, ils peuvent faire leurs valises et raccompagner les Espagnols à l’aéroport.
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