- Coupe du monde 2014
- Groupe B
En direct : Australie – Espagne (0 – 3)
Merci à vous d’avoir accompagné David Villa et Xabi Alonso dans leurs derniers pas avec la sélection, et moi-même dans ce live pour du beurre. A vous les studios.
C’est fini mes quiches… Pour l’honneur, l’Espagne finit sur une jolie victoire symbolique, mais ne manifeste aucune joie. Les visages fermés témoignent des regrets que peut avoir la Roja, après avoir durement fessé de bien timides Australiens, au terme d’une démonstration de football.
Le coup-franc de Sergio Ramos est bien tiré en force mais passe à côté.
Mile Jedinak se prend un petit jaune pour une faute sur David Silva, virevoltant depuis son entrée en jeu.
Trois minutes de temps additionnel chers amis.
Superbe volée de Silva à l’entrée de la surface, qui passe juste à côté. On a frôlé le 4-0.
Les Espagnols auront eu le mérite de réussir leur sortie. A les voir jouer aujourd’hui, difficile d’expliquer la débandade.
Changement pour l’Espagne. David Silva remplace le légendaire Xabi Alonso, qui dit au revoir à la sélection.
Fernando Torres part seul au but mais son dernier crochet est trop long. On te retrouve enfin Fernando.
JUAAAAAN MATAAAAA ! L’éternel remplaçant est servi par Fabregas au second poteau. Le Mancunien contrôle et prend son temps pour ajuster Ryan entre les jambes. 3-0 ! C’EST LA PIQUETTE !
On assiste clairement aux plus mauvais match des Australiens depuis le début de la compétition. En attendant, pour ceux que ça intéresse, les Pays-Bas viennent de marquer. Allez donc demandez des précisions à ce brave Raphaël Gaftarnik.
Visiblement, les hommes de Vincente Del Bosque ont décidé de faire payer les Socceroos, qui ne sortent plus de leur camp… C’est pas beau d’évacuer sa frustration sur plus petit que soi.
Jolie combinaison espagnole dégagée de justesse en corner. Fallait jouer comme ça dès le début les mecs.
C’est quand même autre chose que les Bleus contre l’Afrique du Sud.
Véritable maître à jouer de son équipe, Iniesta est impliqué sur les deux buts de l’Espagne. Contre toute attente, nos amis ibériques vont réussir à sauver l’honneur.
FEEEERNAAAAAANDOOOO TORRRRRREEEEESSS !!! Sur une nouvelle offrande d’Andrès Iniesta, l’attaquant de Chelsea surgit pour ouvrir son plat du pied face à Ryan et signer le 2-0.
Boudeur à l’entraînement, Cesc Fábregas remplace un Santi Cazorla plutôt inspiré.
Après Villa, un autre monument du football espagnol va nous quitter ce soir, en la personne de Xabi Alonso, qui joue son dernier match pour la Roja.
Les Australiens reprennent du poil de la bête. Leur envie perturbe la défense espagnole, mais il y a pour l’instant toujours un pied pour les arrêter.
Carton jaune pour Sergio Ramos, auteur d’une grosse faute à trente mètres des buts.
Changement pour l’Australie. James Troisi(ro) remplace Tommy Oar.
Suite à un mauvais renvoi sur corner, Halloran et Mc Kay se gênent à l’entrée de la surface pour reprendre le ballon en cloche. La volée de ce dernier passe juste au-dessus des buts espagnols.
C’est pas Thiago Silva qui ferait ça avec le maillot du PSG.
Instant émotion. Pour son dernier match avec la sélection, David Villa est remplacé par Juan Mata, après avoir embrassé dix fois l’écusson. Bravo champion.
Fernando Torres est à deux doigts d’imiter David Villa, mais sa talonnade passe à côté. De toute façon, il était hors-jeu. Comme ça c’est réglé.
Tiki-taka, tiki-taka, tiki… ah ben merde.
Observation : Koke aime bien jouer entre les lignes.
Iniesta met la misère à quelques défenseurs mais sa passe pour Koke, arrivé lancé, est un peu trop appuyée.
Privés de Tim Cahill, les Australiens sont moins tranchants en attaque. Ils ont cependant bien entamé cette seconde période.
BeIn Sport nous explique que l’Australie n’a jamais franchi la phase de poule. Coeur avec les doigts.
C’est reparti mes quiches !!! Pendant la pause, Ben Halloran a remplacé Adam Taggart, qui pour tout dire ne servait à rien.
Profitez-donc de la pause pour grignoter et faire un pipi, c’est important la santé. Vous pouvez aussi en profiter pour charrier les spectateurs de Chili/Pays-Bas si vous êtes mal intentionnés.
C’est la mi-temps ici à Curitiba ! Pas démobilisée, l’Espagne tient son rang et mène 1-0 grâce à une magnifique inspiration de David Villa, qui signe l’un des plus beaux buts de cette World Cup. Les hommes de Vincente Del Bosque ont souffert en début de match avant de progressivement prendre le contrôle du jeu.
L’Espagne continue de pousser ! Bien décalé, Cazorla centre pour Fernando Torres mais la défense australienne se dégage en catastrophe.
Très bon dégagement lointain de Reina, mais Ryan sort aux trente mètres pour éloigner le danger de la tête… Quel panache !
Libérés et décomplexés, les Espagnols refont circuler le ballon comme aux plus belles heures. Les supporters ibériques auront au moins eu quelques minutes de bonheur.
@ Radiator
C’est toi qui est trop classe mec
Quand il n’est par hors-jeu, David Villa est vraiment pas dégueu. Le danger vient de lui en cette première période et il est justement récompensé.
BUUUUUUUT de David Villaaaaaaaaa! Iniesta décale Juanfran d’une merveille de passe. Le latéral a le temps de s’appliquer et centre pour le meilleur buteur de l’histoire de la sélection, qui trompe Ryan d’une jolie talonnade. Splendide !
Servi sur la gauche de la surface, David Villa fixe son défenseur avant de centrer fort devant le but. Evidemment, personne n’est là pour reprendre mais c’était chaud patate.
Même un corner à la rémoise entre Everton Santos et Fabrice Apruzesse aurait eu plus de gueule.
Les Espagnols ont décidé de ne pas tirer leurs corners. Le ballon revient dans les pieds de Pepe Reina. Superbe.
Pour tout vous dire, le plus gros frisson de ce match pour l’instant, c’est quand Fernando Torres a enlevé son maillot déchiré pour revêtir une nouvelle tunique noire. Les femmes qui nous suivent apprécieront, pour les autres, on patiente.
Mea culpa, nouvel hors-jeu pour David Villa. Champagne !
A la pointe de l’attaque, Torres et Villa se trouvent et combinent bien depuis le coup d’envoi. Comme quoi tout arrive… Leurs tentatives restent cependant imprécises.
L’Espagne pousse !!! Suite à un bon travail de Torres, bien aidé par quelques contres favorables, Jordi Alba est servi dans la surface côté gauche. Sa lourde frappe est bien détournée par Ryan.
Andrès se rattrape en adressant un super centre à Villa, esseulé au second poteau, mais la volée de l’attaquant est totalement dévissée. Pire, il est signalé hors-jeu.
Contrôle affreux d’Andres Iniesta à soixante mètres des buts. Le monde part en sucette.
Première belle occasion pour l’Espagne ! A la suite d’un joli mouvement collectif, Santi Cazorla arme une frappe dans la surface mais c’est contré par Spiranovic.
Belle ouverture de Cazorla pour Villa mais l’attaquant espagnol est signalé hors-jeu. On tarde à frissonner mais ça va venir, le match n’est pas encore lancé malgré une belle intensité.
Sous l’impulsion combinée de Torres et Villa, l’Espagne commence à pointer le bout de son nez mais ça reste maladroit.
Qui aurait pu prédire le niveau de l’Australie avant la compétition? Comme à leur habitude, les chasseurs de crocodiles se montrent plutôt à leur avantage techniquement.
Les débats sont engagés et équilibrés à Curitiba, sans aucune occasion franche pour l’instant. Donnez-nous du sang.
@ Pauleta
Tu nous déranges pas. Si tu veux voir des buts, c’est par ici. Les Australiens en encaissent trois à chaque match, et ne parlons pas des Espagnols. A voir les premières minutes de jeu, le match s’annonce très ouvert.
Les Socceroos ont déjà eu trois possibilités un peu moisies, mais trois situations quand même.
Les Australiens ont le ballon pour l’instant. Très bon contre les Pays-Bas, Leckie semble déjà chaud.
@ beubeu92
J’aime les ambiances intimistes
C’est parti bande de moules!
Pour les Australiens, le but est de prendre du plaisir. Comme nous en fait. Alors lâchez-vous les surfeurs.
C’est la piquette pour l’Espagne qui va essayer de mourir avec les honneurs, comme un taureau qui entre dans l’arène. Le dénouement est déjà connu, la manière de quitter la compétition est encore incertaine.
Beaucoup de changements pour les Espagnols, qui ont largement fait tourner leur effectif, contrairement aux Australiens. Le sosie de Fernando Torres remplace le fantôme Diego Costa à la pointe de l’attaque ibérique.
Yo mes quiches. Bienvenue pour ce match pour du beurre entre l’Australie et l’Espagne, deux équipes déjà éliminées, comme vous le savez.
Par