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En direct : Costa Rica – Grèce (1 – 1)

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En direct : Costa Rica – Grèce (1 – 1)
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À jouer

Umana conclut le sans faute des siens magnifiquement. Le Costa Rica n’a pas tremblé et rencontrera les Pays-Bas en quarts. Bravo à eux. Sur-ce, bonne nuit à tous, demain y a de l’école.

Quelle parade de Navas, main opposée, qui stoppe la mine de Gekas. Balle de match pour le Costa Rica.

Course d’élan chelou de Campbell, mais ça score sans trembler, malgré la fatigue.

Que c’est bien tiré par Holebas. En force, croisé, pied gauche. Navas ne peut rien.

Karnezis effleure le tir de Gonzalez mais ne le stoppe pas. 3-2.

Christo prend Navas à contre-pied easy, grâce à une jolie feinte de corps.

Ruiz appuie bien son tir, en force sous la barre. Propre.

Deux pas d’élan, pied ouvert, contrepied. Mitroglou égalise.

Borges transforme en force, plein centre. Joli.

Il est évident que Mitroglou va rater. S’il tire.

Ca implore des divinités dans tous les coins, alors que le coach grec se fait expulser.

C’est fini! Nous allons avoir des tirs-au-but, gentlemen.

Les mecs sont à bouts et n’avancent plus. On se croirait dans un cinquième set entre crocos à Roland!

Enorme parade de Navas, again! Après une déviation de la tête, Mitroglou est seul devant Navas. Sa reprise est déviée par le portier du Costa Rica. Un héros!

Il y aura deux minutes de temps additionnel. Les Grecs vont-ils la refaire à l’envers (no offense)?

Mitroglou tente sa chance de loin. Il trouve le parking visiteur.

Holebas a encore des jambes de feu après 115 minutes. Le latéral place un grand pont et se voit subtiliser le cuir juste avant d’armer. Belle révélation, cet arrière gauche.

Il paraît que c’est ce que les Américains appellent le money time. Mais bon, les Grecs et la monnaie, en ce moment, c’est pas trop ça.

Les Grecs se retrouvent à 5 contre 2 en contre! Mitroglou est servi et allume les gants de Navas, qui fait une nouvelle parade.

Cubero se lance dans un festival sur l’aile droite. En bout de course, après avoir éliminé trois mecs, il s’arrache pour centrer. Les Grecs dégagent en corner.

Et ce chrono qui défile peu à peu…

Entouré de trois adversaires, Campbell s’arrache et obtient un coup-franc. Gros match de l’avant-centre des Ticos.

Navas sort dans les pieds pour intercepter une passe en profondeur. Il reste au sol pour gagner des secondes précieuses. Sauf que ça fait entrer l’équipe médicale sur la pelouse.

Ca reprend avec un long dégagement des Costariciens le plus loin possible. Histoire qu’on sache à quoi s’attendre.

Mi-temps.

Enfin une attaque des Ticos! Campbell transmet à Burges qui a dédoublé sur la droite. Le milieu s’applique mais Katsouranis vient tacler son centre au sol. Dommage, mais c’est la preuve qu’il y aura des opportunités.

Navas s’emmerde pas, il tape un coup-franc directement en sortie de but. Il sait que les mecs vont pas faire un appel.

Que c’est dur pour le Costa Rica. Les Grecs poussent encore et encore. Nouvelle intervention décisive du bout du pied d’Acosta.

Nouveau cafouillage dans la surface, mais l’arbitre vient cette fois à la rescousse des Costariciens. Navas met dix plombes à dégager son camp.

Christodoulopoulos se lance dans un festival sur la droite. Il dribble les mecs comme des plots, mais rate son centre. Il paraît que c’est la fatigue.

Magnifique centre de Kastouranis sur la droite. Mitroglou saute mais place son coup de tête dans le vide. Gekas voit le cuir lui rebondir sur le front et filer en sortie de but.

La Grèce a déjà failli scorer deux fois. Navas, lui, attend les tab. Dire qu’il va craquer à la 119e…

Allez, on y retourne. La Grèce a égalisé à la 91ème et est à onze contre dix. Autant dire qu’elle a un boulevard…

Qu’elle est longue, cette pause. Allez messieurs, faut y retourner.

C’est fini, on jouera donc la prolong’. Et c’est bien relou parce qu’on n’est pas payé plus… Enfin bref, ça sent les crampes pour les Costariciens.

Nouvelle parade folle de Navas, qui vient claquer une tête de Mitroglou au point de péno. Grosse détente le gamin.

Alors qu’on jouera 5 minutes de temps additionnel.

But de Sokratis! Incroyable! Le joueur de Dortmund est au rebond, après une nouvelle grosse parade de Navas sur une frappe en pivot de Gekas. Il fusille de près et trouve les filets. Quelle folie.

Imaginez un nouveau péno pour la Grèce maintenant. Les bollocks de Samaras vont ressembler à celle de Randy Marsh dans Medicinal Fried Chicken.

Christodoulopoulos se défait du marquage sur la droite. Il rentre dans la surface avant de centrer fort dans les six-mètres. Après un coup de flipper, Navas voit le cuir lui arriver dans les bras. Belle baraka.

Aucune cohérence chez les Grecs. Leur dieu c’est Zeus mais ils ont Jésus en attaque. N’importe quoi.

Changement pour Costa Rica. Randall Brenes remplace Christian Bolaños.

Gekas manque de promptitude à la réception d’un long ballon. Acosta intervient.

Les hommes de Pinto jouent tous derrière, alors que les Grecs se cassent les dents à essayer de construire. Alors les gars, comment ça fait? C’est chiant hein?

Dernier va-tout pour la Grèce. Costas Katsouranis remplace Ioannis Maniatis.

Changement pour le Costa Rica. Johnny Acosta remplace Cristian Gamboa.

Nouveau centre de Holebas depuis la gauche, toujours au sol. C’est légèrement dévié et du coup, Gekas ne peut reprendre. Enfin si, il reprend, mais du genou. Six-mètres.

Vilain tacle de Kostas Manolas (par centaaiiiiines) sur Campbell. Les Costariciens réclament un rouge, mais non.

Holebas est lancé sur la gauche. Son centre tendu devant la cage est dégagé à l’arrache par l’un des dix stoppeurs du Costa Rica.

Au tour de Bryan Ruiz de prendre une biscotte.

Changement pour la Grèce. Theofanis Gekas remplace Dimitrios Salpingidis. Football total pour eux.

Carton rouge pour Oscar Duarte, auteur d’un croche pied. Deuxième jaune pour lui. Le Costa Rica va devoir faire le dos rond.

Changement pour les Ticos José Miguel Cubero remplace Yeltsin Tejeda.

Alors que les Grecs implorent Hermès pour qu’il ralentisse le chrono ni vu ni connu…

Ya des mecs qui trouvent la Grèce séduisante, et d’autres qui la trouvent horrible. Mais ce n’est pas la première fois que la Grèce suscite un tel débat. C’était déjà la cas pour Xéna la guerrière. Vous la trouviez bonne, vous?

Changement pour la Grèce. Konstantinos Mitroglou remplace Andreas Samaris.

Ca s’excite sur le banc. Pemberton prend un jaune. Le mec veut son nom sur la feuille de match de cette rencontre historique!

Le Costa Rica appuie. Sur un centre de la droite, Torosidis est lobé mais dévie le cuir… du bras. L’arbitre ne voit rien.

Ruiz offre l’avantage au Costa Rica! Sur la gauche, Bolanos adresse un centre au sol parfait. Ruiz reprend du gauche sans contrôle. Ce n’est pas puissant, mais c’est diablement bien placé. Karnezis ne bouge pas. Il avait les pieds forgés dans le ciment, certainement l’oeuvre d’Héphaistos (pour mon Duke8 sûr)

Carton jaune pour Yeltsin Tejeda, pour un tacle trop appuyé sur Karagounis.

Samaras se distingue d’entrée, en reprenant un coup-franc de la gauche. Son coup de tête est trop centré et termine dans les gants de Navas

C’est reparti. Le suspense reste entier.

@TheDuke8 Pas compris ta requête

C’est la pause à Recife. Les Grecs ont bien poussé sur la fin, sans parvenir à trouver la faille. Les Costaricains semblent émoussés après un début de match plutôt emballant.

Deux minutes de rab. Navas est à 45 minutes d’une nouvelle clean sheet…

Navas lit parfaitement la trajectoire sur la balle en cloche de Karagounis. Il vient cueillir le cuir dans les airs comme on cueille des cerises au mois de juin.

Duarte se fait avoir comme un bleu par un rebond. Il est obligé de retenir Christodoulopoulos par le bras. Jaune et bon coup-franc à suivre.

Les Costaricains sont dans le dur depuis dix minutes. Et ya pas de cooling break de prévu.

Oh la parade de Navas!!! Sur un centre fabuleux d’Holebas, Salpingidis met le plat du pied en opposition au second poteau à bout portant. Le portier des Ticos dévie le cuir du pied. Quel réflexe!

Samaris sèche Campbell au milieu de terrain. Biscotte pour lui.

On voit venir d’ici les vannes sur Costa et Recife, si les Ticos venaient à perdre.

Sur un corner, Karnezis met tout le monde d’accord d’une prise de balle impeccable.

@LaDauph: Celui qui postule en premier.

Karagounis hérite d’un ballon à 25 mètres et arme un tir soudain. Navas n’est pas surpris par le rebond.

Le coup-franc de Bolanos est bien frappé, mais tout le monde passe au travers.

Campbell colle un petit pont à Karagounis, qui le fait valdinguer. On est à la limite limite de l’entrée de la surface, sur la droite. Mais ce sera un coup-franc.

Cette rencontre, c’est un peu le match des puristes qui passent leurs vacances dans des 5 stars dans les Cyclades contre les hippies qui veulent faire du trekking dans la jungle.

Corner frappé par Karagounis. Il trouve la tête d’un soce qui n’arrive pas à cadrer.

Christodoulopoulos fait une Robben inversée. Lancé à gauche, il repique, crochète une fois, deux fois et frappe. C’est à côté.

A 30 mètres, Ruiz fixe la défense grecque et glisse à Bolanos sur sa gauche. Ce dernier envoie une mine du gauche qui effleure la lucarne de Karnezis.

En passant, on a tous eu un Bryan Ruiz dans notre classe au collège. Vrai ou nan?

Grosse boulette de Maniatis qui relance directement sur Campbell. Ce dernier lance un contre mais bazarde sa passe pour Ruiz, qui se fait reprendre.

Gamboa bénéficie d’un travail en pivot de Ruiz pour prendre de la vitesse. Il préfère écraser son tir que de servir Joël Campbell dans l’axe.

Si vous vous ennuyez devant le match, vous pouvez toujours parier sur l’application PMU et tenter de sauver le déficit Grec.

Christomachin chose récupère le cuir après un mauvais renvoi du Costa Rica. Il tente le tir de très loin. Le ballon passe au-dessus.

C’est parti! Messieurs, surprenez-nous. racontez-nous une histoire.

Le Costa Rica a la meilleure défense du tournoi. Mais en face, il y a ce Ballon d’Or en puissance de Samaras. Gros duel à venir…

Salut les puristes! Même les plus grands génies du marketing auront du mal à vous survendre ce game, et pourtant, on va se le suivre ensemble ce huitième bien dégueu. Dîtes-vous que ça aurait pu être pire: vous auriez pu avoir acheté votre place 1000 boules en espérant tomber sur un Angleterre-Colombie. Coup d’envoi dans un peu moins de dix minutes.

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