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Cinq bonnes (ou mauvaises) raisons de croire que l’Inter Milan va tout casser cette saison
Alors que l’Inter est déjà en tête de Serie A après trois journées, cette saison 2024-2025 s’annonce grandiose sur tous les plans. Voici cinq raisons qui nous poussent à le croire.
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→ Parce que c’est la continuité des deux dernières saisons
Si vous avez loupé les trois premières journées de Serie A parce que vous n’avez pas succombé à l’IPTV, rassurez-vous : l’Inter a commencé sa saison 2024-2025 de Serie A (quasiment) sur les mêmes bases de la saison dernière. À la trêve, elle est déjà en tête du classement avec 7 points, 8 buts marqués, un jeu toujours aussi agréable à voir et un effectif qui n’a pratiquement pas bougé d’un iota. Si, pendant l’Euro, des rumeurs insistantes ont envoyé Hakan Çalhanoğlu au Bayern, le Turc est toujours là dans l’entrejeu, tout comme Alessandro Bastoni derrière, Nicolò Barella à ses côtés ou Lautaro Martinez devant. Ajoutez à cela les renforts pour la modique somme de zéro euro avec Piotr Zieliński, valeur sûre de la Botte depuis douze ans, et de Mehdi Taremi, l’ancien bomber iranien de Porto, et vous obtenez un effectif équilibré et prêt à jouer crânement sa chance sur tous les tableaux. L’an passé, l’Inter n’a terminé qu’à six points de la symbolique barre des 100 points. Et si c’était pour cette année ?
→ Parce qu’on fête les 60 ans des deux premières C1 de l’Inter
Les scientifiques sont formels : le soixantième anniversaire des deux premières Coupes des clubs champions glanées par l’Inter, en 1964 face au Real et l’année suivante contre Benfica, aura un impact sur l’équipe actuelle, et elle va même s’offrir un nouveau sacre continental. Comment ? Tenez-vous bien : il paraît que l’aura de Sandro Mazzola, de Luis Suárez et de Giacinto Facchetti va venir habiter les corps et les têtes de certains membres actuels de l’effectif. Une autre théorie, peut-être un poil plus crédible, émerge aussi en parallèle : l’Inter va remporter la prochaine Ligue des champions parce que toutes les autres équipes qualifiées en C1 cette saison sont éclatées contre un bus. Pas déconnant, en effet.
→ Parce que le duo Lautaro-Thuram est le meilleur d’Europe
Si Marcus Thuram n’a pas vraiment brillé avec les Bleus cet été à l’Euro, le buteur français a d’ores et déjà remis le couvert pour cette nouvelle campagne sous la tunique nerazzurra. Avec déjà 4 pions et 2 passes dé en 3 rencontres à son actif, Thuram est lancé sur les standards de son « double double » (13 buts, 13 passes dé en Serie A) de l’an dernier, et ce, alors que Lautaro Martinez n’a pas encore activé le mode MVP. L’Argentin, qui devrait figurer parmi le top 10 du Ballon d’or après un dernier exercice écœurant (24 pions rien qu’en championnat) où il a logiquement été élu meilleur joueur de Serie A, avait d’ailleurs rapidement conquis son actuel partenaire sur le front de l’attaque intériste. En octobre 2023, dans les colonnes de L’Équipe, Thuram disait ni plus ni moins que « Lautaro, c’est l’un des meilleurs attaquants du monde. C’est à l’instinct. On sent le jeu l’un de l’autre. C’est un grand technicien, il sait faire jouer ses coéquipiers. Il est chirurgical dans la surface. Ce qui me plaît, c’est cette qualité dans la dernière touche, ce calme qu’il a. Je suis heureux de jouer avec lui. » Et ça se voit.
→ Parce que le démon qui sommeille en Simone Inzaghi n’a pas encore tout donné
En Italie, on parle beaucoup du fameux « demone » qui sommeille en Simone Inzaghi. Celui-là même qui prend possession du coach de l’Inter lorsque le match commence, et qui caractérise parfaitement la passion et l’ambition de l’ancienne tête pensante de la Lazio. Celui qui a une moyenne de 2,16 points par match depuis son arrivée à l’Inter en 2021 donne le sentiment de grandir avec son équipe, comme en témoignent la finale de la Ligue des champions en 2023 perdue à cause de la maladresse de ses offensifs face à Manchester City, et donc ce premier Scudetto l’an dernier où il a écrasé de bout en bout la concurrence. Non, Inzaghi n’est plus seulement un entraîneur de coupes, il est le meilleur coach italien en activité avec Carlo Ancelotti. Année après année, le natif de Plaisance peaufine les détails de son 3-5-2, que son groupe connaît aujourd’hui par cœur, et il n’y a pas de raison que sa version 2024-2025 ne soit pas encore meilleure que la précédente.
→ Parce que la calvitie qui guette Federico Dimarco va le pousser à tout défoncer
À l’instar de Nicolò Barella, Federico Dimarco va voir les rumeurs de transferts en Turquie se multiplier au rythme où sa calvitie naissante gagne du terrain. Bonne nouvelle néanmoins pour le piston gauche intériste : cela n’a pas l’air d’affecter son rendement sur le rectangle vert. Au contraire. Preuve en est lors du dernier France-Italie où cet ancien gamin de la Curva Nord a offert au public parisien une combinaison fantastique avec Sandro Tonali qu’il s’est chargé de bonifier en expédiant un missile dans la lucarne de Mike Maignan. L’actuel portier de l’AC Milan, soit dit en passant. Imaginez donc un instant les dégâts que fera Dimarco le jour où il n’aura plus un poil sur le caillou.
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SF