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C1 – Arsenal : Pour cette année ?

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Pour se qualifier en demi-finale de la Champions, les Gunners ont d’abord éliminé la tendre Roma aux tirs au but en huitièmes puis torpillé le Sous-Marin Jaune de Villarreal en quarts. Pas forcément le parcours le plus ardu qui soit, il faut bien le reconnaître.

D’autres, l’Olympique Lyonnais pour ne pas les citer, ont pris l’habitude de se coltiner le futur vainqueur de l’équipe dès les quarts. Mais voilà, parcours de merde ou pas parcours de merde, Arsenal est en demi-finale de Coupe d’Europe, en compagnie de deux autres clubs du Royaume-Uni. 3 Anglais sur 4 donc, comme d’hab.

Mais cette fois, c’est Liverpool qui manque à l’appel et, pour la première fois depuis 2006, Arsenal fait donc partie du dernier carré. L’an passé, Liverpool avait sorti les “Wenger Boyz” en quarts. La saison précédente, le PSV les avait éliminés dès les huitièmes. Dans les deux cas, la saison s’était arrêtée pour les hommes de Wenger dès le printemps, après un automne de toute beauté. Arsenal, la meilleure équipe du monde au mois de septembre. Bon, et p’tet d’octobre aussi.

Sauf que cette année, ce n’est pas la même. Voire plutôt l’inverse. Arsenal nous la fait à l’envers, avec un début de saison catastrophique, qui a foutu en l’air, dès fin septembre, tous ses espoirs de remporter le championnat. Sauf que cette saison, avec le printemps, les bourgeons et le retour de ses blessés, Arsenal revient en trombe et enchaîne les bons résultats : des victoires probantes, la dernière en date, 2-0 contre Boro, doublé de Fabregas (on peut légitimement se demander ce qu’il serait advenu de la saison des siens sans sa blessure) et des matchs nuls d’anthologie, comme ce démentiel 4-4 à Liverpool, avec quadruplé d’Andreï Archavine, m’sieurs, dames !

D’ailleurs, depuis l’arrivée du Russe, l’un des facteurs du renouveau, Arsenal tourne mieux et a retrouvé le football qui a fait sa réputation. Tout en passes rapides, mouvements, courses et occasions ratées. Heureusement, Emmanuel Adebayor est également revenu et lui n’hésite pas à concrétiser les mouvements de son équipe, même les moches. Sans lui (et sans Fabregas, dont l’absence a vraiment été préjudiciable), Arsenal semblait condamné à ne mettre que des beaux buts, voire pas de but du tout. Arsenul.

Aujourd’hui, ça peut scorer de partout. Et avec la manière. Adebayor donc, Van Persie –quand il est pas blessé– Walcott, Archavine (exit en Champions toutefois), Fabregas, et même Samir Nasri. Oui, oui, même Samir Nasri. Symbole de la nouvelle école d’Arsenal. Nouvelle école qui pourrait bien égaler un jour l’ancienne, la génération Henry, Vieira, Berkgamp, Pirès.

Enfin, en championnat, sans doute jamais, mais pourquoi pas en Coupe d’Europe, et dès cette saison. Histoire de la faire définitivement à l’envers… ça serait quand même vachement drôle que les ouailles de Wenger retrouvent –et battent– le FC Barcelone de Thierry Henry. Las, Chelsea a sans doute une fois de plus tout foutu en l’air. Et Manchester ne va pas se gêner.

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