- En partenariat avec Uber Eats
Buvettes Uber Eats “Une gaufre avec de la volaille et une sauce hyper nerveuse à base de parmesan, d’ail, d’anchois…”
Vivien Durand est chef de Blandice, un restaurant bordelais spécialisé dans la street food. Mais côté foot, il en pince surtout pour Marseille et le public de l'Orange Vélodrome. Ça tombe bien, pour l’opération « La Buvette des Chefs » d’Uber Eats, partenaire de la Ligue 1 Conforama, il a un plat parfait à consommer devant un match.
#4 - Vivien Durand
Qu’est-ce qui te plaît dans le foot ?
Moi, je suis du Sud-Ouest, donc j’ai plus un tropisme rugby, mais je suis tombé fou amoureux de l’OM, grâce à l’un de mes chefs. Ça date de quand je travaillais à Aix, il m’avait emmené voir un OM-PSG au Vélodrome. C’était au début des années 2000, j’avais autour de 20 ans et d’un coup, j’étais en immersion au stade. Au-delà de l’aspect purement sportif, c’est cette ferveur des supporters qui m’a bluffé. De mémoire, Paris avait marqué le premier but, et ce moment dans les tribunes… J’avais halluciné. Ce ne sont que des mots, mais ce souvenir de ce match où tu as les enfants et les grands-parents qui chialent parce que le PSG a marqué… Depuis, dès que j’ai une excuse – par exemple quand je dois faire un quatre-mains avec des potes marseillais -, je vais au Vélodrome.
Tu regardes beaucoup de matchs de l’OM du coup ?
Le travail m’a quand même pas mal rattrapé. Malheureusement, quand on rentre dans la restauration, le foot, on le suit plutôt de loin. Je vais toujours sur Internet pour garder un œil sur tout ça. On parle aussi foot avec les gars avec qui je travaille, mais ils ne comprennent pas pourquoi je supporte l’OM, on me dit que je devrais supporter les Girondins. Bien sûr, ton rapport au supportérisme est en partie conditionné par ta région d’origine : au rugby, tu es né à Bayonne, tu supportes Bayonne, tu es né à Biarritz, tu supportes Biarritz. Mais j’aime cette idée que, humainement, tu puisses supporter un club qui te plaît, c’est une chose qui me semble plus propre au foot. J’avais un plongeur qui a joué à Rennes, mais son club de foot c’était l’OL, parce qu’il avait des affinités avec le style de jeu de Lyon.
La buvette, ça représente quoi pour toi ?
La buvette, pour moi, c’est des échanges ultra rapides, où tout le monde arrive en même temps. Tu as toute cette passion concentrée au même endroit, au même moment, sur un truc qui est hyper prenant. Forcément, tout est démultiplié : tu te retrouves là dedans parce que tu vibres pour la même chose, la décharge émotionnelle que ça crée, c’est un truc à part… Et puis, on peut faire vraiment de chouettes trucs avec la street food de la buvette, il suffit de regarder un peu ce qui se fait ailleurs : j’ai des potes au Pays basque qui font des barquettes avec des frites fraîches et des sauces de fou et c’est purement génial ! J’ai aussi un ami qui a installé des fours ultra rapides à Gerland, grâce à ça, tu peux faire des croque-monsieur qui sont frais, croustillants et super bien cuits en 15 secondes. C’est top parce que la grosse problématique qu’on a sur les buvettes en stades, justement, c’est que, en 15 minutes, les gars prennent une rouste de l’espace. Donc la rapidité est un élément clé.
Tu es content de participer à l’événement organisé par Uber Eats ?
C’est important pour nous, car la buvette de stade, ça rentre clairement dans notre cible. Cet événement avec Uber Eats, c’est un test grandeur nature à Bordeaux pour nous !
Justement, ton restaurant, Blandice, à Bordeaux, est spécialisé en street food, que vas-tu cuisiner ?
Mon domaine, c’est de démocratiser l’aspect cuisine de rue. Tu as plein de pays où on peut bouffer des trucs pointus et de qualité dans la rue. Nous, on a mis au point un concept de gaufre qui est clairement destiné à ça : on cuisine une barquette avec une pâte à gaufre et dedans, tu mets ce que tu veux! Ce qu’on propose pour l’événement, c’est le Pioc, une gaufre avec de la volaille et une sauce hyper nerveuse à base de parmesan, d’ail, d’anchois… C’est un casse-croûte qui fait 110 grammes : si tu compares avec un jambon-beurre classique, qui fait dans les 95 grammes, y a à manger. On propose aussi un dessert, la Cookine. C’est un gros crémeux au chocolat, chantilly au mascarpone, cookie et caramel demi-sel. La Cookine c’est notre top vente, c’est ce qui représente le plus la maison. On voulait aussi proposer ce produit car, quand tu parles de gaufre, la notion de sucrée reste très prégnante, évidemment.
Il y a un joueur pour qui tu souhaiterais cuisiner ?
Je cuisinerais bien un truc pour Mbappé. Si un jour il vient manger chez moi, je lui glisse le Pioc entre les pattes. C’est hyper gourmand, hyper nerveux, tout en tension, il mange ça debout, sur le pouce, puis il s’en va pour retourner à l’entraînement juste après.
Vivez le match comme si vous étiez dans les tribunes avec les plats cultes de buvettes, revisités par des chefs de renom, disponibles sur l’application Uber Eats dès le 9 décembre !
Propos recueillis par AC, Photos : Guillaume Blot