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En direct : Atlético Madrid – FC Barcelone (1 – 0)

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En direct : Atlético Madrid – FC Barcelone (1 – 0)
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À jouer

C’est terminé! L’Atlético Madrid est en demi-finale, et c’est mérité! Sans niaque, sans solution, sans génie et sans Messi, curieusement out toute la soirée, le Barca quitte la compétition la tête basse. Vivement le tirage, désormais.

Les Catalans n’y sont plus. Une dernière chance?

L’Oignon! Rodriguez se présente face à Pinto, mais Ali-G boxe en corner. L’Atlético va le faire..

Les centres se succèdent sur le but de Courtois, mais dans ce secteur, les locaux sont rois. Martino commence à sérieusement grimacer.

Et El Cholo ne s’arrête plus. Il excite la foule, ne cesse de marcher et de se remettre le pantalon en place.

C’est un attaque-défense depuis quelques minutes. Par contre, ça faisait bien 8 ans qu’on n’avait pas vu Messi aussi mauvais. On dirait un joueur normal.

Deuxième changement pour l’Atlético Madrid. Cristian « El Cebolla » Rodríguez remplace David Villa.

La tête plongeante de Neymar! Ca passe du mauvais côté du poteau. Gros silence dans le stade.

ESPN Argentina se demande si Messi va bien physiquement. Apparemment, le Rosarino est déjà dans sa coupe du monde.

Simeone joue au showman sur son banc. Du made in Mourinho.

Pedro arrive, Iniesta s’en va.

Mmmh c’est limite-limite cette poussette de Masche sur Villa dans la surface. Gros temps fort pour l’Atlético.

Action toute bizarre. Gabi fonce vers le but et personne ne l’en empêche. Il n’a donc plus qu’à conclure, mais il nous sort un tir tout naze.

@ CORTOSAM : Oui, on l’a vu. Mais on s’est abstenu de tout commentaire raciste.

Diego est chaud! Le Brésilien teste d’entrée Pinto, qui fête son arrêt basique comme un gardien de hand. Sacré bonhomme.

Simeone réagit. Adrián est remplacé par Diego, dont on attend forcément une nouvelle patate dans la lucarne.

Changement pour le FC Barcelone. Alexis Sánchez remplace Cesc Fábregas, tout simplement mauvais ce soir.

Uuuh dommage que Xavi ne mesure qu’1m57, sinon il n’avait plus qu’à catapulter cette tête dans le but de Courtois.

Ca fait la bringue dans les tribunes. On ne vous dit pas que c’est la Bombonera, mais force est de constater que c’est autre chose que le Camp Nou et Bernabeu.

Pinto a sprinté pour jouer une touche rapidement, mais le ramasseur de balle a dû penser qu’il s’agissait d’un supporter excité et ne lui a pas rendu le ballon.

Xavi est plutôt discret, mais quand il se chauffe, ses passes sont une folie.

Une occasion qui nous a permis de nous rappeler que Messi est bien sur le terrain.

La triple énorme occase pour le Barca! Un délice de passe de Xavi pour Neymar, contré par Courtois, puis Messi qui tergiverse, puis un cafouillage qui termine en corner. C’était chaud patate.

Les acteurs sont de retour. Nous aussi. Vamos!

Un dernier corner, et c’est la pause à Madrid. Auteur d’un début de match canon, avec un but et trois tirs sur les montants, l’Atléti rentre au vestiaire avec un petit avantage. Martino va devoir trouver une solution pendant la mi-temps. Nous, on va se contenter de trouver une bière dans le frigo.

Fabregas n’est pas mal non plus en simulation. Mais que Raul Garcia vienne le lui reprocher, c’est très drôle. Ils sont bons, ces Espagnols, quand même.

Jordi Alba passe plus de temps à courir derrière l’arbitre pour pigner qu’à courir derrière les attaquants adverses. Quelle tête de con.

Centre tout pourri de Dani Alves. La bande à Tata ne trouve pas de faille dans le bloc colchonero.

Les Catalans ont endormi la partie. L’Atléti défend très bien, mais très bas dans son camp. Vous me direz, jusqu’à présent, ça a plutôt bien fonctionné face à ce Barca.

Pour parler sérieusement, que pensez-vous de Carla Pereira, la jeune nouvelle cocotte de Simeone?

Pour être plus précis, le Barca joue sans ailier droit. Etrange. En attendant, les Colchoneros enchaînent les taquets sur Neymar, de loin le Barcelonais le plus remuant.

Ah, Iniesta a raté un contrôle. Quelque part, ça rassure un peu.

Pour l’instant, Messi est plutôt positionné à droite, Fabregas jouant au faux numéro 9. Tactique pas franchement payante jusqu’à présent.

Ouiiiie le petit pont énorme de Neymar sur Tiago! Le Brésilien sert ensuite Messi, qui ne cadre toujours pas. L’Argentin a l’air particulièrement endormi.

Ohlalala, la simulation ridicule de Raul Garcia. Allez mec, fais ce que tu sais faire et ne nous emmerde pas avec ça.

Quelle poisse pour El Guaje, qui s’amuse avec la paire Bartra-Mascherano depuis le début de la partie.

Vous voulez la meilleure? Encore une barre transversale pour David Villa!

Vous aussi vous avez vu l’énorme drapeau algérien au milieu de terrain? « One, two, three… »

Fabregas en est à 100% de ballons perdus. Un début de match réussi.

La réponse de Messi! C’est juste à côté. Le centre de Dani Alves était parfait, le coup de casque de l’Argentin un peu moins. Quelle intensité.

Busquets joue avec le feu et tente le coup de la simulation. Que nenni. Villa se présente face à Pinto mais son tir s’écrase sur la barre!

Bartra et Pinto sont particulièrement fébriles. Le Barca est en grande souffrance. Les fans locaux exultent.

But de Koke! Que c’est bien joué. Adrian flingue d’abord le poteau, l’action continue, l’ancien du Depor gagne son duel de la tête et Koke conclut en force.

Raul Garcia a repéré le point faible de Pinto : sa lucarne gauche. Son tir n’en passe pas loin.

Trois minutes de jeu. L’Atléti n’a pas encore touché le ballon.

Les coachs argentins se serrent la pince, le tifo « Ganar » et les écharpes rouge et blanche sont de sortie et c’est parti!

Diego Costa le gagnera peut-être, mais avec un autre maillot. Sale traître.

Dani Alves, Filipe Luis, Diego et Diego Costa en civil se marrent dans le couloir. Zéro pression, les Brésiliens. C’est comme ça qu’un Mondial se gagne.

Le Tata lance lui son équipe-type. Avec José Manuel Pinto dans la cage, donc.

Bon, comme prévu, pas de Diego Costa ce soir. El Cholo présente un duo d’attaque de remplaçants revanchards, Villa-Adrian, qui pourrait surprendre. Ou pas.

Salut les Espinguoins. C’est l’heure du quart retour entre les deux leaders de la Liga, le gros duel espagnol de cette fin de saison. Dans un Vicente Calderon plus chaud que jamais, Colchoneros et Culés jouent ce soir leur place dans le dernier carré européen.

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