- Eliminatoires Euro
- 9e journée
En direct : Bosnie-Herzégovine – Italie
À jouer
Le Pharaon El Shaarawy s’infiltre dans la surface, se casse la gueule mais n’obtient rien.
Allez, deux minutes et on remballe.
Tout à l’heure c’était dans les nuages pour Dzeko, cette fois c’est dans la stratosphère pour Armin Hodžić. Pfiou.
On fait tourner coté bosnien, la motivation n’y est plus.
Ça tricote dans la surface italienne… Y’a 3-0 les gars !
Drop d’Emerson sur le coup franc. C’était ridicule, oui.
Dzeko dans les nuages ! Ça ne veut pas.
À la télé on aurait pu croire que Bernardeschi prenait une ovation du stade Bilino Polje, mais c’était en fait Pjanić qui quittait le terrain en même temps.
Mince. Pjanić est cuit.
Pas superbement bien tiré par Sandro Tonali ce coup-franc, en revanche.
Méchante faute d’Elvis Sarić sur Insigne. L’Italie à l’attaque, ça ne bouge pas.
Centre d’Emerson pour personne. Plus trop d’essence dans le moteur.
On vient de comparer CR7 et Olivier Giroud sur La Chaîne L’Équipe. Cette soirée est pleine de surprises.
En fait, Donnarumma a tellement dégoûté Džeko et consorts qu’ils n’essaient même plus de s’approcher de la cage.
Centre de Florenzi, personne ne peut couper !
Coup de billard sur une tentative d’Edin Višća.
Le saviez-vous ? 3-0, c’est aussi le score de Danemark-Gibraltar, qui se joue en ce moment à Copenhague.
Dzeko repris par Acerbi. Toujours pas.
Contre éclair, superbe ouverture de Barella et l’artificier du Torino termine avec une étrange sacoche qui fait mouche. Ça va trop vite.
LE 3-Z SIGNÉ IL GALLO ANDREA BELOTTI !
Les contrôles orientés exter de Bernardeschi, j’en veux matin, midi et même au goûter.
@United310 : « Sorry, j’étais chaud sur le live mais je suis tombé sur Harry Potter à la télé »
La concurrence d’Emma Watson… Terrible.
@abistodenas : « Il est temps de mettre un peu de vie ici : https://www.youtube.com/watch?v=bzEYNsFC2gE »
Ah oui oui oui.
Tenez : on vous parle ici de Vittorio Pozzo, le sélectionneur qui avait signé neuf victoires de rang avec l’Italie dans les années 30. Et qui pourrait donc être effacé des tablettes par Roberto Mancini, ce soir.
Ooooooh là, Donnarumma avait merdé, du moins ses pieds. Pjanić n’a pas profité du dégagement foireux plein axe…
Il y a autant de buts que de commentaires sur ce live. On peut tenir le rythme.
Et Donna encore une fois à bout portant devant Kovačević sur le coup de pied de coin ! Le show Gigi a démarré, en fait.
DONNARUMMA MESSIEURS DAMES ! Il est partout et vient de dévier un pétard alors qu’il était au sol.
Belotti se faufile, sert le lutin, lequel pivote et tente. Ça semble touché, c’est tout mou mais ça trouve le petit filet d’un Šehić à la rue. Elle est chirurgicale, cette Italie.
OH LE BUT TOUT NUL D’INSIGNE POUR LE BREAK !!!
Puisqu’on n’a que ça à faire, #VendrediLecture : Théo Denmat est allé chercher Jérémy Clément en interview et c’est très cool. Cadeau.
Merci les gars, on commençait à s’ennuyer ici. Le petit hibou a pris un coup contre Brest et est par conséquent sur le carreau pour ce rassemblement, @Hadopi Conqueror. À la place, on a droit au talent de Sandro Tonali.
Le pétard de Muhamed Bešić est dévié ! Allez, du caractère.
Mais aidez-le, le pauvre Dzeko. Aucune solution, rien.
Entame compliquée pour le Džek.
Alors que l’Italie est en passe de signer une 10e victoire de rang. Assez fou, tout de même.
On rappelle que la Bosnie est invaincue depuis sept matchs et plus de 2 ans à domicile. Pas rien.
Le défenseur central qui se retrouve dans les 16 mètres, se met en position de frappe et allume les ficelles.
GOL ACERBI !!!!
« Il manque à l’Italie un attaquant comme Edin Džeko. »
Elle fait mal, cette phrase.
64% de possession de balle pour les Azzurri. Quand même.
Rien à dire, les occases sont là.
Bernardeschi au second poteau, Ibrahim Šehić s’interpose !
C’était vu et revu ça, Edin. La machine à buts se grippe pour le moment.
INSIGNE AUX SIX MÈTRES, C’EST DÉVIÉ ! Quel travail de Bernardeschi encore, c’est son moment.
Dzeko de loin ! C’est bon, on dirait que Gigi Donnarumma est bien échauffé.
Qu’est-ce qu’elle est élégante, cette tunique bosnienne. Presque autant que le maillot vert de la Squadra Azzurra ou le tricot de la Moldavie hier. Oui oui, on prend des risques.
Donnarumma encore à la parade sur un coup de casque d’Ermin Bičakčić !
Federico Bernardeschi est chaud patate. Et le jeunot Sandro Tonali aussi, tiens.
On pourrait peut-être arrêter de parler de meilleurs troisièmes non ? Vu que ça n’existe plus… C’est fini pour la Bosnie dans ce groupe J, c’est tout. Il faudra passer par la Ligue des Nations et pis c’est tout.
C’est Kolašinac qui vient de faire cette sortie de balle toute tranquille ?
Bonucci contré sur le premier corner de la partie !
Et pour nos amis transalpins, pas de Verratti ni de Chiellini mais tout de même du beau monde : Donnarumma – Florenzi, Bonucci, Acerbi, Emerson – Barella, Jorginho, Tonali – Bernardeschi, Belotti, Insigne.
Coté bosnien, les cadors sont là : Pjanić, Džeko, et même la brute Sead Kolašinac. Le onze (4-3-3) : Sehic – Kvržić, Kovačević, Bičakčić, Kolašinac – Bešić, Pjanić, Cimirot – Visca, Dzeko, Krunic.
L’Italie est déjà sûre de terminer première, la Bosnie ne peut plus accrocher de ticket dans son groupe puisque la Finlande vient d’arracher une qualification historique en tartant le Liechtenstein. Comment ça, aucun enjeu ? Et l’amour du ballon, alors ?
Salut la team ! L’équipe de France nous fait honte, mais il n’y a pas de raison qu’on ne la kiffe pas, cette trêve internationale. Feu dans 15 minutes pour ce petit Bosnie-Italie !
Italie
Bosnie-Herzégovine
Jérémie BARON
