- Coupe du monde 2014
- Match préparation
En direct : Brésil – Serbie (1 – 0)
Un dernier coupe de caboche de Jô, et c’est terminé! Le Brésil s’impose 1 à 0 sans briller, grâce à l’efficacité de Fred (si, si). A l’heure de se lancer dans sa compétition, la Seleçao n’a pas levé tous les doutes qui l’entourent. Boa noite!
Aie, Maicon a l’air d’avoir une gêne derrière la cuisse. Déchirure?
Trois minutes de sifflets supplémentaires.
Pas de panique : si Fred se rate, Jô est là pour assurer. On préfère notre paire Benzema-Giroud.
Indifférent aux reproches du public, le Brésil fait tourner. A moins que ce soit de la provocation.
Neymar est sorti. S’il voulait se montrer, c’est réussi. Pour l’efficacité en revanche, il faudra repasser.
Le Brésil ralentit, et le public de merde du Morumbi se remet à siffler. On préfèrerait presque le Parc.
Le but de Hulk…refusé! Si notre ami paraguayen avait levé son drapeau sur la même action mais en finale de la CDM, pas sûr qu’il serait sorti du stade vivant. Hulk n’est pas hors-jeu, mais alors pas du tout.
Quelle action de Markovic! Dommage, son tir est aussi mou que celle de papy. Quand il accélère, le milieu et la défense du Brésil ressemblent soudainement à ceux de l’AC Ajaccio.
C’est au tour de l’ami Maicon de montrer sa poire. Il remplace Dani Alves.
Changemendinho. Fernandinho remplace Paulinho.
Gros concours de passements de jambes entre Willian et Neymar. Les types se dribblent même entre eux.
Neymar est inarrêtable. Le prodige dribble, dribble, dribble. Un défenseur, deux, trois, puis la ligne de corner. Six mètres pour la Serbie.
Belle transversale de Thiago Silva, Fred amortit de la poitrine entre les deux centraux et conclut en vrai numéro 9. Bien ouéj!
But de Fred! Et voilà, on ne l’avait pas vu pendant une heure, et l’ancien de l’OL surgit pour donner un peu d’air à tout le monde.
Euh Neymar, c’est une blague là ou quoi? Le mec fait la différence, et au lieu de décaler son partenaire seul à droite, il fonce dans quatre Serbes à gauche.
C’est au tour de Marcelo de perdre une balle très dangereuse parce qu’il a voulu se la péter avec une talonnade à la con. Attention à ne pas trop forcer, quand même.
Ca y est, Neymar vient caler des crochets et des talonnades inutiles au milieu de terrain. Pour ça, fallait prendre Ronnie, putain.
Willian ramène sa moumoute sur le terrain. Fait chier, on va encore le confondre avec Marcelo.
Et hop, c’est reparti!
C’est la pause, et le Morumbi siffle copieusement le onze brésilien, pas franchement convaincant, il faut bien le dire. Sacrée ambiance.
But de la Serbie…refusé! Hors-jeu. Bonne nouvelle pour la Ligue 1 : la paire David Luiz-Thiago Silva, ça ne marche pas du tout. Kerbrat-Sorbon, c’est autre chose, croyez-nous.
David Luiz qui tire les coup-francs. Est-ce vraiment une bonne idée?
Matic est tellement chaud qu’il vient de déglinguer Neymar en plein élan. Ca doit faire du bien.
L’ami Matic est en train de foutre un beau bordel au milieu de terrain. Aucune nouvelle d’Oscar pour l’instant.
Scolari a pris dix ans après les coups de vent dans sa défense.
La têêêête de Mitrovic, c’est non cadré! Il y a de beaux trous de gruyère dans la défense surcotée brésilienne.
Ah c’est sûr, la Serbie, c’est autre chose que le Panama.
Hulk s’endort avec le ballon dans les pieds. Matic récupère, file de l’autre côté et décale Kolarov, dont le tir est détourné par Julio César.
Les Serbes avaient promis aux leurs qu’ils seraient au Brésil au mois de juin. Promesse tenue.
Frappe de Fred, et comme par hasard, notre streaming nous met une photo de meuf en string au moment du tir.
Pas mal, cette aile excentrique Marcelo-Neymar. Mais perso, on préfère Evra-Griezmann. Des anciens tolards de l’EDF, pas des mecs qui se contentent de flamber.
On a beau fermer les yeux et les rouvrir, se mettre des baffes, se pincer, rien n’y fait. Fred sera bien le numéro 9 titulaire du Brésil pour ce Mondial.
La FIFA nous a bloqué pendant 15min, mais cette fois on est bel et bien là! Et attention, on a soif de revanche.
Salut la famille. Sale journée pour le foot français, mais le Brésil s’en tape : ce soir, la Serbie lui servira de fin de préparation. Equipe-type pour Scolari.
Léo Ruiz