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En direct : États-Unis – Pays-Bas

Julien Duez, au Stade de Lyon
En direct : États-Unis – Pays-Bas
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À jouer

Merci d’avoir encore été si bavards pour animer ce live. Ç’aura été un plaisir de partager ce tournoi avec vous. On se revoit très vite, en tout cas avant la prochaine Coupe du monde… en 2023 (wink, wink) !

Et c’est terminé ! Les Etats-Unis s’imposent très facilement 2-0 et deviennnent la première nation à défendre sa couronne mondiale.

En face, les Néerlandaises auront surtout résisté, à défaut de savoir se montrer dangereuses. Dommage pour l’absence de suspense mais ce soir, le vainqueur est mérité.

Breaking : avec 26 pions inscrits, les Etats-Unis deviennent l’équipe à avoir inscrit le plus de buts dans une seule Coupe du monde. Woohoo !

5 minutes de calvaire en plus donc.

PLUS AUCUN ORANJE N’Y CROIT, C’EST HORRIBLE !

Changement pour les Etats-Unis. Carli Lloyd remplace Tobin Heath. Visiblement, la séance de tricotage n’étais pas vraiment au goût de Jill Ellis.

Heath en vrai on a l’impression qu’elle veut que les Pays-Bas remontent. Juste pour maintenir le challenge à flots.

Point stat : il reste dix minutes et les Pays-Bas ont tiré deux fois. Dont zéro fois dans le cadre. Probablement à cause du temps passer à bloquer les assauts ricains.

Changement pour les Etats-Unis. Christen Press remplace Megan Rapinoe, applaudie comme si son pays avait déjà gagné. Wait…

On est officiellement 59 186 présents. C’est donc un guichets fermés comme prévu.

ALLEZ PRENDS CA CRYSTAL DUNN !

Changement pour les Pays-Bas. Shanice Van de Sanden remplace Anouk Dekker. On va enfin se projeter vers l’avant !

Et van Veenendaal qui vient empêcher Morgan de planter le but du trois-zér’ en allant chercher le ballon dans ses pieds !

Allez voter pour elle pour le titre de femme du match Visa-Coca Cola-Chupa Chups-Petit écolier de Lu, elle le mérite grave.

Changement pour les Pays-Bas. Jill Roord remplace Lieke Martens. Maudit orteil.

But de Rose Lavelle pour les Etats-Unis. Je retire ce que j’ai dit dans mon message précédent. Lui laisser un boulevard pareil pour marquer, c’est juste pas possible.

Ça commence à s’emmêler dangereusement les pinceaux dans la défense néerlandaise? Heureusement qu’Annouk Dekker « The Trucker » est là pour mettre de l’ordre.

MAIS QU’EST-CE QU’ELLE NOUS A FAIT MEDIEMA ?! TIIIIIIIIIRE !

Merde, c’est nul comme scénario de finale.

But de Megan Rapinoe pour les Etats-Unis. Pas besoin de forcer. C’est hyper faible comme frappe, mais van Veenendaal ne bouge pas de sa ligne.

Et c’est péno. Mais c’est justifié.

Carton jaune pour Stephanie van der Gragt qui vient de planter ses crampons dans l’épaule d’Alex Morgan.

ET ON VA SE TAPER LA VAAAAR !

Profitons de l’intervention des médecins sur Sauerbrunn qui vient de se péter l’arcade pour vous poser une vraie question : qui a déjà testé Lolo la frite, le mec qui fait des sandwichs dans son garage à la sortie de l’arrêt de tram Décines-Grand large ?

La première alerte est à mettre sur le compte de Crystal Dunn et de sa frappe complètement dévissée.

@Polstergeist et @Marion Pichenette : d’ailleurs, c’est plutôt inquiétant ce transfert pour PPM. Parce que Manuela, au Bayern, elle était intouchable. Et si elle vient à Arsenal, c’est clairement pas pour s’asseoir sur un banc.

Changement pour les Etats-Unis. Ali Krieger remplace Kelley O’Hara, pas remise de son choc de la fin du premier acte.

Eeeeeet c’est repartiiiiiii !

ET C’EST LA PAUZE (comme on dit aux Pays-Bas). Et quelle surprise ! Non seulement les Néerlandaises ne perdent pas, mais en plus, elles se sont créé l’une ou l’autre occasion chaude (bon allez, tiède) en toute fin de première mi-temps. Les Etats-Unis pressent autant qu’elles doutent.

VIVI ! L’attaquante néerlandaise parvient à doubler tout le monde mais son centre ne trouve personne.

Martens et O’Hara au sol après un gros choc.

Deux minutes de souffrance en plus.

Carton jaune pour Abby Dahlkemper qui prend Beerensteyn de court. Le coup-franc et le corner qui suivent ne donnent rien pour les Pays-Bas. En revanche, on a la preuve qu’elles sont toujours en vie et ça, c’est plutôt rassurant.

Et de trois ! J’ai trouvé : on dit Nationale Orde van Verdienste.

MAIS VAN VEENENDAAL ! Deux parades salvatrices coup sur coup, deux de plus ! Comment on dit Médaille de l’Ordre national du mérite en néerlandais ?

Bloodworth, la valeur du sang ? Qu’est-ce qu’elle porte bien son blase Dominique ! Re-corner pour les States.

J’aimerais quand même dire au trompettiste batave que jouer l’air de « Ce n’est qu’un au revoir » n’est pas forcément la meilleure chose à faire quand ton équipe se fait étrangler comme un poulet du Kentucky.

Troisième corner états-unien, le plus mal tiré jusqu’à présent. Et toujours aucun tir à signaler.

Intéressante pause-boisson pendant laquelle Megan Rapinoe reste absolument seule dans le rond central et regarde ses partenaires avec l’air de dire « Pouah ! Que vous êtes faibles ! »

VAN VEEEENENDAAAAAAAL ! Quelle parade sur cette volée de Julie Ertz qui vient griller la priorité à Lavelle au passage.

Au passage, Sari est actuellement libre, si un club est intéressé pour recruter cette paire de paumes de béton…

Naeherrrrrr ! Encore une sortie neueresque pour la portière de la Team USA, qui dégage au pied à nouveau devant sa surface et remporte son duel face à Beerensteyn, trop courte.

Et une première relance panique pour van Veenendaal, une !

63% de possession pour les Etats-Unis après 20 minutes, deux arrêtes décisifs à mettre au compte de van Veenendaal, mais toujours zéro tir à noter, d’un côté comme de l’autre.

Van Veenendaal ! La gardienne néerlandaise vient bloquer un centre de Lavelle à ras de terre. Mais sur le terrain, ça reste très brouillon côté oranje.

Ah tiens ! Devinez qui est à côté du kop néerlandais avec son énorme BBR ? Mais oui, c’est M. Sarreguemines !

Voilà, on a passé la barre des douze minutes, les Pays-Bas sont officiellement la meilleure équipe défensive du tournoi.

Première sortie de Naeher à l’entrée de sa surface. Ça faisait longtemps qu’on ne l’avait pas vue faire autant d’efforts.

Elle rigole pas Madame Frappart.

Carton jaune pour Sherida Spitse, après un tacle aussi en retard qu’un RER B un lundi matin d’hiver. Rien de grave pour Lavelle heureusement.

Combat équilibré entre les « USA ! » d’un côté et les « HOLLAND! » de l’autre. En revanche, sur le terrain, les Néerlandaises jouent à se faire peur.

Deux minutes, c’est le temps qu’il aura fallu pour réveiller la trompette néerlandaise. Le tambour états-unien est perturbé.

Message de service pour les Leeuwinnen : n’oubliez pas, le plus important, c’est de tenir 12 minutes sans marquer.

LET’S GOOOOOO! Putain, on est partis pour le dernier match du Mondial, j’ai un gros pincement au coeur rien que d’y penser.

Faites-nous rêver mesdames !

Autant ça avait un peu tiré la tronche dans les gradins du Parc OL pendant les demies, autant là, je crois qu’on part sur des guichets fermés.

Par contre, si la cérémonie de clôture, c’est juste déployer une bâche en forme de Coupe du monde, c’est un peu tristoune.

1-1 au niveau des hymnes, performance correcte de chaque côté.

Au tour des Nederlandse maintenant. Sous le regard bienveillant du bon roy Willem-Alexander.

LE PUBLIC QUI ACCLAME RAPINOE QUI CHANTE PAS !

Et c’est parti pour les hymnes. Les States commencent.

Ah oui, et pour mettre fin au débat, Megan Rapinoe a raison : une finale à 17h, c’est nul.

Punt aan de lijn, comme on dit chez les Oranje.

Et en face, Lieke Martens est finalement apte à démarrer malgré sa blessure à l’orteil. Mais pourra-t-elle tenir 90 minutes pour autant ? En tout cas, une chose est sûre : aucune Lyonnaise de débutera la finale à domicile puisque Shanice van de Sanden est de nouveau sur le banc. C’est Beerensteyn qui commence à sa place.

Le XI des Pays-Bas : van Veenendaal – van Lunteren, Dekker, van der Gragt, Bloodworth – Groenen, van de Donk, Spitse – Beerensteyn, Miedema, Martens.

Bon, faisons simple, il y a une surprise de chaque côté. Dans la Team USA, Megan Rapinoe est bel et bien rétablie de sa gêne aux ischios, elle démarre donc sur le flanc gauche, avec le brassard s’il-vous-plaît !

Le XI des Etats-Unis : Naeher – O’Hara, Dahlkemper, Sauerbrunn, Dunn – Lavelle, Ertz, Mewis – Heath, Morgan, Rapinoe.

Au menu : onze championnes du monde contre onze championnes d’Europe. Qu’est-ce que vous me pronostiquez pour le résultat final ? Une quatrième étoile pour les Etats-uniennes ? Une première pour les Néerlandaises ? Perso, j’ai très envie de croire à la seconde option. Faites vos jeux !

Non évidemment, on va d’abord se concentrer sur les 22 actrices de l’après-midi qui vont s’écharper pendant minimum 90 minutes sous un cagnard qui ferait passer le désert du Nevada pour une cave sibérienne.

COCORICOOOOOOOO ! Bienvenue à Décines-Charpieu pour assister à la finale de la Coupe du monde féminine de football arbitrée par STÉPHANIE FRAPPART !

La Ligue 1 Magasin de meubles against everybody.

Julien Duez, au Stade de Lyon

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