Ballon d’or : ces titres auxquels vous avez échappé

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— #ballondor (@francefootball) 3 décembre 2018

Hugo Ll-OR-isLe gardien français, en plus d’être à peu de lettres près l’anagramme de « Ballon d’or » , succède au palmarès à Fabio Cannavaro, dernier capitaine champion du monde en titre à être distingué. Le retour des patrons.

Isco : la revanche de l’Espagne Après une année pourrie pour la Roja, Isco lui redonne le sourire au moment où elle ne s’y attendait pas. Iniesta et Xavi connaissent désormais la voie qu’ils auraient dû suivre. Vous avez dit « Jouer au Real Madrid » ?

Godín : un truc de gue-din Le disciple Antoine Griezmann peut faire la moue autant qu’il veut. Cette année, le Ballon d’or respecte l’ordre protocolaire en distinguant son mentor uruguayen. En attendant un doublé l’an prochain, quand il aura converti Lucas Hernández au maté ?

Mandžukić : Super Mario WorldQui mieux que la pointe croate, se sacrifiant à la Juve en jouant sur une aile, symbolise le dévouement pour le collectif, mais aussi la beauté dans l’échec (souvenez-vous de son chef-d’œuvre en finale de Ligue des champions 2017). Ses deux buts en finale du Mondial, un CSC et l’autre sur une boulette de Lloris auront pesé lourd dans la balance. Un anti-Ballon d’or en surface, recouvrant un potentiel Ballon de plomb.

Oblak dans la lumièreSeul obstacle à un sacre de Valère Germain, en l’empêchant d’être le héros marseillais en finale de la Ligue Europa – qui aurait pu devenir l’attaquant titulaire des Bleus, sait-on jamais. Le football devait bien ça au portier slovène de l’Atlético.

Edinson Cavani, le Mata d’orL’attaquant tient depuis ce lundi entre ses doigts l’objet qui devrait définitivement casser son trio avec Mbappé et Neymar au PSG. Reste à savoir qui partira.

Firmino au firmamentOui, bon, d’accord, on s’est peut-être encore planté en faisant les comptes…

Benzema, le « chut » à DDQuand la plupart des joueurs français n’échangeraient pas leur Coupe du monde avec un Ballon d’or, l’attaquant du Real Madrid ne s’est lui pas gêné pour se servir. Le vrai « chut » à DD.

Bale au centreLe Gallois était le consensus le plus évident pour ne froisser personne : le Real Madrid est récompensé et aucune sélection ne pourra dire que ses représentants étaient meilleurs que lui au Mondial, puisqu’il n’y était pas.

Pogba : le copain dab-orFavori dans la catégorie web-série autobiographique, le milieu français repart avec le grand prix du jury pour sa Pog-série. Mais personne n’avait anticipé son sacre en tant que meilleur acteur dans le long-métrage Bleus 2018 : au cœur de l’épopée russe.

Courtois : la moindre des politessesApôtre du beau jeu et porte-parole des vainqueurs moraux, le gardien belge glisse entre ses ailes le trophée que son pays méritait en guise de dédommagement. On est quitte ?

Luis Suárez croque dans le Ballon d’orMiam.

Kanté partiroÉlu Ballon d’or 2018, le milieu de Chelsea et des Bleus n’a pas accepté de recevoir le trophée, insatisfait de ses dernières prestations.

Griezmann of the yearAprès une longue campagne pour décrocher ce Ballon d’or, l’attaquant français a directement filé chez Swarovski pour se tailler une miniature sur mesure à enfiler sur l’annulaire.

United KanedomPlaisant aussi bien aux dockers qu’à la haute aristocratie, l’attaquant de Tottenham ramène le trophée de meilleur footballeur sur l’île natale du football, dix-sept ans après Michael Owen. Quoi de plus normal pour le meilleur buteur de la Coupe du monde ?

Kevin De Bruyne, sucre rouxMatthias Sammer a enfin trouvé son successeur.

Insaisissable Lionel MessiL’Argentin a dribblé les accusations de fraude fiscale et les attentes de voir un champion du monde sacré lors d’une année de Coupe du monde pour s’emparer pour la sixième fois du Ballon d’or. Cristiano Ronaldo est de nouveau dans le rétro.

Insaisissable Cristiano RonaldoLe Portugais a dribblé les accusations de viol et les attentes de voir un champion du monde sacré lors d’une année de Coupe du monde pour s’emparer pour la sixième fois du Ballon d’or. Messi est enfin dans le rétro.

Serial KylianRonaldo et Owen sont effacés des tablettes, le prodige français fracasse un nouveau record de précocité, en devenant Ballon d’or à 19 ans. Next. Décimée, la Belgique se laisse surprendre par Israël