- Europa League
- Demi-finale
En direct : Benfica – Juventus Turin (2 – 1)
C’est terminé! Belle soirée de foot au Portugal, où le Benfica prend un léger avantage avec cette courte victoire 2 à 1. La Juve se contentera du but marqué à l’extérieur. Bonne soirée à tous, et à demain pour Nantes-Marseille. La bise.
La Juve met le paquet pour arracher le nul. Seul au monde, Chiellini nous sort un bon geste de défenseur. C’était la balle d’égalisation.
Trois minutes de bonheur supplémentaire.
L’arrêt de handballeur d’Artur devant Marchisio, superbement servi par Pogba! Les locaux s’en sortent bien sur le coup.
Cavaleiro met le bordel et sert Markovic, qui passe à quelques centimètres de tripler la mise! C’est chaud!
But de Lima pour Benfica! Coaching gagnant pour Jorge Jesus. Cavaleiro dévie pour le Brésilien qui ne se pose pas de question et casse la cage!
Des deux buteurs argentins du soir, on ne pensait pas que celui qui irait au Brésil serait Garay.
Les locaux sont dans un gros temps faible. Tévez tente un contrôle long pour effacer toute la défense. Mais c’était un contrôle très, très long. Et donc trop long.
Coup dur pour les Portos. La bande à Jesus pensait faire une Real Madrid et tenir son petit 1-0. Les choses deviennent d’un coup beaucoup plus compliquées.
Egalisation de Tévez! Servi par Asamoah, l’Argentin esquive habilement Luisao et conclut face à Artur. Honnêtement, c’est plutôt mérité.
Oh la belle intervention défensive de Maxi Pereira! Il y avait du monde pour envoyer ce centre de Tévez au fond des filets, mais l’Uruguayo a bondi.
Tévez a beaucoup de mal à exister dans cette partie. Ca ne marche pas fort le duo avec Vucinic.
Apparemment, il y a eu dix minutes de bug. Vous n’avez rien raté d’important, à part une tête de Pogba détournée par Artur.
Caceres vient d’inventer le tacle de l’arrière-train. Un mouvement de fessier vers l’arrière, l’attaquant portugais s’effondre et l’arbitre n’y a vu que du feu. Bien ouéj.
La Juve s’est installée d’entrée dans le camp portugais. Apparemment, elle n’a pas l’intention de repartir bredouille de Lisbonne.
C’est reparti pour un tour!
Ouf, quinze minutes de pause. C’était intense, c’était rythmé, c’était agréable. Plus dangereux que la Juve, Benfica mène assez logiquement grâce à un début de match canon. Un peu de repos, et on se retrouve.
Hormis sur la caboche de Lichsteiner, signalé hors-jeu à tort, la Juve n’a jamais vraiment fait flipper les fans locaux.
On vient de perdre un pari. Oscar Cardozo n’a pas plus de 40 ans, contrairement à ce qu’on pensait. Pire : il n’a que 31 piges. Le temps ne passe pas si vite que ça, finalement.
Grosse intensité dans cette partie. La Juve domine globalement mais Benfica contre presque aussi vite que le Real Madrid. On s’éclate, en résumé.
Lichtsteiner! Comment le Suisse a-t-il pu ne pas cadrer sa tête? Avant de répondre à cette question, il faudra nous expliquer comment ce type est passé de joueur correct de L1 à indéboulonnable de la Juventus.
Ce Martin Caceres, là, va falloir qu’il comprenne qu’il n’est pas en NBA. C’est du foot, ici, alors raccourci ce short et baisse ces chaussettes. Tocard, va.
Mmmh la grosse accélération de Carlitos Tévez, qui part de son camp et finit dans la surface. Artur est plus prompt, mais la Juve va (un peu) mieux depuis quelques minutes.
Certes, Pirlo a la classe. Mais le supporter portugais en béret aperçu juste derrière lui envoie aussi du très, très lourd. Dans un autre registre.
Le milieu de terrain du Benfica étouffe celui de la Juventus. Pirlo est éteint et la relation avec la paire Tévez-Vucinic est coupée.
Et dire qu’à cette époque, la Juve avait un duo d’attaque Zlatan-Trezegol…
Vous vous en rappeliez de celui-là?
Encore une faute de Paulo Pogba. Le Turinois s’en sort avec un check avec l’arbitre.
Pogba fait parler son physique, mais pas son cerveau. L’international cocorico hésite au moment de prendre sa décision, ce qui se termine en une passe toute pourrie. Dommage.
Et voilà, on veut écrire en serbe, et on nous remplace le mot par des points d’interrogation. Encore un coup du Progrès.
Sulejmani! Grosse accélération du Serbe numéro un, qui sert à gauche le Serbe numéro deux. Ce n’est pas cadré. ?????.
Les Italiens ont l’air complètement paumé en ce début de partie. Ca fait bizarre de jouer contre une vraie équipe, hein?
Sympas, ces ailes serbes côté local. Et osé. C’est la première titularisation en Europe pour le jeune Markovic. Un mec qui s’appelle Lazar ne peut qu’être une valeur sûre.
Et bim, le but d’entrée d’Ezequiel Garay pour Benfica! Un corner, un coup de caboche et la partie est idéalement lancée!
Et hop, c’est parti! Ca commence mal pour la Juve, qui nous sort son ensemble jaune et bleu. Moche.
Selon nos informations, l’OM serait sur la piste Jardel, sur le banc de Benfica ce soir. « Ce joueur n’a rien de spécial, mais c’est une revanche sur l’Histoire », aurait déclaré José Anigo.
On vient de se faire un petit calcul : Benfica + Juventus = 61 championnats + 37 coupes nationales + 8 coupes d’Europe. Propre.
Salut les cancres. Bienvenue à Lisbonne, où le Benfica accueille la Juventus dans un beau duel d’anciennes gloires continentales. Après les demi-finales un poil relou de C1, le spectacle, le vrai, devrait faire son retour. Et c’est à l’Estadio da Luz que ça se passe.
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