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En direct : Espagne – Maroc
À jouer
Finalement, l’Espagne termine première et affrontera la Russie pendant que le Portugal se tapera l’Uruguay. Le Maroc termine quatrième derrière l’Iran.
À la prochaine pour une nouvelle soirée épique, les sportifs !
Pendant que les esprits s’échauffent entre Marocains et Espagnols. Ça va virer au carton rouge, cette affaire !
OH LA FOLIE !!! L IRAN VIENT D’AVOIR UNE OCCAS ÉNORME POUR LE 2-1 !
Gros, gros, gros bordel sur le bord du terrain !
Les Marocains sont vénères, alors que les Iraniens viennent d’égaliser… La folie, imaginez si l’Iran gagne, le Portugal saute !
But accordé à Iago Aspas sur cette talonnade. À raison au vu du ralenti. Mais, putain, ça ressemble à rien d’accorder un but deux minutes après.
Oh, la VAR qui pourrait annuler la décision…
L’arbitre est pas très serein, à vrai dire.
BUT HORS-JEU D’ASPAS !
Faux-espoir pour les Espagnols et @rhz1984.
Les supporters marocains qui crient « Olé ! »
Si l’Iran égalise présentement, le Portugal resterait premier et l’Espagne resterait deuxième.
Les Espagnols appuient sur l’accélérateur pour égaliser. Ça fait longtemps qu’il fallait passer la cinquième, les gars, hein…
Un nouveau but du Maroc combiné à un but de l’Iran et…
Qui s’est fait bouffer dans les airs ? Bah, c’est notre ami Sergio Ramos, capitaine de pédalo. En fait, son brassard, c’est pour l’empêcher de se noyer ce soir.
Quel coup de casque somptueux balancé par Youssef En Nesyri sur corner. Net et sans bavure. Le bonhomme avait un viseur avec son immense bras dirigé vers la cage. Et le Maroc mène 2-1 !
PO PO PO !!!!
LES MAROCAINS RÉCLAMENT LA VAR !
La main est soudée au corps, impossible de siffler penalty.
Ce contrôle de Youssef En Nesyri… C’est non.
C’est fou le plan du Maroc quand on y pense, quand même :
tout donner pendant cinq minutes et faire tout le reste du match en marchant. Éjaculateurs précoces !
Vous voulez une vraie folie ?
Si l’Iran égalise maintenant contre l’Espagne, il faudra départager l’Espagne et le Portugal au classement du fair-play… et c’est la Roja qui aurait l’avantage.
Les Espagnols sont au-dessus, mais c’est trop sous-jacent. On a l’impression que c’est beaucoup trop facile pour eux, mais ils n’arrivent pas à se procurer de méga occas’…
Thiago Alcantara en une-deux avec Diego Costa, dommage, la frappe du diez espagnol ne trouve pas le cadre.
On les a prévenus les Espagnols que s’ils en restent là, ils vont se coltiner l’Uruguay de l’immense Óscar Tabárez ?! Pendant que la Russie éliminerait le Portugal.
Allez, Hervé, donne-moi quelque chose ! Un Amine Harit, au moins !
Ouf ! Derrière, Piqué saute plus haut que tout le monde dans la surface, mais son coup de casque passe à côté.
C’est chaud entre Piqué et Belhanda. J’suis clairement #TeamPailladin sur ce coup.
Il reste une demi-heure à jouer et la Roja a neuf orteils en huitièmes. Le scénario catastrophe, c’est le Maroc qui marque trois fois et gagne par deux buts d’écart, pendant que l’Iran renverse la situation contre le Portugal…
La volée pour Thiago ! Elle s’échappe très loin de la cage. Coup franc à suivre pour l’Espagne au coin de la surface…
Dirar, dans la surface adverse : coup du sombrero, tentative de ciseau acrobatique. De loin, l’arrière droit le plus soyeux du tournoi.
Nordin Amrabat fracasse le coin de la transversale de la cage espagnole. Oh, le frisson sur cet exter’ !
LA BARRE !!!
LA BARRE !!!
LA BARRE !!!
Les Ibères ont remis leur patte sur ce match. En fait, l’enclave de Kaliningrad en Europe, c’est Boutaïb tout seul dans le camp espagnol.
La 2G(ea) est un peu longue à la détente.
DE GEA IN-EXTRÉMIS !!!
Le gardien espagnol hésite à sortir devant Ziyech, il se décide finalement à mettre le poing pour empêcher le Marocain de placer un coup de tête à bout portant. C’était moins une !
Tiens, une main de Piqué non sifflée. Haters et contre haters, battez-vous !
Belhanda tente un trèèèèèès long ballon devant vers Boussoufa, c’est beaucoup trop compliqué.
Pas de changement à signaler.
1-0 PO-TOU-GALE ! L’Espagne n’est plus en tête du groupe.
Alba déborde côté gauche, mais il se fait calmer par El Ahmadi.
Elle est là, la réaction marocaine. Une mèche allumée par Ziyech, à 30 mètres, qui souffle au-dessus de la transversale.
Toujours pas de but dans le deuxième match. Du coup, la Roja est provisoirement première du groupe, à la faveur d’une meilleure attaque.
Bon, bah, Boutaïb, il risque de le regretter un bout de temps son deuxième face à face avec De Gea. Les Marocains subissent depuis 20 minutes et ne touchent plus le ballon !
Iniesta est au four et au moulin. Il récupère le cuir à 30 mètres des buts marocains, mais cette fois-ci, sa passe n’est pas idéale vers Diego Costa.
Madre Mia !
La passe cachée d’Isco vers Iniesta en profondeur, c’est du coton. D’une douceur…
David Silva centre au cordeau, mais il ne trouve aucun rouge dans la surface. Ça sent déjà le K-O.
Calma ! Calma ! Les Marocains vont finir à neuf à ce rythme. Ils sont hyper nerveux.
Clairement, le Maroc joue à fond les ballons même sans enjeu au bout et ça fait plaisir. Ils vont devoir aller la chercher cette victoire, les Espagnols !
Gros Sergio, c’est un capitaine de pédalo, ce soir.
PUTAIN BOUTAÏB vs DE GEA, acte II !!!
Cette fois, l’attaquant pousse trop loin son ballon et bute sur le portier. C’était une occas’ en or après une nouvelle erreur de Ramos !
INIESTA, INIESTA, INIESTA !!!
Le métronome fonce vers la cage marocaine et finit par tirer, mais c’est contré. Diego Costa lui gueule dessus. Bon, pour une fois qu’il est soliste…
Quel amour de jeu en triangle Iniesta/Costa/Isco !
Iniesta se rattrape de la plus belle des manières en délivrant un caviar pour Isco. On sent du soulagement dans la célébration des Espagnols. 1-1, balle au centre.
OH, LA RÉACTION DE BONHOMME SIGNÉ ISCO ! ÉGALISATION ESPAGNOLE !!!
Pour l’instant, malgré ce but, l’Espagne reste qualifiée. Mais un deuxième but marocain et…
Dans le rond central, Sergio Ramos et Iniesta ne se comprennent pas, Boutaïb, lui, ne se pose pas de question, et derrière, l’attaquant a une autoroute pour filer au but. Il prend le temps de fixer De Gea avant de conclure de l’intérieur du gauche !
Khalid Boutaïb ouvre le score pour le Maroc. Prends-ça, Gerard Piqué ! 1-0.
MAIS OUIIIIIIIIIII !!!!!!!!
Ça serait bien de pas repartir fanny les Marocains…
Depuis le bord de touche, Carvajal passe pour Silva, qui sert Iniesta… Tout ça en une touche de balle, mais Don Andrés est trop court pour reprendre le cuir dans la surface.
OH PIQUÉ, LA DINGUERIE !!!
Le défenseur espagnol se jette les deux pieds en avant devant Boutaïb. Certes, il prend le ballon, mais il peut aussi faire du petit bois avec les chevilles de l’ancien Strasbourgeois.
Mais l’arbitre n’a pas sifflé faute, OK…
Je compte sur vous, mes gavas, pour nous tenir au jus du résultat de l’autre match.
À gauche, puis à droite. Cette fois, c’est Carvajal qui déborde et obtient un corner. C’est chaud, déjà.
Première alerte sur le but marocain. Andrés Iniesta s’infiltre dans la surface et décale Isco sur sa gauche. Le Madrilène tente une remise de l’exter’ devant le but, sans succès, Munir se jette sur le cuir.
Comme d’hab’, le Maroc pleine balle avec Hakim Ziyech !
Bah, contre l’Iran et le Portugal, ça n’avait pas suffi à marquer le moindre but.
Le récap des enjeux de la soirée est à lire ici.
Je vous la fait courte : si l’Espagne perd par au moins deux buts d’écart, elle peut s’inquiéter. Mais si l’Espagne veut terminer première, elle doit faire un meilleur résultat que le Portugal contre l’Iran.
En face, le capitaine Mehdi Benatia est forfait de dernière minute ! Il est remplacé par l’Angevin Romain Saïss. Pour le reste, Hervé Renard fait confiance à sa dernière formation.
Le XI du Maroc : Munir – Dirar, Saïss, Da Costa, Achraf – El Ahmadi – Amrabat, Boussoufa, Belhanda, Ziyech – Boutaïb.
Contrairement à ce qui était pressenti, Iniesta est bien titularisé par Fernando Hierro, tout comme Thiago Alcántara. Koke et Lucas Vázquez cirent le banc.
Le XI de l’Espagne, en 4-2-3-1 : De Gea – Carvajal, Piqué, Ramos, Alba – Busquets, Thiago Alcántara – Silva, Iniesta, Isco – Costa.
Salut les sportifs !
Ce soir, la Roja doit se rassurer et valider sa qualification pour les huitièmes. C’est aussi le baroud d’honneur des Lions de l’Atlas, déjà éliminés.
Espagne
Maroc
Florian Lefèvre
